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| Textes futiles et inimaginatifs, mais simplement élogieux envers sois même. | |
| Auteur | Message |
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❝ Allen ❞
Messages : 495 Age : 29 Localisation : Endormi dans un jardin de fleurs. Autre Indication : Feu et Glace et éternels Groupe : Aucun.
Feuille de personnage Niveau: (20/20) Points d\'Expérience: (100/100)
| Sujet: Textes futiles et inimaginatifs, mais simplement élogieux envers sois même. Mar 11 Jan - 7:00 | |
| Comment transmettre une émotion?
Je ne puis par là donner par simple exemple que l'existence elle même. Si l'on pouvait transmettre l'entier que l'on est, pour qui ou plutôt quoi nous prendrait-il? J'entends par là que nous existons à l'infini alors que nous ne pouvons le contenir. De ce fait, toutes les pensés qui parcourent notre esprit, et ce aussi futiles soient-elles, nous plongent dans diverses perspectives relative au moment présent, passé ou futur (si ce n'est les trois à la fois) qui résultent de la situation en cours d'analyse, si j'ose dire. Nous sommes capables de nous projeter partout où notre imagination nous le permet, et celle ci n'est bridée que par nos principe et notre moral à première vue. Pourtant, il nous arrive à tous de penser à des choses horribles qui ne nous ressemblent pas. Nous sommes ce que nous sommes, et pas ce que nous pensons. Car nous sommes limités par l'autre. La preuve en est qu'on peut se donner entièrement à quelqu'un d'autre. Mais peut-il lui comprendre l'infinité complexe des multiples chemins hypothétique que nous empruntons à chaque seconde? Puisse que chacun est différent, et ce rien que par ces différents éléments psychologiques qui résultent de divers critères personnels tel que l'expérience, l'éducation ou la façon de voir les choses, n'est-il pas normal que l'on ne puisse pas nous comprendre? Simplement parce que l'autre n'est pas ce qu'on est?
Cependant, nous avons un potentiel infinis. Mais ce dernier est renfermé sur lui même et se cantonne à ce que l'on veut bien écouter de lui. Que se passe t'il si l'on le laisse aller trop profondément? Peut-être n'en sommes nous pas capable. Toutefois, si nos potentiels sont infinis, on en reviens à une possibilité de se mettre à la place de l'autre. Mais si l'on peut le faire, on perd sa substance. Ce fais d'être unique, propre à la volonté de chacun, histoire de ne pas vivre pour rien. Puisse qu'il est évidement que si nous ne sommes pas unique, autant laisser les autres faire les choses qu'ils peuvent faire comme nous. Car dans ce cas chacun à les même composantes, les même talents. Encore faudrait-il ouvrir les yeux, mais je laisse soin à l'imagination sus-citer de suivre son propre chemin jusqu'à visualiser le cercle que cela engendrerait.
Pourtant j'ai dis tout à l'heure que chacun était différent, et ce pour cause de ce que j'appellerais en gros, gras et humide le "vécu". Comme il est évident que notre vécu nous cadre dans notre propre prison de clairvoyance, nous nous limitons à ce que le temps veut bien faire de nous et de nos efforts.
Mais si l'on considère que tout le monde peut penser, alors on peut considérer que les limites peuvent être repoussés peu importe le vécu pour rentrer dans un cadre global, même si non adéquat puisse que je rappelle qu'il détruirais le principe universelle de l'être unique.
Alors je peux apposer ma conclusion suivante: On ne peut comprendre quelqu'un qu'en étant lui. Mais si l'on devient lui, que devient-on? Nous ne sommes plus unique, et de ce fait lui non plus.
Dans ce cas, comment te transmettre le fait que je t'aime? Cette émotion qui me fais brûler de l'interieur avec une telle simplicité t'es clairement accessible. Mais l'intensité de cet amour, les valeurs qu'ils m'apportent, la peut que j'en ressens, l'envie qui bourdonne. Toutes ces choses que je voudrais te faire ressentir, pour que tu les partages avec moi ne serait que te faire oublier celles que toi tu as pour moi. Et ainsi tu ne m'aimerais plus, car tu serais moi, et tu ne pourrais pas comprendre; car tu n'existerais plus.
Il est impossible de te traduire par des mots mes émotions, il m'est impossible de te les faire comprendre. Il ne reste que l'acceptation. Acceptation qui est amplement suffisante au final, car la chose en revient à l'inconnu. On lit la sincérité de l'autre quand on le regarde dans les yeux.
Et si nous ne sommes pas effrayé par ce mystère, c'est que l'on s'aime vraiment, non? |
| | | ❝ Nino ❞
Messages : 41 Age : 29 Localisation : A la poursuite de la vérité. Autre Indication : Heritière d'une puissante lignée de Mages. Groupe : Black Fang.
| Sujet: Re: Textes futiles et inimaginatifs, mais simplement élogieux envers sois même. Sam 26 Mar - 1:08 | |
| Entre la Ville et la Mort
"Allez, fin de la pause..." Brian avait réussi à sauver quelques bouquins du Cataclysme, et il sorti De ceux ci avec un Enthousiasme un peu réduit: "C'est Futile, on va y rester ce soir.", Grogna t'il. C'est clair qu'il était Harassé par tout ça, rien que deux petits mais Interminables Jours après. Remarque, ceci ajouté à son Kyste choppé en Liquidant le pot de ravioli Moisie qu'il avait Notoirement Oublié de Partager avec les Quelques autres citoyens. Ce n'est pas un Rare problème ici. C'est même Souvent comme ça. Il n'a pas Toujours été ainsi, d' Un bibliothécaire généreux il est passé à un Vil chacal empestant le Whiskies et le Xérès. Le moral en Yogourts, totalement à Zéro, A plat même. Bien que Ce soit tous notre cas. De toute façon, on ne peut pas lui En vouloir, on a tous été Fauchés par cet "accident", une Gaffe aussi Hallucinante qu' Irrationnelle. Juste en quelques secondes, des Kilomètres, en une Morne Nuit, réduits en Poussière. Quand au bruit, on s'en Rappelle encore. Un Son Titanesque, pire que des Ultrasons pour une chauve-souris endormie. Voici ce qu'il en reste: Wagons éventrés, comme ce bon vieux Xavier d'ailleurs... "Y'a vraiment de quoi en faire tomber les Zygomatiques, Avec tout ce sable et ce Bordel métallique dans le Coin, on devrait pouvoir se Démerder. Enfin je crois. Il Faut juste s'armer de patience." Ce courage insufflé à tous fut Gangrené à la première minute où cet Horrible, Immonde créature, aux Jambes de Khan, si on le considère d'époque, aux bras Mortellement tendus vers Nous, semblants Onduler, les bouts de chairs Pourris, avec la tête d'une laideur non Qualifiable. Refoulant la mort, dégoulinant le Sang séché, Tranché et comme disséqué, les organes restantes Unifiés par morceaux en dehors du corps. Même les Vautours n'en voudraient pas. "Waaah! Mais c'est quoi ça?" Xavier s'était relevé, et ce n'était pas agréable aux Yeux, ni au nez. Un Zombie. Un tas de chair Avoisinant les un mètres quatre-vingt dix. Il était bien Bâtit, ce Con. Et ce ne fut pas vraiment difficile pour lui D’aplatir Enrico, mouvement Facilité par la grosse main de la chose. Notre Groupe préféra la fuite face à cette vision Harponnante, détruisant Irréversiblement le mental des moins Jouasses. "Mauvais Karma, hein?" Les quelques survivants, qui ne se perdirent pas à ce Moment là se regroupèrent sur les ruines d'une centrale hydraulique, Nappé d'une Odeur de sang. Plus que Quelques pans de murs et de grillages, des Restes d'un puits Souillé. Ce Taudis sera notre Ultime rempart contre ces morts- Vivants issues selon nos théories d'un virus ou d'un incident nucléaire. Wallander s'était autoproclamé chef. C'est clair qu'il en fallait des couilles quand on avait vu Xavier aplatir le mexicain. Quarante rescapés, et il Y en as Zéro sur tout ça qui ai un talent utile en cette situation. A partir de là et ce depuis deux jour, nous Bataillons pour survivre dans ce Coin ensablé. Le Désert à perte de vue, et des restes de bâtiments Ensevelis. Nous étions sales, Fatigués. L'eau avait un goût que je n'oublierais jamais. Notre Hardiesse baissait de seconde en seconde. Il m'est encore Impossible de croire que L'objet qui m'ai sauvé de mon ancienne baraque me soit si utile. Ma précieuse Pelle. Rien de plus utile pour fouiner. Les survivants me Nomment "Le Fouineur". Et ce à juste titre, Puisse qu'on se surnomme tous par ce que l'on à appris à faire pour survivre ici bas. Ce petit Rien nous aide à Surmonter cette épreuve. Car Tous les soirs, à la nuit tombée, Une nuée de ces Voraces de chair humaine, et envieux de l'effet Water-prof. En effet, ces Xénophobes craignent l'eau. Rien qu'un Zeste de celle-ci les renvoies à l'état de poudre. Et ils le méritent bien. Attendre dans son taudis de fortune, Bourré de tout objet trouvé en journée pour se protéger, C'est vraiment Déroutant, à En perdre la tête. Entendre ces monstres sorties de la Fantaisie, Grogner de leur reste de cordes vocales. Entendre les Hurlements Inhumains de nos comparses qui se font dévorer ou qui sont terrorisés. Je suis comme les autres, je n'ai pas osé aller aider Kevin... On l' A retrouvé en deux Morceaux dans le puits ce matin. Donc, Nous n'avons plus d'eau potable, Personne n’a envie de se retrouver en Quarantaine le temps de crever d'une infection généralisée. On est sur que ces macchabés Revenues d'outre monde ne sont plus très frais et que celui qui est bouffé ne doit plus être Si sain que ça. Enfin: "On va Tous crever" selon certains. Mais Un temps pour chaque chose. Maintenant, nous Voilà partis chercher de quoi boire demain, Wayan, Brian et moi. Wayan, c'est le genre de gosse à la trempe de Xavier. Mais même si il Y mettait toute la volonté du monde, son état était loin d'être Zen. A à peine 16 ans, voir ses parents Balayés par une explosion ça n'aide pas à se Construire. Mais je reste Détaché de tout ça. Enfaite, je Fais comme les autres. Je construis la future Grande "ville", la "Forteresse" comme on l'appelle, mais je garde les boîtes de Haricots pour moi. On se la joue communautaire, on fait semblant d'avoir un contrôle Imparable de soit même. Mais Je le sais, on est comme Kevin, on criera tous Le Moment venu. Normalement, On ne devrait Pas avoir peur, on a construit des défenses, mais ils sont de plus en plus chaque soir. Quoique l'on fasse, je sais qu'on ne s'en sortira pas. Il doit Rester d'autres survivants qui font comme nous, mais ces irascibles Serviteurs de l'enfer sont dans le désert même de jour. Ils ne se regroupent Tous que la nuit pour nous attaquer, bizarrement, mais s'aventurer trop loin est Uniquement une mort certaine au détour d'une dune de sable. "Vlan! C'est le X V I I I que j'me fais! Connards! -Y'a plus qu'à, comme on dit. -Z'auraient pu un peu mieux se défendre. -A croire que seul leur nombre leur donne la force, de jour ils ne font pas peur. -Bordel... C'est foutue, on a déjà marché la moitié de la journée et on ne trouvera rien de plus. On est Damnés." Et nous, Fous que nous étions, pensions que notre Grande marche vers le sud nous ramènerais de là où nous venions. Habituellement, nous discutions sur des Idées confuses, sur lesquelles il n'y aurait jamais Jurisprudence, Idées Kidnappés à droite à gauche, sur La religion ou la technologie, le Monde N'essayera pas cette destruction avant plusieurs générations. On pense tous que c'est pareil partout, et l'espoir ne filtre Plus avec les rayons du soleil. Quand celui si se lèvera demain, nous Retenterons de chercher de l'eau. Sinon, demain soir nous serrons tous mort. Très vite, le crépuscule s'est abattu. L' Ultime halo de lumière s'évanouit et la froideur Véridique et brumeuse du désert nous enveloppa alors. "C'est Mr. Xoein, un de nos prof' de littérature, qui, Y'a longtemps, nous avait dit que les Zombies étaient Anthropologiquement un résultat possible de la Bêtise humaine, puisse que Certains esprits tourmentés avaient réussi à les Définir corps et âmes dans des bouquins ou des films. En tout cas..." Alors que Wayan parlait, bien que je ne trouvais pas cela Futile, je me disais qu'un ancien Gardien de la Paix comme moi devrait être Habitué à se déplacer, Inlassablement, de nuit comme de Jour. Mais pour toutes les Kronenbourg du monde, à La simple idée de rester dans ce désert Morne et Nappé de fumée due au refroidissement du sable, j’étais Obnubilé, je n'entendais plus. J'ai Peur. Je ne suis pas et n'ai jamais été Quelqu'un de fort ou quoi. Mais ma volonté n'avait jamais faillit à ce point. Même ma Ration de nourriture ne me Suffit pas à changer mon état d'esprit. Tout d'un coup, le silence s'abattit. Un éclair traversa mon esprit: Dieu nous à donné la Vie, et d'un simple geste, il l'a reprit. Wayan échappa un cri étouffé, en Xénalisie par Dieu lui même, il n' Y avait plus d'espoir depuis le début. Des Zombies, de la violence et moins de morale, voilà ce qui nous engloutit hors de notre humanité.
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