Erin --Cavalière Pégase--

o Informations générales :

Nom :(inconnu)
Prénom* : Erin
Âge* : Apparence environs 21 ans (en réalité 30 ans)
Race* : Beorc
Peuple: Marquée
Classe* : Chevalier pégase
Pays d'origine* : Criméa si ses souvenirs sont bons…

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o Description du Personnage :

Caractère* :

Aime :
Bien que la présence d’autres ne la gêne pas et qu’elle aime voir les gens heureux, Erin à pour habitude d’être seule ou uniquement en compagnie de son pégase. Ca peut paraître paradoxal mais elle adore aider autrui que se soient les Beorc ou les Laguz mais elle n’ira jamais débuter une relation d’elle-même .Elle aime regarder le ciel, la sensation de liberté lorsqu’elle est en vol, les bains chauds (elles y passent des heures si elle le peut) et tout ce qui est sucré, salé ou épicé.

N'aime pas :
Les hypocrites, les têtes brûlées, la méchanceté gratuite, les politiciens (surtout les sénateurs de Begnion). Elle ne supporte pas qu’on s’en prenne aux personnes qui lui sont chères. Les faibles qui ne font que se plaindre sur leur sort et qui n’essaye même pas de faire un minimum afin d’arranger leur vie…
Sa marque qui a valu tant de douleurs à sa pauvre mère, à son jumeau et à elle-même. Côté culinaire, oubliez les aliments amers. Elle risquerait de s’emporter si quelqu’un décidait contre son gré de la protéger lors d’un combat.

Qualités :
Erin est dotée d’un flegme à toute épreuve, peut importe la situation vous ne la verrez que rarement s’emporter. Ses qualités de stratèges et de commandement lui permettent de juger une situation calmement et de développer un plan au milieu de l’action.
Une fois le premier pas fait pour ce qui est du relationnel, on découvre qu’Erin est une personne agréable à vivre, avec un certain sens de l’humour. Elle porte une oreille attentive aux autres et si elle s’est mise quelque chose en tête elle ira jusqu’au bout pour le faire.

Du point de vue martial, beaucoup feraient l’éloge d’Erin. Rusée, agissant avec dextérité et manquant rarement sa cible, il est sur qu’elle ferait un bon soldat ou général.
Erin est doté d’une capacité d’assimilation très développée. Il lui suffit parfois de ne voir qu’une seule fois une passe d’arme pour pouvoir la retranscrire intégralement, ce qui en fait une adversaire redoutable car après avoir vu une première fois une attaque il lui est bien plus facile de l’éviter par la suite. Toutefois cette aptitude demande un certain travail au niveau de ses cervicales, ce qui peut l’amener à avoir de terribles maux de tête. Ces derniers sont parfois tellement forts qu’ils peuvent lui faire perdre connaissance.

Défauts :
Son flegme. Eh oui, il n’y a pas que lors des confrontations qu’il fait effet. Aux premiers abords Erin peut paraît froide et distante, ce dernier point n’est pas totalement faux car la jeune femme évite de se lier trop intimement avec d’autres personnes. Elle se protège ainsi de la douleur s’il devait arriver malheur à ces personnes, mais une fois ce mur là passé, sa véritable personnalité se découvre. Ce même flegme peut aussi la faire passer pour une « je m’en foutiste » voire une sans cœur selon les situations mais ce n’est évidemment pas le cas.

Elle est souvent dans la lune et il arrive souvent qu’elle y reste un bon moment, le regard perdu à fixer le ciel ou le plafond d’une pièce. Bornée et ayant un caractère tout de même fort, il lui arrive de se prendre la tête avec les autres quand quelque chose lui tiens à cœur. Par moment elle peut manquer de tact et dire des choses dures et il est rare qu’elle garde ce qu’elle pense pour elle, même si cela blesse la personne. En contrepartie elle ne dit rien pour se défendre par la suite.
Trop protectrice envers les gens qu’elle apprécie il est facile de deviner qu’ils constituent son plus gros point faible étant donné qu’elle donnerait volontiers sa vie pour les sauver.

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Physique* :

Taille :
De taille moyenne, voire grande selon certains, Erin mesure 1m78

Yeux :
Bleu. Sous une forte luminosité ils prennent une teinte azure. Sous basse luminosité ou la nuit ils paraissent bien plus foncés.

Cheveux :
Bleu foncé et raides ils tombent en cascade jusqu’au milieu du dos d’Erin. Cette dernière n’a pas pour habitude de les attacher, ne serait-ce qu’en une simple queue de cheval. Elle préfère les sentir libre et volés autour d’elle à la moindre brise de vent. Une frange cache son front.

Physionomie :
Erin a un corps fin, svelte, souple et élancé. Ses jambes sont plus longue que son buste ce qui la fait paraître plus grande qu’elle ne l’est réellement. Ses muscles se dessinent finement, montrant que malgré son joli minois et son air doux et neutre, il serait plus judicieux de ne pas la sous estimer en combat. Légèrement cambrée, elle dispose d’un maintien qui lui assure une certaine prestance, ce qui à tendance à faire parler les mauvaises langues et de la qualifier d’hautaine, ce qui n’est totalement pas le cas.

Style vestimentaire :
Erin a pour habitude de porter une tunique bordeaux, à la doublure blanche, à manches longues et col roulé, qui descend jusqu’à la moitié de ses cuisses. Les manches sont retroussées presque jusqu’à l’épaule lui permettant ainsi de porter des gants –mitaines (les doigts sont *nus*) qui montent jusqu’à ce niveau, de couleur blanche et argentée. Ses jambes sont cachées par ce qui pourrait s’apparenter à une leggings noire et elle porte des chaussures à talons courts. Montantes jusqu’au dessus de sa chevilles, elles sont blanches et argentées et munies d’éperons.
Comme seule armure elle ne porte qu’un plastron lui aussi blanc et argenté, ainsi que des épaulières. Son arme de prédilection est la lance et il est rare de ne pas la voir sans.
Erin

Accessoires :
Les deux gros bracelets en métal qu’elle porte à chaque poignet sont en fait des poids. (non Erin n’est pas maso mais elle cherche juste à se perfectionner constamment.)

Le seul bijou qu’a Erin est un gros pendentif argenté au bout d’une fine chaîne très longue. Il est rare qu’on le voit car en général Erin le cache sous ses habits. Il s’agit en fait d’un pendentif qu’on peut ouvrir et lorsque ceci est fait, une douce musique se lance (genre boîte à musique en fait^^)
Image du dessus

Erin voyage constamment avec la lyre qui appartenait à sa défunte mère. En forme de croissant de lune, un peu plus grande que les lyres dites « traditionnelles » C’est un Instrument magnifique, aux finitions parfaites et aux notes cristallines.
La lyre

Autre :
Sa marque qui se situe dans le creux de ses reins. En général un bandage la cache, même si les vêtements de la jeune femme suffisent amplement à la dissimuler aux yeux de tous, mais sait-on jamais.
Image

Histoire :

Passé aux eaux troubles que celui d’Erin.
Née avec son jumeau de l’union de deux personnes qui s’aimaient d’un amour fort et sincère, ceci ne pourrait rien avoir de particulier si ce n’était que la femme était une Beorc et l’homme un Laguz et sur Tellius, ce genre de relation n’est malheureusement pas très appréciée.
Le racisme mutuel que portent ces deux « races » l’une envers l’autre fit fuir les deux amants de leurs pays d’origines, pour eux, seule une contrée pouvait les cacher en son sein. Criméa.
Erin ne sait pas grand-chose de ses parents, surtout son père dont elle ne sait même pas de quel peuple Laguz il était issu. Son passé reste flou. Elle sait qu’elle était l’aînée de trente minutes de son jumeau. Elle sait aussi que jusqu’à l’âge de leurs 5 ans, ils avaient vécu une petite enfance et une enfance des plus tranquille et heureuse. Mais Erin à beau faire, dans ses souvenirs de cette époque révolue, son père n’est qu’un être flou. Seule sa voix et la sensation de sa tendre étreinte de ses bras forts sont claires.

Si elle ne devait s’en tenir qu’à ses souvenirs « entiers », la vie d’Erin débute à ses 5 ans. A cette époque ci, sa mère ainsi qu’elle-même et son jumeau faisaient partis des esclaves d’un sénateur de Begnion, une vie plutôt tranquille si on ne prend pas en compte, les coups de fouets, de poings ou de pieds ainsi que les injures dégradantes qui leur étaient balancées à chaque fois. Les deux gamins n’auraient jamais tenus le coup si leur mère n’était pas là pour les soutenir, les bercer et les calmer. Pour les endormir elle leur jouait toujours un air avec sa lyre. Erin avait toujours été subjugué par l’instrument, sa mère n’avait jamais eu le temps de lui apprendre à en jouer mais la petite fille faisait déjà montre de sa capacité d’assimilation et elle surprit sa mère et son jumeau en jouant un jour, un court air avec l’instrument de sa génitrice.

Tout cela aurait pu continuer jusqu’à leur mort respective à tous les trois, mais tout bascula l’année de leur 8 ans. Une nuit alors que les deux bambins avaient fini leur service et qu’ils attendaient leur mère dans la petite pièce miteuse qui leur servait de chambre à tous les trois, cette dernière ne vint pas. Inquiets de cette absence, les jumeaux partirent à sa recherche dans toute la demeure, faisant tout de même attention à ce qu’un garde ou un de leurs Maîtres ne les voient pas.
Des bruits suspects attirèrent leur attention lorsqu’ils arrivèrent au sous sol. Des cris, des rires, des plaintes…
La pièce d’où venait tout ce vacarme se trouvait un peu plus loin. La porte était légèrement entrouverte, ce qui permit aux deux enfants de voir l’horreur qui se passait dans cette sombre pièce.
Leur mère allongée sur le dos sur ce qui pouvait s’apparenter à une table, la mine affreuse et le visage ruisselant de larmes, trois hommes autour. Ils étaient peut-être trop jeunes pour comprendre ce qu’il se passait réellement mais il était clair pour eux que ces hommes faisaient du mal à leur mère.

Le jumeau d’Erin fut le premier à réagir. Poussant un grand cri de rage il s’était précipité vers l’homme le plus proche et du haut de ses huit ans, parvint à le pousser contre un de ses compères. Tous deux surpris et déséquilibrés ils chutèrent lourdement sur le sol. Erin s’était littéralement jetée sur le dernier homme debout et l’avait violemment mordu dans le dos.
Evidemment il ne fallut pas attendre longtemps pour que les deux gamins soient maitrisés. La suite des évènements bien que bien présente dans la mémoire d’Erin, nous n’allons pas nous y attarder.

La suite de l’histoire reprend trois jours plus tard. Encore une fois il fait nuit noire et dans le froid glacé de l’hiver, trois silhouettes se déplacent rapidement et aussi silencieusement que possible dans les rues de Sienne.
Pour la mère d’Erin et de son jumeau, il était hors de question que leur vie continue ainsi. Ils couraient un grand risque à s’enfuir ainsi, mais ce risque valait la peine d’être couru. Toute la nuit la lune éclaira leurs pas de ses pâles rayons lumineux. Ils ne rencontrèrent personne, ce qui n’était pas bien anormal. Qui mettrait un pied dehors à cette heure-ci par une telle température ?
La mère des jumeaux avait dans l’idée de se rendre à Daein, puis si tout se passait bien, ils pourraient longer les montagnes et rejoindre Criméa par le Nord-est.
Traverser les sombres forêts ne rassurait pas la mère de famille, mais ils n’avaient pas vraiment le choix. Suivre les routes qui menaient directement à chaque ville de Tellius était trop risqué.

Le périple se déroula plus ou moins bien jusqu’à Daein. A part le froid et la faim, ils n’avaient pas de quoi se plaindre. Mais une fois proches de la frontière avec Criméa, ils tombèrent sur un groupe de bandits. Lors de leur fuite, leur mère fut grièvement blessée par une flèche. Ils avaient pu se cacher dans ce qui pouvait être assimilé à une petite grotte, creusée à même la pierre et dissimulée par des buissons épineux et un gros troncs d’arbre. S’était Erin qui l’avait remarquée lorsqu’elle était tombée juste à côté.
La génitrice des deux enfants perdait trop de sang et la douleur ne lui permettait plus d’avancer. Elle rendit son dernier soupir en passant son pendentif autour du cou du jumeau d’Erin et en tendant sa lyre à la petite en leur disant à tous deux de ne pas perdre confiance en ce monde car il y avait des gens bons et qu’elle était certaine qu’ils pourraient vivre heureux.
Les deux enfants furent grandement affectés par la mort de leur mère. Ils restèrent trois jours encore dans cette petite grotte, le temps qu’ils ont pu faire un simili de tombe à celle qui était si chère à leurs yeux.

S’auto encourageant tous les deux, ils reprirent la route mais durent vite se faire à l’idée qu’ils étaient complètement perdus. Sans vivre, ils ne tardèrent pas à vite souffrir à nouveau de la famine. Il leur semblait que plus ils marchaient plus il faisait froid. Leurs forces les quittaient, il fallait à tout prix qu’ils trouvent un endroit où s’abriter du froid.
Leurs pas les menèrent hors de la forêt, sur une grande route. Ils savaient que leur mère avait évité ça durant le début de leur périple mais ils savaient aussi que s’était le chemin le plus court pour arriver à une ville. Là bas ils pourraient toujours s’arranger pour trouver à manger. La chance leur sourit, le surlendemain ils arrivèrent à une ville. Pas très grande mais assez pour qu’ils puissent passer inaperçus et peut-être pouvoir voler de la nourriture sur des étalages ou des caves que certains propriétaires auraient oublié de sceller.

Erin et son jumeau réussirent à vivre ainsi pendant quelques mois, mais l’hiver se faisaient long, très long même, et les températures ne baissaient pas. Au départ ils avaient réussit à trouver refuge dans ce qui pouvait ressembler à une crypte. Mais ils y furent délogés par deux mendiants. Ils étaient trop faibles pour résister aux adultes aussi faibles soient-ils eux aussi.
Ils réussirent à dénicher quelques vieux morceaux de tissus, mais trouer et pas bien épais ils ne les aidaient pas beaucoup à résister aux morsures du froid la nuit. Les jumeaux ne voulaient pas mourir, juste pour ne pas rendre leur maman malheureuse là où elle était désormais. Mais ils savaient que si on ne les aidait pas, ils ne parviendraient pas à survivre encore longtemps.
Arriva un jour où une bande d’adolescents les prit pour cibles. De la méchanceté gratuite, pure et dure. Les deux enfants ne répondant pas aux injures, eurent droit à un passage à tabac. Lorsque les ados virent alors les marques des deux enfants, ces derniers savaient que leur vie allait finir ici.
Un des batteurs, prit alors la lyre et comme si une nouvelle force s’était prise d’elle, Erin parvint à se lever et à reprendre l’instrument de musique des mains poisseuses de ce crétin de garçon. Tout se passa alors rapidement. Erin fut giflée. Sonnée elle vit tout de même son frère se jeter sur un des ados. Un des leurs sortit alors une dague. Il allait blesser Erin quand son frère se jeta entre elle et la lame. Une voix retentit alors, les adolescents furent prit de panique et fuirent. Erin eut juste le temps de voir son frère chuter, du sang coulant de sa poitrine, puis une silhouette apparu, floue. Alors que l’inconscience l’accueillait dans ses doux bras, où il n’y avait plus de douleurs, Erin était persuadé que s’était la fin.

La petite fille se réveilla un beau matin dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Elle était allongée dans un lit bien douillet dans une petite chambre. Que faisait-elle ici ? Une vois retenti alors. Surprise et apeurée la petite tourna la tête pour vire un jeune homme d’une vingtaine d’année, assis sur une chaise dans un coin de la pièce, un livre dans les mains. En voyant le regard apeurée d’Erin il s’empressa de lui dire qu’elle était en sureté et qu’elle ne risquait plus rien désormais.

« Où est mon frère ? »

Les yeux du garçon répondirent avant sa voix. Une boule se forma dans la gorge et la poitrine de la petite marquée. Il avait été dur de se dire que leur mère était morte, mais là, elle se rendait compte que perdre son jumeau était la pire des choses. Ils avaient été si proches l’un de l’autre ! La gamine avait l’impression d’avoir perdu une partie d’elle-même et d’un certain point de vue se n’était pas faux.
Voyant les larmes qui commençaient à perler dans les coins des yeux de la rescapée, le jeune homme se leva et alla l’étreindre. Le geste surprit Erin qui faillit se reculer, mais cette étreinte lui rappelait tant de bons souvenirs, aussi flous fussent-ils.
Elle pleura alors toutes les larmes de son corps. Après qu’elle se fut calmée, le garçon quitta la pièce et revint avec un gros bol rempli d’une soupe au fumet qui mit de suite l’eau à la bouche d’Erin.
Pendant que la petite mangeait, ils firent les présentations. Le jeune homme venait de Criméa, il était ici en visite chez sa tante à Daein. S’était chez elle qu’ils se trouvaient actuellement.

Ladite tante était une vieille femme qui vivait avec trois de ses douze enfants. Parmi eux, certains étaient déjà parents eux aussi et la maison n’était pas bien grande et la famille pas bien riche. La femme avait de suite prévenu son neveu qu’elle ne pourrait s’occuper de la petite, surtout que le fait que ce dernière était marquée ne lui plaisait pas trop. Le garçon ne fit pas de commentaires, de toute manière pour lui s’était tout vu, il l’emmènerait avec lui jusqu’à Criméa.
C’est ainsi qu’Erin parvint dans ce petit royaume, à dos de cheval, habillée de chauds et confortables vêtements, le médaillon autour du cou et la lyre de sa mère serrée contre elle. Elle avait hésité avant d’accepter de suivre son sauveur, mais elle était sûre que ses parents et son jumeau préfèreraient la voir se faire une nouvelle vie sur de bonnes bases que de ressasser le passé à longueur de temps et se morfondre sur leur perte.

La famille du garçon, installée à Melliad, était composée de ses parents, de lui-même ainsi que cinq autres petits frères, dont un avait l’âge d’Erin (9 ans à ce moment là). Malgré qu’elle soit une parfaite inconnue, et une marquée de surcroît, les parents du jeune homme l’acceptèrent de suite dans leur famille. La famille avait beau être gentille avec elle et la considérer comme un membre à part entière, Erin ne se sentait pas à sa place. Il était bon de voir une famille heureuse et soudée mais cela lui serrait le cœur aussi, elle aurait aimer vivre cela avec sa propre famille…
Les parents de cette fratrie masculine faisaient tous deux partis de l’armée de Criméa. Le père étant un fort guerrier et la mère, chevalier pégase. Les garçons de la famille, même les moins âgés, avaient déjà décidé de joindre les forces armées une fois qu’ils en auraient l’âge. Ils n’étaient donc pas rare de voir les garçons s’entraîner à l’épée ou la lance les uns contre les autres ou face à leurs parents eux-mêmes. En les voyant ainsi se confronter les uns les autres, la petite décida de suivre l’exemple. Sa demande auprès du père de famille pour qu’il lui enseigne le maniement de la lance le surprit, mais après tout pourquoi pas ? Puis la petite avaient de bons arguments. La surprise fut plus grande quand la petite fit une série d’enchaînement alors qu’elle n’avait jamais touchée à une lance. Sa seule réaction fut de hausser les épaules et de dire qu’elle l’avait vu faire. Comme si s’était normal et que tout le monde était capable d’apprendre ainsi.

Ainsi débuta l’apprentissage d’Erin à la lance. Lorsqu’elle fut en âge d’être vraiment formée pour l’armée, elle décida de suivre la mère des garçons en optant pour devenir chevalier pégase. Le souvenir de son premier vol est l’un des plus forts et des plus heureux de sa vie. La sensation de liberté qui l’avait alors assaillit lui avait énormément plu.
Les années passèrent. La jeune fille devint une jeune femme. Ses aptitudes martiales lui valurent une période d’entraînement plus courte que la plupart des jeunes gens de son âge et une certaine reconnaissance. Sa formation fut officiellement terminée lorsqu’on lui assigna un pégase. Elle considéra vite le cheval ailé comme une personne à part entière et il était le seul avec le reste de sa nouvelle famille à pouvoir connaître Erin sous sa « véritable » personnalité.

A l’âge de 22 ans, Erin avait décidé de quitter le foyer de sa famille d’adoption. Les temps étaient quelques peu troublés mais il n’y avait pas vraiment de grands conflits qui guettaient pour le moment, Erin demanda donc la permission de pouvoir voyager à sa guise avec son pégase, promettant que si Crimea devait entrer dans un conflit, elle rentrerait aussitôt pour protéger ce royaume qui lui avait tant apporté.
Désormais âgé de 30 ans mais en paraissant bien moins, elle continue sa petite vie de voyageuse solitaire, rentrant à intervalle régulier, car même si elle ne sentait toujours pas vraiment à sa place dans cette famille, elle avait apprit à les apprécier et elle se sentait une certaine nostalgie lorsqu’elle s’éloignait trop longtemps d’eux.

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Comment avez-vous connu le forum ? :
Sur google (j’dois en étonner plus d’un là non ?) En cherchant un fofo sympa sur FE^^

Expérience du rp :
Ca doit faire 5-6 ans que je fais du RP. S’est surtout basé sur des univers fantastiques, heroic-fantasy, asiatique etc. ^^
Après côté qualité, j’avoue être aléatoire, mais je ne me classe pas parmi les bon / très bons.

Commentaires :
J’m’excuse pour le temps mit pour faire la présentation et pour l’histoire, elle est ennuyeusement longue et j’ai bâclée la fin ><
Et désolée pour les fautes... ><

Code à chercher dans le règlement* :

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