-Informations générales:

-Nom: Connu de Nintendo uniquement (fort malheureusement d'ailleurs)
-Prénom: Stefan
-Age: 32 ans (V3) 37 actuellement
-Race: Beorc
-Classe: Epéiste (snif)
-Pays d'origine Begnion


-Description du personnage:

Caractère:
Stefan est quelqu'un de relativement calme et posé. Toujours serein, il préfère largement réfléchir avant d'agir quelque soit la situation dans laquelle il se trouve. C'est également un pacifiste invétéré qui tentera d'éviter le combat même avec le pire des barbares. Ce comportement est d'ailleurs souvent interprété comme une sorte de lâcheté cependant, c'est une chose que Stefan ignore. Ces quelques années d'exil dans les déserts brûlants de Begnion lui ont forgées un mental d'acier et une volonté à toute épreuve. N'espérez pas voir sa lame dévier où son bras trembler au moment de donner le coup final à moins d'avoir une excellente raison de le penser. Il a d'ailleurs une grande confiance en lui, surtout en ce qui concerne ses capacités de combat, il peut d'ailleurs sembler un peu trop sur de lui mais il sait ce qui est important et vous aurez immédiatement son attention sur les sujets en valant la peine.

Autrement c'est quelqu'un de plutôt flegmatique qui a un esprit d'indépendance très fort et qui supporte mal de recevoir des ordres. Pourtant, il sait reconnaître la valeur des vrais combattants ou des grands hommes. Il a d'ailleurs énormément de respect pour l'ex jeune mercenaire l'ayant engagé immédiatement dans son armée à l'époque du règne d'Ashnard. Il est, pour finir, d'une loyauté à toute épreuve pour ceux qui le méritent selon lui.

Du côté sentimental, il n'est pas spécialement compatissant mais est loin d'être un coeur de pierre. Il sait réconforter ceux qui en ont besoin et il sait manier les mots aussi bien que la lame. C'est quelqu'un de très charismatique mais également de très mystérieux qui n'aime pas que l'on s'approche de son passé ou de ses sentiments.

-Physique:
Le charisme de Stefan repose en quelque sorte sur son aisance naturelle, il sait charmer sans être extraordinairement beau bien qu'il ait une certaine classe. Ses cheveux verts indisciplinés sont très souvent ébouriffés et rarement coiffés même devant les personnalités importantes et il repousse assez souvent la mèche qui lui tombe devant les yeux. Cependant, il refuse de les attacher considérant qu'ils sont en quelques sortes la représentation de son esprit de liberté. Il se débrouille quand même pour éviter d'être gêné lors des combats par un bête coup de vent qui lui rabattrait le tout sur la figure au mauvais moment.

Des traits simples et légèrement usés par la dureté des conditions de vie dans le désert lui donnent une apparence plus mature qu'il ne l'est réellement. Un nez un peu trop long, des lèvres fines et des joues ni trop maigres ni trop joufflues. Ses yeux bleu surtout restent à l'affut, notent le moindre détail et surtout où se trouve la sortie la plus proche, la disposition du terrain etc... Autant de données qui seront analysées par son esprit de stratège ravivé par la guerre actuelle. Il a cependant appris à faire tout cela discrètement et le fait quasiment instinctivement partout où il passe. il se sent d'ailleurs plus à l'aise dans les espaces ouverts qui lui permettent de faire de grands mouvements d'épée.

Stefan surprend surtout par la singularité de son habit: une veste violette à manches longues par dessus laquelle bringueballe un long manteau ayant du autrefois être d'un bleu sombre éclatant et coupé en diagonale par le milieu, ne conservant ainsi plus qu'une longue et large manche gauche. C'est d'ailleurs la taille de ce vêtement qui impressionne. Constamment agitée par le moindre souffle d'air, elle pend en temps normal jusqu'aux pieds de l'épéiste sans pour autant risquer de le faire trébucher. On pourrait penser qu'il le gênerait lors d'un combat. En réalité, il est très pratique: le fait qu'il soit en quelque sorte coupé en deux laisse libre la main droite de Stefan, sa main non directrice, et l'empêche d'être gêné de ce côté là. De plus, le vêtement est suffisamment ouvert au niveau des jambes pour permettre à l'épéiste d'effectuer des mouvements vifs et rapide sans s'empêtrer dedans et la manche gauche est trop large pour que la main soit gênée d'une quelconque façon que ce soit.

En dessous de ce manteau plutôt surprenant et de sa veste à la couleur singulière, Stefan porte un justaucorps noir moulant qui épouse chacun de ses mouvements à la perfection. il porte également un pantalon, noir également, banal ainsi que des bottes de cuir hautes très efficaces lorsqu'il s'agit de distribuer une ou deux talonades lors d'un combat. L'attirail est complété par une ceinture épaisse verte portant une boucle dorée. Plutôt lâche, elle n'a d'autre utilités que d'empêcher le manteau de dégringoler lors d'un mouvement trop brusque.

Enfin, à son côté, rangée dans un fourreau rouge sang, Stefan porte sa fidèle lame. une épée longue à pointe légèrement recourbée qui peut se manier aisément à deux mains pour asséner des coups puissants mais qu'un bras suffisamment expérimenté et fort pourra utiliser à une main le temps de retrouver une position de combat stable et propice à l'attaque.

A tout ceci, Stefan allie une musculature développée au cours d'heures d'entraînements intensifs mais son style de combat et ses dispositions naturelles l'ont taillé pour la course et l'esquive tout en lui donnant un bras suffisamment puissant pour asséner des coups redoutables.

-Histoire: (je vous préviens j'ai pas joué à la version wii donc je ne sais pas si Stefan apparaît dedans ni ce qu'il y fait. Désolé d'avance pour les incohérences.)

L'histoire de Stefan commence il y a 32 ans dans un petit village de Begnion. Issu de parents d'origine modeste, un père travaillant dans les champs et une mère au foyer, Stefan a grandi comme un gamin de la campagne. Entouré de l'amour de ses parents, contraint à la famine lors des mauvaises récoltes, jouant à la guerre dans les rues avec ses amis et s'imaginant être un grand héros mourant au combat. Jours bénis bercés par une douce illusion.

Or il arriva un jour où ce bonheur du être brisé. Un horrible incident lancé par les nobles corrompus de Begnion qui provoqua la destruction de la forêt de Serenes. Ce jour là, on réquisitionna des hommes, des pères de famille comme celui du jeune, trop jeune, Stefan. On les arma et on les envoya massacrer les êtres ailés de blanc. Ce fut un triste jour. Au loin, on voyait les colonnes de fumées s'élever de la forêt et le vent amenait parfois les hurlements de détresse des mi-hommes mi-oiseaux que l'on exécutait là-bas. Stefan n'avait jamais vu de Laguz mais il était triste pour eux sans vraiment comprendre pourquoi. Après tout il ne les connaissait pas...

Quand son père rentra, il était méconnaissable. Les yeux écarquillés, les mains tremblantes... Stefan nota les traces de sang mal essuyées qui le trahissait ça et là sur le visage, les bras... Tout le corps. Après cela, tout changea du tout au tout, comme si le massacre des hérons avait jeté une malédiction sur la famille. Les récoltes furent mauvaise cette année et la suivante et son père semblait profondément traumatisé. Il le prenait avec lui le soir sur ses genoux comme lorsque l'enfant était encore un bébé et lui contait ce qui s'était passé. Stefan écoutait, plus intrigué qu'effrayé. Sa mère tentait de le soustraire à ces choses mais lui résistait et son père continuait son récit. Le sang, les plumes blanches qui se coloraient de rouge, les yeux qui devenaient vitreux et les larmes des hérons accompagnées des cris de jouissance des Beorcs. Stefan se demandait comment étaient ces Laguz et pourquoi ils avaient été tués.

Quelques années plus tard, son père mourait de maladie et lui et sa mère se retrouvaient contraints de travailler durement. Ça ne le gênait pas. Au moins, pendant qu'il s'efforçait de rendre cultivable une terre qui se faisait de plus en plus dure et rocailleuse chaque année, il pouvait penser à ces créatures, les Laguz. Même s'ils avaient été tués, peut-être y en avait il d'autres. A vrai dire, les histoires de son père avaient éveillé sa curiosité et il rêvait d'en voir un pour de vrai. Le massacre ne le laissait pas indifférent, mais la mentalité de Begnion, cette xénophobie à l'égard des Laguz l'avait atteint et la mort des hérons ne le touchait pas vraiment plus que cela. Il était plutôt en bonne condition même malgré la famine et le rude travail des champs lui forgea un bras solide et puissant.

Enfin, il n'y eut plus rien à tirer de la terre et peu à peu sa mère s'éteignit, tuée par les taxes des nobles corrompus et par le travail. Il pleura un peu lorsqu'il l'enterra à côté de son défunt père mais son chagrin fut de courte durée, il était libre maintenant. Sans famille, sans domicile et sans terre mais libre. Impatient de découvrir ce monde qui s'offrait à lui, il fit ses bagages et partit. Plus rien ne l'attachait à cette terre qui jusque là ne lui avait apporté que peu de bonheur pour une quantité considérable de souffrances et, à 17 ans passés, il fut sur les routes.

Il voyagea en nomade un peu partout à travers Begnion d'abord, ignorant qu'il était de l'art de la lecture et de l'écriture, il préféra d'abord apprendre à se défendre. Son style peu gracieux à la base s'affina avec le temps et il travailla dans les premiers temps de sa nouvelle vie comme mercenaire, protégeant tel ou tel convoi. Bien sur, ceux-ci évitaient continuellement de s'aventurer près des territoires Laguz, les navires passant près de Kilvas préférant engager de véritables combattants, mais il eut l'occasion d'explorer Crimea ou Daein.

Il tua pour la première fois au bout de sa deuxième escorte. Des brigands plutôt bien expérimentés et organisés... Tout comme les gardes du corps. La mêlée fut brève, les pertes assez nombreuses des deux côtés, il frappa. Sa lame rencontra quelque chose et le coupa en deux d'un coup sec. L'homme s'effondra à ses pieds dans une mare de sang, éventré. Il ne ressentit rien, contemplant le brigand dont la vie gouttait lentement sur le sol sous la forme d'un liquide noire qui se mélangeait à la boue. Il ne ressentit rien non plus la foi suivante... Ni celle d'après, cherchant cette sensation qu'il avait ressenti chez son père et il finit par en déduire qu'il était simplement plus fort que lui.

Avide de connaissances et de savoir, le jeune homme ne laissa pas la lecture être un obstacle et il apprit bien vite à lire, s'ouvrant un océan de culture et de plaisirs insoupçonnés jusqu'alors. Il en apprit beaucoup sur les Laguz et les Beorcs ainsi que sur les différents royaumes. Sa première rencontre avec un Laguz fut sur le marché aux esclaves. Il s'attendait à voir des êtres fiers et puissants... Au lieu de ça, ce fut surtout un étalage de crasse et de misère, de faibles femmes aux oreilles félines enchainées avec leurs enfants sous forme de louveteaux ou de chatons. Il y avait peu d'oiseaux mais ceux-ci étaient juste de vieux corbeaux aux ailes déplumées.

C'est à peu près à cette époque que Stefan commença à escorter des navires près de Kilvas, sa réputation ayant finie par augmenter. Là encore il fut déçu. De simples brigands sans la moindre once de jugeote comme ces marchands cupides et ces mercenaires idiots. Il tua encore beaucoup de Laguz et beaucoup de Beorcs avant qu'à 30 ans, il en ait assez de cette vie. Partout où il regardait ce n'était que complots, meurtres, esclavages et maltraitances chez les Beorcs comme chez les Laguz, les deux camps étant suffisamment idiots pour reproduire les erreurs de l'autre et rien ne semblait vouloir les arrêter. Il avait acquis suffisamment d'argent au cours de ses voyages, il était temps pour lui de se retirer.

Avec son épée et quelques vêtements, il chercha un lieu tranquille loin du monde et de ses erreurs. Il le trouva finalement au coeur de ses terre natale. le désert était idéal, seuls quelques nomades y vivaient et il était suffisamment fort pour affronter les dangers éventuels. Pendant deux ans, il vécut loin de l'agitation extérieure, préférant la compagnie des livres à celle des hommes. Jusqu'au jour où il rencontra un Laguz un peu spécial... Ou plutôt un groupe de Laguz... Et de Beorc... Œuvrant ensembles sous une même bannière.

Le hasard faisant bien les choses, il décida d'en apprendre plus sur eux et rencontra leur chef, un jeune homme... Plus jeune que la majorité du groupe d'ailleurs. Étonné au premier abord, il apprit à respecter ce jeune homme passionné, spontané et excellent stratège et décida de sortir de sa retraite, prenant ainsi une part à la chute du tyran Ashnard.

Le tyran déchu, Stefan mit quelques temps à décider de ce qu'il allait faire. Sa vie de solitaire lui manquait mais... Il s'en serait voulu d'abandonner le début de cette coopération Beorc-Laguz. Il décida alors de retourner à une vie de nomade, œuvrant dans l'ombre à la fin de cette guerre incessante. Il avait beaucoup tué... Et il tuerait encore surement mais maintenant il avait un but aussi improbable soit-il et il se battrait pour celui-ci.

Certains faibles d'esprits auraient pu penser que l'histoire de cet épéiste nomade s'arrêterait là mais il n'en fut rien. Les conflits inter espèces étant particulièrement nombreux, violents et meurtriers, les rares prêcheurs de paix tels que lui avaient fort à faire. Cependant, seulement deux de ces altercations le marquèrent. la première se déroula à Daein dans un petit village isolé, qu'il ne put plus jamais approcher d'ailleurs, où il sauva un loup complètement cinglé d'une exécution publique. Blessé toutefois par la bête, le nomade ne dut son salut qu'à l'intervention providentielle d'un dragon de Goldoa en mission dans le coin: Rindar Ellring. Ayant fait plus ample connaissance avec son nouvel allié, l'épéiste décida par la suite dans un élan de générosité (ou de folie personne ne put jamais le prouver) de raccompagner le loup parmi les siens, voyage auquel le dragon se joignit probablement plus par ennui et manque d'autres occupations qu'autre chose. La suite du voyage fut moins intéressante et l'épéiste ne retint que la rencontre d'une jeune Laguz corbeau alors qu'ils tentaient de faire soigner leurs blessures.

La deuxième altercation se déroula cette fois-ci en Begnion face à une... Gamine... Ou peut-être n'en était-ce pas réellement une... Toutefois celle-ci s'avéra être une vraie furie prête à tout, y comprit à sortir sa lame et mieux encore à s'en servir, pour faire entrer dans le crâne de l'ermite que les Laguz n'étaient que des bêtes méritant la mort... Autant dire que face à un pacifiste comme lui c'était loin d'être gagné. Leur rencontre se solda par un affrontement éprouvant au clair de lune.

Au cour des cinq années qui s'ensuivirent, l'épéiste poursuivit la tache qu'il s'était fixée, œuvrant comme il le pouvait à son échelle pour installer un semblant de paix. Il tint également sa promesse auprès des nomades l'ayant recueillit lors de son exil et ne manqua pas de retourner les voir plusieurs fois. L'une de ses visites fut d'ailleurs marquée par la nouvelle de la mort de son mentor. Son deuil fut court mais douloureux et il n'en travailla son art de l'escrime que plus intensément. A la suite de cet évènement, il passa deux ans supplémentaires auprès des nomades. Actuellement, Stefan est reparti en voyage, son insatiable soif de connaissance et son besoin d'aider les autres s'étant de nouveau manifesté. Cependant, les récents évènements n'ont fait qu'empirer sa lourde tâche.

-Comment avez vous connu le forum: Ben par un top site. je votais justement pour un autre site et je vois la bannière du votre. J'ai jeté un coup d'œil et paf me voila.

-Expérience du Rp: Ça va faire quoi... deux ans je crois...

-Code à chercher dans le règlement:
Ahem... C'est pas que j'ai surligné encore et encore le message en question mais si et... j'ai rien trouvé c'est normal?

Remarques: Je pense que j'aurais pu plus développer la rencontre avec Ike mais il est trois heures du mat je crois que je vais aller dodoter hein... Sinon c'est bon j'ai fini! (enfin)

Edition de la description physique de Stefan suite à son passage en classe 2 (très proche désormais) et extrait de:
Par delà nos différences

Tonton Stef a écrit:

Le vent qui balaie cette immense plaine, faisant onduler l'herbe verte sur un rythme tantôt lent comme le flux d'un cours d'eau, tantôt aussi enragé que la tempête. Un rythme que brise le rythme de ses pas. Toujours le même, aucune variation, un équilibre à jamais établi dans son esprit enfin serein. Joie mais aussi peine, calme mais aussi colère, tout se succède, tout prend un instant le contrôle avant de s'apaiser, et ce tout constitue l'essence même de la vie.

Son pas s'arrête soudain au sommet d'une colline, sa main se dressant lentement vers son épaule. Là, s’agrippant fermement au vêtement recousu en maints endroits, niche un poussin ayant retrouvée sa teinte éclatante. La petite bête ronronne presque sous la caresse alors que le doigt se glisse sur son cou, là où trône désormais définitivement un liserai rose entourant le col de l'oiseau. Les griffes sont fermement enfoncées dans le tissu mais ne blessent pas la chair qu'elles savent meurtrie en cet endroit. La brûlure, semblable à celles des côtes et de la clavicule, témoigne du passage des flammes infernales, tout comme le fin trait clair que l'animal peut observer sur la joue qui le surplombe. Les chairs sont refermées désormais, les corps ne peuvent plus témoigner mais la peau garde à jamais les souvenirs de cet affrontement, de ce changement qu'un seul homme vêtu de bleu serait capable de relater.

Mais cela n'est rien, toute ces vieilles souffrances ne sont rien comparées à la beauté du regard qui contemple la cité de Mélior. Deux miroirs argentés à la surface éclatante où pétille désormais une incroyable impression. Un mélange indescriptible capable d'apporter le rire comme la mélancolie, un regard hors du temps et de l'espace, un regard qui parle plus simplement que quelques mots.

L'homme observe quelques instants la cité blanche de Mélior avant de laisser un sourire ravi prendre place sur ses lèvres. A quoi bon retenir sa joie quand les souvenirs ne sont que bonheur ? Quand la proximité d'êtres aimés ne rend que les lieux plus agréables. Le bretteur aux cheveux verts se redresse, gonflant ses poumons de l'air pur des plaines avant d'étendre les bras, offrant son dos à la caresse du vent. Vivant, être vivant et profiter de chaque instant, de chaque parcelle de son existence, vivre tout simplement.

Il pose la main sur la garde de sa lame, soigneusement enfermée dans son écrin sanglant. Voilà un moment que l'arme n'est plus ressortie afin de prouver sa valeur, son acier désormais irisé de légers reflets sanglants masqué aux yeux des justes mais prêt à s'offrir au regard des maudits. La ville n'est plus très loin...