Informations générales :

Nom : ???
Prénom : ???
Surnom : Nereid … C'est comme ça que celle qui m'a dressé m'a nommé. Pourquoi ? Elle parlait de chose bizarre, je ne la comprenait pas à l'époque. Aujourd'hui, elle ne veux point me le dire.
Âge : Si on en juge à mon apparence, je doit avoir 35 ans. Du moins, c'est à cet âge la que m'a estimé un autre laguz.
Sexe : Aussi loin que mon anatomie puisse le témoigner, je suis un mâle.
Race : Laguz
Peuple : Quand je me transforme, je ressemble à s'y méprendre à un véritable loup.
Pays d'origine : On suppose que je viens d'Hatary. Bien que je ne connaisse que Begnion, le pays ou se trouve mon maitre.

Description du Personnage :

Caractère :

Décrit-toi espèce de sous-humain !
Ce que votre sang peut être mauvais. Enfin bon, cela vous apprendra. Sachez que celle qui m'a apprivoisé et moi-même sommes les seuls à pouvoir dire que je suis un sous-humain. Les autres n'ont pour seul et unique droit que de se taire et de suivre l'Apôtre.
Comment, cet ordre vient d'au-dessus ? Bon, je vais donc m'y plier. Mais ce que je viens de dire reste vrai. Certes, si l'Apôtre me qualifie de sous-humain, je ne lui ferais pas subir le même sort qu'à cet humain, mais je ferais mine de ne pouvoir entendre que la voie directe de la déesse. Si par contre elle s'en tient à m'appeler laguz, ou même serviteur, alors le moindre de ses ordres deviendra mon devoir.
/* Tant qu'on ne dit pas de lui qu'il est un sous-humain, Nereid considère avec beaucoup de respect la hiérarchie. (Hein ? Quoi ? Heu ... Non, je ne fais pas de programmation ... Comment ça ça se remarque trop ?) */
Aux yeux de tous, les laguz sont tels des monstres. Mais ce ne sont pas nous qui nous dressons contre la volonté de la Déesse. Cependant, il faut bien avouer que nous avons des comportements qui peuvent en gêner plus d'un. Et puis, au final, je risque de me mettre beaucoup de frère laguz à dos, on devrait peut-être faire comme les béorcs et évoluer nous aussi. Bien que cela aille à l'encontre de la nature dressée par la Déesse, l'évolution nous apporte beaucoup de choses dans la vie. Certes, on pourrait éviter toutes ces guerres inutiles, mais le développement militaire permet petit à petit de se protéger contre ces dernières.
/* Nereid, bien qu'étant fier d'être un laguz, ne voit aucune objection à la façon de faire des béorcs. Pour lui, il serait même bien que les laguz apprennent des béorcs pour évoluer et que les béorcs apprennent des laguz pour préserver leur environnement. */
Ce qui, pour moi, a le plus d'importance ? Mon maitre, l'Apôtre et moi-même. Pourquoi je me place au-dessus de l'Apôtre ? Car le frère de celle qui m'a éduqué est mort pour que je vive. Il est hors de question que je meurs inutilement suite à son sacrifice.
/* Sa vie est devenue la chose la plus importante à ses yeux. S'il risque de mourir, il laissera place à son instinct animal. Et il n'est pas tendre dans ces cas-là. */

Physique :

On ne voit pas souvent Nereid sous forme humaine et sans son armure. Aussi, on ne sait pas trop à quoi il ressemble. Mais bon, les rares personnes à avoir eu la chance de l'observer ne peuvent que dire du bien de lui. Il a le teint beige et les cheveux gris. De loin, on pourrait le prendre pour un homme d'âge avancé mais, les traits de son visage lui donne une vingtaine d'années. Il ne faut pas oublier que c'est un laguz, aussi, il a des oreilles de loup, dont les poils oscillent entre le gris et le beige. Ses yeux, aussi bien sous forme humaine que sous forme de loup, sont jaunes. La queue de loup qui marque son appartenance au règne animal est de couleur grise, un peu beige par endroit. Pour ce qui est du reste de son apparence, cela entre désormais dans le domaine de sa vie intime.
Sous forme de loup, il ressemble à un loup. Que dire de plus, il se ressemble tous. Bon, certes, certains ont des signes distinctifs, par exemple, Nereid porte un foulard sur l'avant patte droite, il est équipé d'une armure verte grise qui couvre presque l'ensemble de son corps et il arrive que l'on puisse voir un pendentif pendre autour de son cou, mais pas grand-chose d'autre à dire.
Pour en revenir à l'armure cependant, elle a été taillée sur mesure, afin de permettre au laguz de passer en un rien de temps de sa forme humaine à sa forme animale sans être gêné. Elle est conçue pour masquer au maximum les attribue laguz du soldat quand il n'est pas transformé. Quand ce dernier est transformé, l'armure protège principalement ses points vitaux tout en étant disposé de sorte à ne pas entraver les mouvements du loup. L'armure est donc composé de près de trente plaques différentes, toutes rattachées via des lanières dont certaines peuvent être retirées pour faciliter la transformation.

Passé :

Quel jour ? Quelle heure ? Je n'en sais rien … Je ne sais même pas qui je suis ou encore d'où je viens.
Je sais juste ce que je dois faire. Je dois servir celle à qui je dois la vie.
Je lui dois toute obéissance …
Quel jour ? Quelle heure ? Je n'en sais rien … Je ne sais même pas qui je suis ou encore d'où je viens.
Je sais juste ce que je dois faire. Je dois servir celle à qui je dois la vie.
Je lui dois toute obéissance …

Le jeune homme dormait. Du moins, c'était l'impression qu'il donnait. Un supérieur passait par là.

« Toi le fainéant ! Debout ! Tu as envie de laver les latrines pour oser dormir comme ça !
- Veuillez m'en excuser. Bien que paraissant dormir, je ne faisais que mon devoir sieur. On m'a chargé de monter la garde à l'entrée de ce corridor.
- Ah ouai ? Bah moi je te trouve juste en train de feignasser ! Va me laver les latrines de la salle des gardes pour la peine !
- Pour votre bien sieur, je vous prierais de ne point essayer de me redonner vos obligations. Je suis actuellement à mon poste. Si vous tentez de m'en déloger, je considérerais votre acte comme allant à l'encontre du bon déroulement du conseil de guerre qui se tient en ce moment même dans la salle au bout de ce lieu dont il m'incombe la charge. »

Un conseil de guerre ? Absurde. Il n'y en avait pas aujourd'hui. Le dernier en date était avant-hier. Aucune raison d'en faire un aujourd'hui donc. S'apprêtant à agir en conséquent contre ce petit impertinent et menteur ! Il retint son mouvement en entendant la porte au fond du couloir s'ouvrir, laissant place aux commandants de la garde sainte. Comment cela pouvait être possible qu'il y ait un conseil de guerre réalisé en urgence et en cachette de tout ?

« Ah ! Capitaine de section Georganis, vous tombez bien. Nous avons une très mauvaise nouvelle à annoncer aux troupes. Rassemblez tout le monde dans le hall de la caserne.
- Que ... Que ce passe-t-il donc pour que vous soyez si dépités ? Quelle est cette nouvelle ?
- Nous venons d'apprendre le décès du sieur Armédor. »


Cela s'était passé il n'y a pas si longtemps que ça. Celui qui se faisait appelér Nereid avait indirectement été touché par cette nouvelle. La personne qu'il servait en tant que garde du corps était complètement bouleversée. Lui qui sentait tout particulièrement les sentiments des gens s'en était retrouvé à partager cette peine. Et pourtant, il ne connaissait pas le sieur Armédor. Il l'avait juste croisé par hasard à l'entrée d'un conseil militaire. Enfin, Nereid était juste le garde de la porte et il avait juste regardé entrée le chevalier.
Un ordre tombait. Il fallait trouver et tuer un certain Kameryu ... Un homme qui, paraissait-il, s'opposait au pays en s'en prenant directement au membre du Sénat. L'ordre venait d'en-haut et l'Apôtre avait préféré ne pas se prononcer. La Garde Sainte n'ayant pas son mot à dire, Nereid et d'autres soldats furent ajouté à des troupes d'un noble de la région. Et peu de temps après, ils se trouvaient face à cet épéiste. Ils étaient dix soldats. Un petit bataillon conçu de huit membres de la garde personnelle du noble et de deux soldats de la Garde Sainte, dont Nereid.

« Tout ça rien que pour moi ? Vous me voyez gâté ... Et que puis-je pour vous messieurs ?
- Sur ordre du Duc de Vialgadi, vous êtes en état d'arrestation ! Si vous opposez de la résistance, nous nous verrons dans l'obligation de vous occire ! »

Un léger silence se fit. Nereid observait sa cible. D'après les précédentes descriptions qu'il avait eues, Kameryu était censé porter une lame runique, en dessous de son Katana. Il y avait bien le Katana, mais pas de lame runique. À la place, il y avait une rapière, pas sous le Katana, mais dans le dos, à l'horizontale. Les deux mages présents, l'un deux étant associé à la Garde Sainte, n'avait pas remarqué l'arme. Nereid lui, s'en était rendu compte très vite. Mais il avait aussi remarqué quelque chose. Un détail que seul lui pouvait remarquer.

« Arrêtez ! Cet homme porte un document du sieur Armédor. Je ne suis pas sûr qu'il soit une bonne chose de s'en prendre à lui.
- Toi le bleu tu la fermes et fait comme tout le monde ! Tu attaques dès qu'on t'en donne l'ordre !
- Attendez, si Nereid a raison, nous agissons peut-être contre l'Apôtre si nous nous en prenons à cette personne.
- Fermez la ! Ici, on doit obéir aux ordres de Vialgadi ! Si vous n'êtes pas contents, vous pouvez toujours crever ! »

Le mage et Nereid se turent. Maintenant, ils savaient pourquoi ils avaient été envoyés. Pourquoi est-ce que l'Apôtre et la Garde Sainte s'étaient tus. Ils espéraient que leurs hommes réagiraient ainsi à l'apprentissage de la nouvelle. Ils espéraient que les soldats du noble s'oppose à eux et ainsi pouvoir attaquer le noble directement avec l'approbation de la Déesse.
Le mage lâcha un sort et partit en vitesse vers Kameryu. Il demanda à ce dernier de partir de suite. Il annonça que Nereid et lui allait retenir les soldats le plus longtemps possible et qu'ils feront tout pour prévenir l'Apôtre de la situation. Nereid lui, avait déjà commencé à agir. Il détacha les sangle qui maintenait son armure fermée. Il allait révéler ce qu'il était ... Peu importe, car le seul qui sera encore debout à la fin de cet échange sera le mage, qui connaissait tout de son identité.
Un loup se dressait devant les soldats. Et une artère carotide venait juste d'être déchirée par une rangée de crocs.

« Bordel ! Ce machin était un sous-humain ! Depuis quand la Garde Sainte prend des sous-humain dans ses rangs ! Tuez-moi cette chose !
- Vous osez ? Vous osez dire de moi que je suis un sous-humain ! Mourez méprisable humains ! Mourez dans les plus atroces souffrance que vous n'ayez jamais connu ! »

Le mage du côté du noble était un mage feu. Il avait sorti son tome. Mais il n'avait pas eu le temps de l'utiliser. Un puissant éclair s'était abattu sur lui. Le béorc des troupes apostoliques avait sorti son tome également. Du loup ou de lui, qui pouvait bien être le plus dangereux. Un Lancier ne se posa pas la question trop longtemps. Il tenta de transpercer le laguz. Cependant, l'arme glissa contre l'armure. Et le soldat eu tout juste le temps de comprendre que cette dernière était là justement pour ce genre de situation, qu'il se retrouva amputé de la moitié de son cou. Un archer était également de la partie. Parant son arc, il fit office de paratonnerre et s'écroula comme un bout de saucisse carbonisé. Un épéiste, armé d'une arme anti-laguz, tenta de frapper Nereid. Avec beaucoup de grâce, ce dernier évita l'assaut et broya le poignet du pauvre homme avant de lui détruire l'épaule opposée.
Il ne restait plus que trois hommes. Tous trois savait que s'il voulait avoir une chance, ils allaient devoir attaquer en même temps et l'en d'entre eux allait surement y rester. Ils chargèrent.
Nereid venait d'achever son troisième adversaire. Il fit un bond en arrière et repris son apparence humaine.

« Il est maintenant temps pour vous de trépasser. Subissez donc le jugement divin, subissez la colère des cieux. Fear the strenght of Gods ! Holy Lance ! »

Un éclat de lumière. Six lances constituées de cette même matière. Trois en acier. Du sang.
Perforés par la sainte lumière, les soldats du Duc de Vialgadi n'avait que des trous d'où s'échappait le sang sans retenue.
Transpercé par des lances d'acier, encore debout, mais crachant du sang, seuls ces mots sortirent de sa bouche :

« Ne ... Déçoit pas l'Apôtre ... Ni ma sœur ... Qui t'a éduqué ... Et qui mise sur toi ... Nereid. »

S'écroulant sous le poids de la mort, accompagner par les trois autres soldats, le mage venait de décéder. Une larme s'échappa de chacun des yeux du laguz. Devant lui gisaient quatre personnes. Les larmes n'étaient que pour l'un d'entre eux.

« Et que vais-je bien pouvoir dire à votre sœur ? Pourquoi m'avez-vous protégé ? Je ne suis qu'un sous-humain ! Vous étiez son frère ! »

Plus aucune réponse ne pouvait venir. Attristé, Nereid était rentré à la capitale. Il demanda une audience avec les commandants de la Garde Sainte. Parmi eux, se trouvait la sœur du défunt mage, maitre et éducatrice du laguz par la même occasion. Il conta les évènements, annonça la mort de l'homme et demanda à se retirer. La femme le suivit. Elle demanda au laguz une chose. De porter le collier de son frère. Ce dernier était mort pour protéger le laguz, alors le laguz devait vivre pour honorer l'homme.

Comment avez-vous connu le forum ? : TC de Kameryu

Expérience du Role-Play : Vous connaissez Kame et Enze ? Bah c'est le même.