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 Sur la côte de Semper [Erin]

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MessageSujet: Sur la côte de Semper [Erin]   Sur la côte de Semper [Erin] I_icon_minitimeMer 11 Mai - 18:50

Nao trottinait sur un petit chemin poussiéreux.
La chaleur la faisait suffoquer, et sa langue était asséchée. Beignon était un beau pays, mais épuisant. La lionne était pressée d'arriver à la ville suivante, d'autant plus que ses réserves d'eau avaient atteint un stade critique. Ses longs cheveux bleus soufflés par la brise, s'agitaient en mèche rebelles alors que sa langue pâteuse remuait plusieurs fois dans se bouche. Elle s'arrêta pour vider les dernières goutes de son outre. Cela suffit juste à lui humecter un peu la bouche. Soif, soif, il faisait bien trop soif.

Elle rajusta son bandeau qui couvraient ses oreilles. Hier elle avait oublié de le porter et certains habitants l'avaient observé d'une drôle de manière. Nao comprenait très bien pourquoi. Quand on voyait ce que son peuple faisait à ses propres membres, comment des êtres aussi merveilleux que les Béorcs n'auraient-ils pu en souffrir? Enfin c'était bien dommage tout de même.

Elle continua un bout de chemin en remuant ces sinistres pensées. Le soleil de plomb l'écrasait et de la sueur goutait dans son dos. Mais finalement des bruits indiquant l'activité d'une ville lui parvinrent.

Enfin! Elle poussa un soupire de soulagement. Elle avait faim, soif, et n'en pouvait absolument plus. C'était un étrange village. Il ne payait pas de mine. Si Nao avait eu quelques connaissances en architecture, elle aurait pu appeler ces drôles de maisons des pagodes. La lionne fut même étonnée d'en voir certaines construites sur l'eau. Les gens agissaient d'une manière bizzare. Sans explication, quand ils la croisaient ils la saluaient et se courbant. Nao se mit à adopter cette pratique, troublée par cette politesse mais pourtant charmée.

Des odeurs étranges, qu'elle n'avait encore jamais senties l'inondaient de tous cotés. Son estomac se mit à grogner avec force. Quels doux parfums!!

Nao se précipita dans un petite boutique où un vieil homme qui aurait pu être centenaire roulait des boulette d'étranges aliments blancs, qu'il recouvrait d'une viande qu'elle n'avait encore jamais vu jusque là. La lionne s'assit au comptoirs et le regarda découper une bête scintillante au soleil et qui n'avait pas de pattes. Sans doute un poisson, si elle s'en référai à ce que son père lui avait dit. Il maniait sa lame comme un expert, la lionne fut très impressionné par sa performance. Lançant l'animal en l'air, il le taillada à petit coups précis pour que les morceaux de viande retombent sur les pâtés blancs et les arrêtes dans un sac prévu à cet effet.

Nao se lécha les babines.

Je peux gouter Monsieur aux grands couteaux?
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MessageSujet: Re: Sur la côte de Semper [Erin]   Sur la côte de Semper [Erin] I_icon_minitimeSam 9 Juil - 0:19

Les pieds baignant dans l’eau et laissant la douce brise de la mer caresser son visage, Erin ferma un instant les yeux, appréciant la fraîcheur qu’elle amenait avec elle. Après ces jours passés dans le désert même un territoire tempéré paressait frais. Si ce n’était le roulement des vagues qui allaient lécher la plage où se trouvait la Marquée, il n’y avait nul autre bruit. Le silence de l’étendu désertique avait plu à la jeune femme mais les sons associés à la mer avait ce don d’être apaisants, nul doute pour Erin qu’ils pouvaient agir comme berceuse pour elle. Derrière elle, bien en retrait, Varathorn ne semblait pas apprécier autant les lieux. Renâclant, il gratta le sable, signe manifeste d’impatiente. Erin rouvrit alors les yeux en lâchant un long soupir et se retourna pour faire face au pégase.

« Oh ça va ! Ce n’est pas parce que mÔsieur a peur de l’eau, que les autres ne peuvent pas en profiter ! »


Secouant sa tête et son encolure, le pégase les remonta et regarda la jeune femme de toute sa hauteur, une lueur de fierté dans son regard, ce qui fit grimacer la Marquée et paraissant légèrement irritée elle s’approcha de l’équidé.

« Il n’y a vraiment pas de quoi faire le fier !"

Une fois à la hauteur du pégase, elle lui frappa l’épaule d’un coup ferme mais bien indolore pour ce dernier et lorsqu’elle fut au niveau de sa croupe, elle fit mine de continuer son petit bonhomme de chemin l’éloignant ainsi de l’étendue d’eau salée. Sans prévenir alors, elle se retourna et appuyant ses mains sur ses fesses et le poussa brusquement vers l’eau. Par réflexe le pégase réagit à la poussée en se mettant au pas, mais dès que ses sabot émirent un clapotement lorsque le niveau de l’eau arriva à ses paturons, il stoppa net et tous les efforts d’Erin ne parvinrent pas à le faire bouger d’un pouce, même en y mettant toute sa force et en essayant plusieurs techniques pour le faire avancer. Dépitée, la jeune femme s’appuya à nouveau sur la fesse droite du cheval ailé, son bras droit tendu.

« C’est quand même quelque chose ça ! Un pégase qui a peur de l’eau ! Alors pour se jeter dans la mêlée et se prendre des coups, y’a aucun problème, mais pour se mouiller les pattes y’a plus personne ! Tu sais Var, des fois je me demande si tu as vraiment des c... »

Erin ne put finir sa phrase. A croire qu’elle avait une fois de plus réussit à vexer le pégase, celui-ci s’était décalé vers la droite alors qu’il faisait demi-tour durant ce même temps, ce qui eut pour effet de déséquilibrer la Marquée qui ne pu se rattraper et se retrouva à effectuer un magnifique plat sur le côté qui résonna en un joli « SPLASH », bien que le niveau d’eau ne soit pas si élevé que ça.

Lorsqu’elle ressorti la tête de l’eau, Erin pu entendre des éclats de rire. Crachant l’eau salée qu’elle avait dans la bouche, elle se retourna et écarta quelques mèches de cheveux mouillés pour apercevoir des gamins un peu plus loin sur la plage, le pégase quand à lui, continuait son chemin comme si de rien était. Ses vêtements alourdis parce qu’ils étaient trempés et brunit par le sable qui s’y était collé, Erin se releva en marchant ensuite avec peine et suivit de loin l’animal.


« Ok j’ai compris ! Ne compte pas sur moi pour demander de l’aide pour qu’on te sorte de l’eau si on se crash dans un lac ou peu importe ! Je suis certaine que tu feras un joli rocher sous l’eau ! »

Ceci dit, elle se tourna vers les gamins qui étaient toujours hilares et leur fit une belle révérence, comme certains artistes aimaient à le faire après leurs prestations. Ils s’approchèrent alors d’elle et la prirent par la main en l’attirant sur le petit sentier de sable qui longeant la plage. Sans rouspéter, ni se courroucer, Erin se laissa faire. Elle avait déjà repéré le village côtier qui se trouvait plus loin lorsqu’elle avait décidé de mettre pied à terre avec Varathorn et les enfants s’y dirigeaient joyeusement.
Lorsqu’ils y parvinrent, la jeune femme ne se retint pas d’observer intégralement le hameau. Les maison sur pilori lui semblaient étranges, tout comme le comportement des locaux qui ne cessaient de s’incliner à son passage comme si elle était une personne royale ou du moins très reconnu et importante. Mais lorsqu’elle vit que les enfants s’inclinaient à leur tour vers les adultes, la Marquée jugea que se devait être leur manière de se saluer et suivit le mouvement en cassant son buste dès qu’elle voyait un nouveau visage. Varathorn lui, suivait tranquillement en retrait. Toujours vexé semble-t-il, il tenait à respecter une certaine distance entre lui et tout être humain.

L’odeur salée de la mer et du poisson était prédominante. La deuxième gagna en intensité lorsque le petit groupe passa devant un cabanon où se trouvaient de nombreuses caisses en bois et plusieurs pirogues à l’arrière munies de lourds filers, ballotant au gré des vagues. Erin n’était pas une inconditionnelle de poisson, mais le voyage fut long et son estomac ne tarda guère à se manifester en poussant un bon gros grognement. A nouveau hilares, les enfants lui indiquèrent le cabanon et mimèrent une personne en train de manger. La jeune femme les remercia et jeta un coup d’œil derrière elle pour s’assurer de la présence du pégase avant de s’engouffrer dans la petite entrée.

Un vieil homme s’affairait en maniant des couteaux avec une telle dextérité qu’Erin eut parfois du mal à suivre le mouvement, fait bien surprenant de la part d’une personne qui semblait si âgée. Un autre individu se trouvait dans le cabanon, une jeune femme aux cheveux bleus comme elle. Cette dernière semblait bien intriguée par la préparation du vieil homme et s’approchant Erin ne put que suivre le mouvement de curiosité vis-à-vis de ces drôles d’aliments et se penchant par-dessus l’épaule de l’inconnue qui venait de demander si elle pouvait gouter, elle lâcha :

« Et bien ! C’est vraiment bizarre comme plat ! »

Alors que toute son attitude montrait la curiosité que suscitait ce met, Erin afficha vite fait une mine excusée lorsque son regard se posa sur l’autre jeune femme.

« Veuillez m’excuser je ne voulais pas vous incommoder. »

Ceci dit, elle se recula vite fait, consciente que ce n’était pas une manière des plus polie que de se pencher ainsi au dessus des gens. Le vieil homme quand à lui, avait finit une série des étranges bouchées et les avait réparti sur deux plats qu’il tendit au deux femmes. Erin le regarda tout d’abord d’un air sceptique avant de prendre le plat qui était tendu vers elle et de s’assoir à côté de l’autre jeune femme. Elle jeta d’ailleurs un coup d’œil à cette dernière et afficha un petit sourire avant de reprendre la parole.

« Je suppose que nous n’avons pas le choix que de goûter à ceci. »

La Marquée reporta son attention sur les boulette blanche surmontée d’une fine lanière de poisson cru. Même si elle avait faim, elle devait admettre que cela ne lui donnait pas beaucoup envie… Elle tendit tout de même sa main vers un premier morceau quand un raclement de gorge lui fit lever les yeux, le vieil homme lui tendait maintenant une paire de petites baguettes en bois. La jeune femme s’en empara et resta alors figée, se demandant ce que l’homme attendait qu’elle fasse avec ces morceaux de bois. Son expression devait être drôle car le vieux cuisinier eut un bon rire franc avant de commencer à mimer quelque chose. Erin comprit alors qu’elle devait se servir des baguettes pour se saisir de chaque morceau un par un. Fixant les baguettes du regard elle ne pu s’empêcher de lâcher un soupir en disant :

« C’est pas gagné… »
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MessageSujet: Re: Sur la côte de Semper [Erin]   Sur la côte de Semper [Erin] I_icon_minitimeLun 1 Aoû - 0:02

Nao n’avait pas sitôt finit sa phrase qu’une voix féminine s’éleva d’au dessus d’elle, la faisant sauter de son tabouret. Perdue dans ses pensées gustatives, la jeune fille s’était laissée surprendre par la nouvelle venue, aussi stupidement qu’un Béorc sourd. Un peu surprise par son laissé allez, elle se rassit, lentement, tout en continuant d’observer la femme qui s’installa à ses cotés. Qu’elle était belle ! Bien habillée, la taille fine et élancée, des yeux magnifiques, couleur azure qui réfléchirent le regard ambré de la Laguz. Nao retint sa respiration. Un sourire de joie s’étendit sur ses fines lèvres, lui donnant un air sans doute un peu idiot. La raison de ce bonheur ? Avoir enfin trouvé quelqu’un qui partageait une couleur de cheveux semblable à la sienne. Cela peut vous paraitre idiot, sans intérêt, mais avait pourtant une importance capitale pour la jeune Laguz. Il semblerait, que chaque détail à son importance, même les choses et les actes les plus communs, tout dépend des personnes et des circonstances, mais il y’a bien peut de choses qui n’ont aucune conséquences. Par exemple, cette Béorc, ne pouvait pas savoir ce que sa présence pouvait faire naitre dans le cœur de sa compagne de table, ce soulagement qu’elle ressentait accompagnée d’une petite pointe de fierté. Pendant toute son enfance, qu’elle avait passée isolée et abandonnée, sa chevelure, pourtant magnifique, avait été sujet de bien des ragots et calomnies en tout genre. Elle avait été la seule de la famille à arborer cette couleur bleue sombre, à être une lionne bleue. Sa mère, avait une robe rouge écarlate en digne descendante de la famille royale, tendis que son père portait le noire ébène des nobles de la frontière nord. En plus d’être née fille, Nao avait dût supporter les insinuations sur son illégitimité. Et pourtant, c’était faux. Elle était juste différente, mais cela n’avait aucun intérêt pour passer le temps des quelques servantes qui radotaient continuellement devant sa chambre. Ceci n’avait été qu’une des multiples blessures qui l’avaient marqués pendant cette période noire qu’elle refoulait toujours au plus profond d’elle-même. Voir la beauté des cheveux de cette femme l’avait complètement charmé. Elle en oubliait sa différence et était fier d’être ainsi, de posséder elle aussi un tel trait de beauté. Voici comment un petit détail suffit à apporter un peu de bonheur à un être martelé, lui redonner un peu d’humanité et de confiance. Il suffit de peu, mais le peu se suffit à lui-même.

Dans sa collection, l’inconnue aurait donc le numéro deux du côté féminin. Un place d’honneur s’il en est, qui était bien digne d’un être aussi splendide qu’elle. La lionne la dévisagea jusqu’au moment où elle pensa que son impolitesse atteignait les limites du raisonnable. Vraiment, elle ne voulait pas commencer par se faire détester d’une nouvelle amie Béorc potentielle. Et puis, cette jeune femme connaissait peut être la voie pour le pays des dragons, ou pourrait peut être même l’accompagner ! Mais tout ceci était aller un peu vite en besogne car pour l’instant, la lionne avait du mal à dire un mot pour se présenter. Elle était bizarrement intimidée par la Béorc et pour une fois, réfléchissait à ce qu’elle pourrait dire. Sa spontanéité avait laissé place à l’indécision et à la peur de mal faire. Peut être qu’au fil des rencontres, Nao avait finit par ressentir quelques sentiments humains, et laisser un peu de coté son égoïsme inégalable. La rencontre avec monsieur Alan n’y avait sans doute pas été étrangère, et elle s’était rendue compte que certaines paroles pouvaient être blessantes. Après tout, n’en avait-elle pas suffisamment fait les frais ? Inutile de faire ressentir cela à des gens qu’elle appréciait. Une envie de bien faire, une envie de se faire aimer, c’était ce qu’elle ressentait pour l’instant, mais c’était difficile de se lancer.

Heureusement, un… « détail » attira son attention.

C’était le superbe pégase qui se tenait à quelques pas et semblait visiblement être la monture de la nouvelle arrivante. Un pégase… Parcourir les cieux sur un cheval aillé, sentir le vent de la liberté lui fouetter le visage, passer à travers les gouttelettes des nuages et émerger au ciel bleu qui s’étendait sans doute au dessus, défier les lois, la gravité, un rêve fou qui l’avait toujours habité. Et maintenant, elle rencontrait cette personne qui en plus de lui avoir apporté de la joie, partageait se rêve, et pouvait peut être l’aider à le réaliser. Comme elle aimerait décoller de cette terre pour voltiger à travers les cieux. Il lui semblait que la dernière fois qu’elle s’y était essayée, n’avait pas vraiment été une réussite, mais lui avait laissé un souvenir indélébile. Seulement, cette course de ski, semblait faire partit d’un autre monde et ses souvenirs là-dessus restaient étrangement flous.

Comme s’il avait deviné ses intentions, le splendide cheval la regardait de ses yeux marron, pétillant de malice. Il snoba la lionne d’un air hautain, ce qui la déstabilisa totalement et elle se retourna les joues rougissante vers le comptoir et l’animation du Monsieur aux longs couteaux. Elle bafouilla rapidement une vague réponse pour l’inconnue qui venait de s’excuser, conservant un air coupable.


« Je heu.. sa sa sa n’ai pas graa vheu madame la cacavalière des vents… je v vous emprie, joijoignez v vous av… à moi ! »


Lorsque le vieil homme eut finit de disposer les mets devant elle et leur fit signe de gouter avec un sourire édenté, Nao plongea sur son bout de poisson pour cacher sa gène. Elle ne comprenait pas elle-même pourquoi elle était aussi timide, mais la cavalière détenait les clefs d’un de ses rêves, voir deux, ce qui pouvait être finalement une raison suffisante… Nao Lyn Sha impressionnée par quelqu’un… mes aïeux, il faut croire que tout est vraiment possible sur cette terre, ne perdez jamais espoir !

A ce moment, le Monsieur aux grands couteaux, lui tapa sur les doigts avec de fines baguettes de bois, et la Laguz vexée feula un peu en retirant sa main. Pouvait-elle manger ou ne pouvait-elle pas ? Son estomac grondait, et cacher sa gène serait plus que bien venu. Comme la Béorc, Nao tenta de comprendre le fonctionnement de ses couverts bizarres et ne comprenant absolument rien, elle pencha la tête sur le coté avec un air simplet :


« Vous pourriez nous montrer monsieur aux longs couteaux ? »

L’homme ne semblait pas comprendre totalement sa langue non plus, mais l’air stupide de la jeune lionne avait dût suffire pour faire passer le message. Il saisit les objets comme une pince et avec dextérité récupéra une bouchée de riz pour la mettre dans sa bouche. Nao était contente, ce ne serait pas évident, mais au moins ça changeait de la façon habituelle de procéder. Après tout, elle visitait le monde pour découvrir de nouvelles choses, et les défis l’excitaient. Ni une ni deux, elle s’empara de ses armes et attaqua le bout de poisson sans défense. Elle le coupa presque en deux en maitrisant mal sa force mais finit par l’amener à bon port. Posant les deux poings sur la table, la lionne mâchât d’un air concentré. Une fois, deux fois, puis elle se leva d’un bond en s’écriant la bouche pleine et en postillonnant un peu partout :


« Ch’est trooop troop bonnnnnnn !!! Hein Madame la cavalière !! Vous n’êtes pas d’accord ? Hein dite dite dite ?! »


La lionne avala sa bouchée et fit d’un grand sourire à la Béorc en lui saisissant les mains pour les secouer un peu dans tout les sens. Il faut croire que sa timidité n’avait été que passagère et que manger avait tout remit dans l’ordre. Nao Lyn Sha était tout simplement redevenue elle-même, se délectant simplement du bonheur simple que lui offrait la vie. Mais cette fois ci elle était bien décidée à faire un petit bout de chemin avec sa nouvelle « proie ». Tout à sa joie, elle ne remarqua pas que sa feuille de note couverte de gribouillis sensée la conduire à Goldoa était tombée de sa poche.

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