o Informations générales :
Nom : Highwind
Prénom : Mathias
Rang : Le Faucheur
Âge* : 26 ans
Sexe* : Masculin
Race* : Beorc
Peuple/Classe* : Épéiste
Pays d'origine* : Criméa
o Description du Personnage :
Caractère* :
Mathias a toujours eu un grand cœur. Il ne le laisse pas souvent paraître avec son attitude pessimiste et ses répliques sarcastique et ironique. Il adore agacer les gens, mais c’est simplement sa façon à lui de vous témoigner son affection, son respect ou encore son amitié. Il ne laisse donc pas non plus voir son côté plus décontracté, qu’il ne montre qu’en présence des ses meilleurs compagnons. Dans cet état, il est plus posé, détendu en compagnie des gens qu’il aime le plus, qu’il aime côtoyer et avec qui il se sent à l’aise. Il aime malheureusement toujours agacés les gens, mais c’est plus chaleureux qu’à son habitude. Mathias est aussi quelqu’un de décidé, dans le sens que lorsqu’il sait ce qu’il a à faire, il le fait et rien d’autre. Il n’y a pas de distraction, ou bien très peu… bon il peut parfois bifurquer de son but initial, mais il arrive toujours à ses fins, et cela peu importe le projet qu’il entreprend. Et quand on dit distraction, ce ne sont pas des passe-temps ou bien Ashera-sait quel truc, la plupart du temps, c’est à cause d’une femme. S’il y a bien quelque chose qui causera sa perte, ce n’est pas le champ de bataille, mais bien les femmes. En compagnie d’une femme qui lui plait, c'est-à-dire une majorité de la gent féminine, il devient encore plus vantard qu’il ne l’est déjà et devient par le fait même beaucoup plus maladroit, un trait assez développé en permanence chez l’ancien soldat. Bien sûr, son orgueil le pousse à poursuivre sa proie, ne se laissant en aucun cas battre, et finit la plupart du temps par s’attirer des ennuis. C’est pourquoi il ne voyage qu’avec ceux à qui il fait confiance : pour pouvoir dépendre sur des gens à qui il confierait sa vie et qui seraient capables de le sortir de n'importe quelles embrouilles dans lesquelles il est allé se fourrer.
Sur le champ de bataille, Mathias devient une tout autre personne. Calme et réfléchi, il attaque avec vitesse et agilité. Il utilise sa vitesse à bon escient et profite de son agilité pour attaquer son ennemi. La plupart de ses techniques sont reliés à cet attribut de l’épéiste. Il ne reste par contre qu’un simple soldat. Quoique réfléchi, il n’hésite pas à engager le combat avec qui que ce soit, avec quelques exceptions évidemment. Il ignore tout ce qui est en lien avec la stratégie, n’ayant été qu’un simple soldat. Il n’est aucunement du genre tacticien, préférant l’adrénaline du combat plutôt que la fierté d’un plan bien monté. Par contre, une fois la victoire atteinte, il redevient le même personnage cynique que l’on aime.
Physique* :
Depuis qu’il était tout petit, Mathias a toujours porté les cheveux long, mais pas juste un peu. Ils lui arrivent la plupart du temps un peu sous les omoplates, mais, il les à déjà eu plus long, d’où l’ambiguïté. Sa taille élancée et mince n’a pas aidé le jeune épéiste non plus. Il faisait souvent l’effet de blagues par ses camarades de classes, ce qui a fort probablement formé la carapace de réplique cinglante que l’on connaît aujourd’hui. Ses grands yeux ronds, quant à eux, témoignent d’un peu plus de virilité. Un regard déterminé, avec une certaine fougue, lui donnait l’air de quelqu’un qui sait où il s’en va. Ce qui est d’ailleurs le cas. Quant à son corps, on ne pouvait plus normal. Il n’est pas très grand, mais n’est pas petit non plus. En effet, pour une jeune de vingt ans, cinq pieds et onze pouces étaient la taille normale, voire un petit peu en dessous de la moyenne. Mais sur ce corps relativement frêle repose des muscles assez développés, sans être trop apparents. Il a une musculature qui lui va à merveille en fait : léger et mobile, deux mots qui décrivent bien l’épéiste.
Quant à son linge, il porte des vêtements assez légers, bien évidemment, de style voyageur. Il s’agit d’une veste sans manche assez longue, lui arrivant juste au-dessus des cuisses à l’avant, mais se rendant jusqu’à la mi-cuisse à l’arrière. En dessous de la veste, il porte une chemise dont il retrousse les manches, révélant un peu de mauve pour faire changement du noir de l’ensemble. Sur ladite chemise, il y a aussi de drôles de motifs sur le devant, qui eux sont mauve pâle, contrairement à l’autre mauve qui est plus foncé, que l’on pourrait considérer comme rouge vin. Le tout est retenu par une ceinture épaisse faite de cuir brun, on ne peut plus normal, avec des dessins brodés dessus. Il porte au poignet un bracelet spécial, fait d’or serti d’un rubis. Il est vêtu d’un pantalon noir, pour agencer avec la veste ainsi qu’avec la chemise. Comme chaussure, il chausse une paire de bottes blanche et grise avec quelques teintes de mauve pâle. Le mauve rappelle le mauve du haut alors que le blanc et le gris contrastent avec le noir de la tenue. Après tout, il ne voulait pas avoir l’air trop méchant en portant que du noir, il à donc opter pour les bottes blanches.
Passé* :
Mathias est né d’une famille bien normale de Daein. Son père cultivait la ferme, sa mère s’occupait du bétail, rien de bien sorcier. Mathias, par contre, aspirait à plus que la simple vie de fermier. Depuis son plus jeune âge, il avait toujours rêvé de voyager. Cela lui était venu de tous les nobles qui rentraient d’expédition. La famille n’habitait malheureusement pas Nevassa, mais ils habitaient à proximité, près de la route menant à la capitale. Il avait donc la chance de voir rentrer les nobles ainsi que leur cortège de gardes. Il avait aussitôt associé l’armée aux voyages, puisque ces gardes ne devaient être nul autre que l’armée de Daein. Mais malheureusement pour le jeune Mathias, son père le confinait à la maison, le forçant donc petit à petit à apprendre comment gérer la ferme. Le but ultime de son père était de lui passer les reines de la ferme lorsque celui-ci ne serait plus en âge de s’en occuper. Du moins, c’est ce qu’il a voulu lui faire croire. En fait, il voulait simplement épargner son fils adoré de la peste qui tuait tant de gens. Bien évidemment, Mathias tentait d’éviter cette vie d’emprisonnement. Il ne savait pas que c’était pour son propre bien. Il finit par quitter le foyer, à l’âge de quatorze ans. Son père avait protesté, ou plutôt aurait puisqu’il n’était pas là lorsqu’il partit. Il était parti en plein milieu de la nuit pour se rendre vers le château.
Il arriva le lendemain matin, se disant qu’il serait préférable de se présenter de jour que de soir. Il attendit donc le levé du soleil pour se présenter devant l’immense porte de la ville. Elle était grande ouverte, permettant donc aux gens de circuler librement dans la ville et à l’extérieur. Mathias resta quelques instants planté là, à admirer la géante porte. Il ne tarda pas à entrer, aussitôt plein d’énergie. Il se sentait plus fort que jamais. Il monta donc le long de la ville jusqu’à voir une nouvelle porte, un peu plus petite que l’autre. Par contre, celle-ci était fermée, au contraire de l’autre. La porte était flanquée de deux soldats, qui semblaient monter la garde. Mathias se risqua vers l’un d’eux puis leur signala ses intentions de s’enrôler. Les deux gardes lui ouvrirent aussitôt la porte puis ils le firent procéder à l’intérieur. Ce qu’il le laissa sans voix : Il y avait des dizaines de files, chacune d’environ une centaine de personnes. Comme lui, ils avaient voulu s’enrôler et avaient aussitôt été engagés. En fait, ce n’était pas tout à fait vrai. Ils allaient être acceptés, mais pour l’instant ils faisaient la file, l’un derrière l’autre. Mathias se fit pointer une ligne par l’un des gardes et alla s’y placer.
Il attendit une bonne heure et demie avant qu’enfin son tour vienne. Il se présenta à la table où on lui demanda toute sorte de renseignements, comme son nom ou encore son âge. On lui demanda même sa ville natale. Il leur menti qu’il venait de Nevassa. Sa voix n’avait pas l’air convaincante, mais la dame n’en fit rien. Il ne devait pas être le premier à leur mentir cela. Il put tout de même procéder à l’intérieur. On lui donna une armure et une lance et il fut aussitôt lancé dans une session d’entraînement déjà commencé. Il réussit tout de même à la finir, mais pas sans difficulté. IL n’avait jamais manié une lance. Il avait toujours une épée quand il se pratiquait chez lui. Il n’avait pas une vraie épée, mais un simple bout de bois, mais ça ressemblait plus à une épée qu’une lance en tout cas. Il alla voir l’armurerie, leur demandant une épée. Le colosse à la forge la lui donna aussitôt tout en reprenant la lance qu’il avait. Ce fut alors la naissance d’un excellent escrimeur.
Mathias, sans nécessairement pouvoir s’en vanter, fut l’un des soldats les plus productifs de la guerre du Roi Ashnard. Il avait fait un tabac dans son unité, ayant reçu le surnom de Faucheur. Bine évidemment, il n’était pas le plus puissant de l’armée, mais dans son unité, c’était une autre chose. Jusqu’alors, Mathias s’était battu vaillamment. Mais tout était sur le point de changer. Alors qu’il patrouillait un boisé, il entendit des sanglots qui venaient de la forêt, mais plus profond dans celle-ci. Il s’y engouffra donc sans perdre une seconde puis faillit crié lorsqu’il vit de quoi il s’agissait. Un laguz félin, tout jeune encore, tenait une femme qui devait être dans la vingtaine dans ses bras. Il était à genoux et tenait la dame sur des cuisses et sanglotait par-dessus son corps. Puis, il leva la tête et me vit, il lâcha alors la femme puis se transforma. Comme réflexe, il dégaina son arme. Les deux combattants se regardèrent pendant de longues minutes puis Mathias finit par baisser son arme. Il venait de réaliser le mal qu’il avait fait, lui et les siens. La femme qui gisait sur le sol devait être la mère du petit. Celle-ci était soit morte au combat par un ou plusieurs des hommes de Ashnard, ou alors tuée par ceux-ci sans aucun scrupule alors qu’elle et son fils prenaient la fuite. Sans rien dire, il rengaina son épée puis s’en alla. Plus jamais on n’entendit parler du Faucheur de l’unité 127.
Comme de fait, Ashnard perdu sa guerre et la paix fut ré établi sur Tellius. Malheureusement, cette période ne dura que trop peu longtemps. Deux ans environ depuis la mort du Roi Ashnard, une nouvelle menace planait sur Tellius. Après la mort du Roi de Daein, le pays avait été remis sous la juridiction de Begnion. Celle-ci traitait donc le pays avec le moins de respect qu’il pouvait, ce qui ne plaisait pas vraiment au peuple. Malheureusement, le peuple n’y pouvait pas grand-chose. Cela jusqu’à l’arrivée de la Brigade de l’Aube. Avec l’aide du Prince Pelleas, l’héritier perdu du trône, ils réussirent à reprendre Daein. Mais ce n’était que le cadet de leurs soucis, puisqu’une guerre imminente se préparait entre l’alliance Laguz et Begnion. Pendant ce temps, Mathias errait seul sur le continent. Il allait partout, mais ne vivait nulle part. Il entendait tout ce qui se passait sur le continent, et ça l’inquiétait. Mais pourquoi les hommes avaient-ils une telle hargne envers les Laguz? Il venait à peine de se remettre d’une guerre que déjà Daein envoyait ses armées en renforts à Begnion.
Pendant que la guerre faisait rage à Begnion, Valtome, quant à lui, faisait impression à Criméa, alors qu’il attaquait Elincia, la reine dudit pays. Il l’accusait de traître alors qu’elle essayait d’éviter une nouvelle guerre sur ses terres. Ce fut alors qu’une tragédie frappa l’entièreté du continent, voire même de la planète entière. Ashera, la déesse de l’ordre et de la restriction, jugea Tellius comme incapable de vivre en commun accord. De ce fait, elle pétrifia la majeure partie de la population de Tellius. Heureusement pour eux, la troupe de Ike et ses mercenaires furent pour la plupart épargnés et purent rétablir l’équilibre sur Tellius à nouveau. Mais qu’est-il arrivé à notre jeune épéiste? Et bien malheureusement pour lui, il fut pétrifié par la déesse déchue. Tout ce qu’il apprit de ce qui s’était passé, il l’a appris par la nouvelle reine de Daein, Micaiah. Elle avait fait un discours à tous les habitants de son pays premièrement pour le couronnement, mais pour aussi assurer une paix durable sur Tellius ainsi qu’un résumé des événements qui s’étaient passés.
Sept ans après ces fâcheux incidents, Mathias errait toujours sur le continent, à la recherche d’un but précis ou de compagnons avec qui voyager. Après tout, son but premier dans la vie .tait de voyager, et c’est qu’il avait fait. Mais maintenant, il sentait avoir tout vu qu’il pouvait voir. Les seules places où il n’était pas allé lui étaient interdites. Alors qu’il était dans une taverne de Criméa que des corps de Laguz avaient été retrouvé sans vie, avec des lacérations de couteau plus qu’évidentes. Alors que ceux-ci remettaient la faute sur les Hommes, des cadavres d’Hommes furent aussi trouvés sans vie, mutilés ou encore tout simplement démembrés. Alors que les accusations fusaient, personne ne se doutait de ce qui se passait véritablement. Et si c’était une toute nouvelle menace, qui avait comme but de monter les deux races l’une contre l’autre. C’est à cet instant qu’il prit la décision de monter une unité de voyageurs expérimentés et d’en avoir le cœur net. Ils voyageraient sans relâche jusqu’à ce qu’enfin, ils démasquent l’ennemi et y mettent un terme. Il commença ses recherches à Criméa, puisqu’il y était déjà.
Comment avez-vous connu le forum ? : J’étais sur CNY mais c’est un copain qui ma redonné le goût de RP sur Fire Emblem ^^’
Expérience du Role-Play: Trois bonnes années, voire un peu plus.