o Informations générales :

 Nom : Kiyaysha, j'ai repris le nom de ma mère. Hors de question que je prenne celui de mon père.
 Prénom : Kerowyn. Ma mère l'a choisit en pensant à mon père, et j'aurais préféré qu'elle s'abstienne.
 Surnom : On me surnomme Kero. Mais c'est surtout pour abréger.
 Rang : Fureur vengeresse
 Âge* : Un peu moins de vingt ans.
 Sexe* : Féminin
 Race* : Beorc
 Peuple/Classe* : Rôdeur
 Pays d'origine* : Hatary

o Description du Personnage :

 Physique* : Je suis ce que l'on pourrait appeler une grande femme. Sans faire dans l'euphémisme, je mesure au moins un mètre quatre-vingt. J'ai hérité cette taille, ainsi qu'un physique bien charpenté, de mon père. En effet, je suis loin du cliché de la femme fragile. Large d'épaules, des muscles bien dessinés, mon maintien droit et la fierté qu'affichent mes mouvements ne font que renforcer mon allure imposante. Cela ne m'empêche pas d'avoir un visage féminin, au nez droit et fin, aux lèvres pleines. Mes yeux, eux aussi un héritage de mon paternel, sont d'un rouge proche de celui du feu, et mes cheveux ne sont pas en reste, tout aussi flamboyants. Je préfère les garder longs - j'ai droit à ma touche féminine non ? - mais je les tresses pour qu'ils ne me dérangent pas. Mais des mèches rebelles ne cessent de s'échapper de mon semblant de coiffure, et c'est assez agaçant de devoir les écarter de mon regard toutes les trente secondes... Mais nous ne sommes pas la pour parler de mes problèmes de capillarité.
Pour ce qui est de mon style vestimentaire, je suis loin de porter des robes, jupes ou autre froufrous... En effet, je porte généralement une armure de cuir clouté couvrant ma poitrine, assez généreuse par ailleurs, mon torse, mes hanches et mes jambes en plaques articulées renforcées de fer. De lourdes bottes de cuir à bouts ferrés couvrent mes pieds et mes chevilles, remontant à mi-mollet. Mes bras sont couverts de maille, et mes mains de gants de cuir qui rendent plus confortable le maniement de l'épée bâtarde accrochée à ma taille. Cette vieille Zweihander a connu bien des batailles, et elle est bien loin d'être neuve, mais elle est la seule chose que j'ai pu hériter de mon père, de l'époque où ce n'était pas encore un tueur psychopathe... Alors je la garde, même si certains peuvent trouver cela étrange. Mais à nouveau je m'égare... Car tout cela a à voir avec la suite de cette présentation.

 Caractère* : En lisant ces lignes, vous aurez peut-être eu l'impression d'avoir affaire à une personne censée, à quelqu'un qui réfléchit avant d'agir... Et bien c'est tout le contraire. Si j'aime écrire, et par conséquent produit des textes réfléchis, j'ai plutôt tendance à réagir impulsivement aux événements, à foncer dans le tas, taper et poser les questions ensuite. Du coup, je compte un peu sur Gaël pour modérer mes ardeurs. Je m'énerves facilement, et j'ai le sang chaud. Pas au point d'en être totalement allumée comme ma sœur adoptive, mais disons simplement que... Je ne réagis pas bien du tout à la provocation. Peut-être trop de colère. Oui, je suis colérique. Un rien suffit à me faire sortir de mes gonds, et en général ce n'est pas moi qui suis le plus à plaindre dans ce genre de cas. En bref, j'ai un bon gros caractère de merde... Mais tout n'est pas à jeter non plus hein.
J'aime profondément la vie. J'aime voir les gens que j'aime, les voir heureux. Faire la fête, boire de temps en temps... Bon, je tiens très mal l'alcool , du coup Gaël à tendance à mettre très vite le holà - enfin quand il ne boit pas avec moi. Ce qui est sûr dans tout ça, c'est que j'ai hérité de la constitution de merde de mes parents face à l'alcool, puisque aucun d'entre eux n'était capable de le tenir. Pour changer totalement de registre, j'aime m’entraîner au maniement de mon arme. J'ai toujours besoin de plus de force, de plus d'adresse... Après tout, je suis en chasse. A la chasse aux monstres. Mon père.
Ma relation avec ce dernier est plus qu'étrange, mais vous en saurez plus à ce niveau dans le récit de ma vie. Sachez pourtant que je n'aurais de cesse de l'avoir tué. Mon cœur brûle de fureur à son égard, et si ce n'était l'amour qui m'unit à Gaël, c'est sans doute l'émotion la plus intense que j'ai jamais ressenti. Encore plus depuis que mes derniers espoirs ont étés brisés par sa lame démesurée.
De faite, depuis un certain temps, j'ai tendance à déprimer légèrement. Trop de fois j'ai été déçue, trop de fois je me suis laissée aller à l'espoir pour pouvoir encore m'y abandonner sans arrières pensées, ou sans la conviction que je fais une erreur. Et si j'essaye de montrer au monde une façade bon vivant, je me permets de reconnaître dans ces lignes que c'est loin d'être le cas la plus part du temps. Et même si je me laisse prendre au jeu, il y a toujours une petite voix, qui chuchote à ma conscience que ma course n'est pas finie, qu'elle ne le sera jamais tant que mon père vivra.

 Passé* : Comme vous l'aurez certainement compris en lisant le début de tout ceci, mon père est un genre d'obsession pour moi... Et en lisant les lignes qui vont suivre, vous allez vite comprendre pourquoi.
Certaines personnes ont grandi orphelines. D'autres ont eu leurs deux parents et ont vécu une vie idyllique - enfin autant que possible - avec eux. Dans mon cas, les choses sont un peu différentes. J'aurais préféré ne pas avoir de père. Qu'il soit mort des années plus tôt, alors que je n'étais même pas venue au monde... Qu'Alan se soit montré à la hauteur, et nous aient tous débarrassés de ce monstre. Malheureusement, il n'en a pas été capable. Mais si nous commencions par le début, vous comprendrez peut-être mieux. Il faut pour cela remonter à avant ma naissance, à l'époque où tout allait mieux.
Ma mère était une barde itinérante, et son nom était Liyu Kiyaysha. Elle gagnait sa vie à l'aide d'une voix magnifique, qui m'a longuement bercé durant mon enfance mouvementée. Un îlot de calme dans ce monde de folie. Mais je m'égare... Elle avait avec elle un enfant, Niall, qu'elle avait adopté. Elle était trop gentille pour son propre bien. Deux rencontres ont marqué ma naissance. Sans elles, je ne serais probablement jamais venue au monde.

La première était un bretteur, du nom d'Alan. Cet homme avait été marié à une laguz dragon, et avait eu avec elle deux jumeaux, Kira et Gaël. Ces deux enfants ont pris une importance capitale dans le récit de ma vie, mais je vous raconterais cela en temps et en heure. Cet homme en a fait plus pour ma mère que mon père n'en aura jamais fait. Et même si je ne le connais que très peu, il a toute ma gratitude pour ce qu'il a fait. Ma mère l'a rencontré un soir, dans une taverne, et si cette rencontre ne paraissait de prime abord pas exceptionnelle, elle s'avéra fondamentale pour la suite de notre histoire. La deuxième rencontre... C'était mon père.
Pourtant, à l'époque, il était loin du monstre qui a hanté ma jeunesse. Gentil et attentionné, il a eu le malheur de boire une coupe de trop en compagnie de ma mère. Ils m'ont conçu cette nuit la, tout deux trop alcoolisés pour comprendre que cette nuit allait sceller leurs destins à jamais. Mon père est tombé amoureux de ma mère, qui malheureusement ne le lui rendait pas. Elle avait tendance à ouvrir son cœur plus facilement aux personnes en difficulté, et Kerorian était tout à fait capable de s'occuper de lui-même. Mon père s'est enfui au matin, laissant derrière lui l'épée qui orne aujourd'hui ma hanche, la Zweihander.

Ma mère a mis un certain temps à se rendre compte qu'elle était enceinte. Il a fallut qu'elle rencontre à nouveau Alan, qui avait assisté à toute la grossesse de sa femme Kwendal et sut ainsi déceler chez elle les signes de la grossesse. Quand ma mère l'a appris, elle a accompagné Alan au désert d'Athary, où il avait semble-t-il trouvé un havre de paix où Laguz et Beorc vivaient ensembles. Kerorian, également présent lors de cette rencontre, est parti à la recherche d'un lieux tout aussi idyllique mais où la rudesse du désert ne risquait pas de mettre à mal la femme qu'il aimait. Il n'a jamais trouvé ce lieu.

Lorsque Kerorian revint, il avait... Changé. Il n'avait pas rencontré les bonnes personnes, tombant entre les mains de gens tordus qui se mirent à expérimenter leurs magies et leurs sciences sur son corps. Son esprit mis à mal par les tortures devint un terrain fertile, où sa lame possédée put implanter ses idées malsaines et tordues, changeant l'homme au grand cœur qu'était mon père en la pire des monstruosités. Et lorsqu'il se présenta au village, c'était l'arme à la main, les yeux pleins de rage.
Je n'étais alors pas née, mais ma mère, Kira, gaël et Niall en ont gardés suffisamment de souvenirs pour me dire ce qu'il s'était passé ce soir fatidique. Portée par une furie sanguinaire entretenue par son arme démoniaque, il a entreprit un massacre en règles, et l'une de ses premières victimes fut Alan, le père de Kira et Gaël. Et si, par la suite, les nombreux guerriers exilés dans ce village réussirent à mettre l'assassin en fuite, le mal était fait. Kira et Gaël étaient orphelins, et ma mère était la seule encore capable de prendre soin d'eux.

Je suis née quelques mois plus tard.

Je ne fus pas la plus facile des enfants, et je sais que j'ai donné bien des soucis à ma mère. Aujourd'hui, en repensant à la manière dont elle a trimé pour s'occuper de nous, je regrette d'avoir eu un aussi sale caractère. D'ailleurs, ça n'a pas trop changé. Mais ce n'est pas le sujet... Ma mère gagnait sa vie en chantant, en effectuant durant la journée divers travaux pour aider la communauté, et il faut aussi dire que les gens du village étaient généreux avec elle, et lui filaient parfois un coup de main... Notamment la compagne d'Alan, Lila, qui, si elle ne se sentait pas prête à éduquer des enfants, nous apporta son aide et fut comme une tante pour nous, Kira, Gaël, Niall et moi.
Niall partit peut de temps après, décidé à alléger la charge de travail de ma mère. Nous avions beau être coupés du monde, les marchands qui passaient, les gens qui venaient trouver refuge dans notre village, et autres baroudeurs, nous rapportaient des nouvelles bien inquiétantes.

Un géant roux, Kerorian, décimait le territoire, tuant sans distinction civiles, soldats, hommes, femmes et enfants, semblant incontrôlable, comme une marée que le plus solide des barrages n'arriverait pas à contenir. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours eu conscience qu'il s'agissait de mon père. Et d'aussi loin que je me souvienne, ma haine à son égard n'a jamais été en s’atténuant. Vous ne pouvez certainement pas imaginer ce que c'est, de grandir en entendant les récits toujours plus horribles des massacres perpétrés par votre paternel. Moi, je l'ai vécu. Et ça n'a rien de très sain. Je voyais Kira et Gaël grandir, éduqués par ma mère, regrettant la mort de leur père, et je les enviais, car eux n'avaient pas à regarder sans arrêt derrière eux et à assumer que l'un de leur parent était un fou furieux assoiffé de sang. Une réaction parfaitement égoïste, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Et tandis que Kira apprenait la magie, aidant ma mère à nous gagner quelques pièces en agrémentant ses chants de jeux de lumières qui avaient tendance à enchanter les badauds, Gaël et moi nous intéressions au maniement des armes.

Nous avons étudiés auprès des guerriers qui étaient venus vivre leur retraite ici, ou qui avaient décidés que ce village constituait un lieux idéale pour fuir les combats. Et si ils m'ont prêtée à mes débuts une épée d'entrainement, j'en suis rapidement venue à la Zweihander, l'épée léguée par mon père. Elle était au début beaucoup trop lourde pour moi, mais j'étais déterminée. Déjà à l'époque, je me disais que si cette épée arrivait à bout de son ancien propriétaire, les choses ne pourraient qu'aller mieux. C'est donc avec acharnement que, chaque jour, je forçais mon jeune corps à l'entrainement, à affiner ma technique et ma musculature. Et le temps que je perdais lorsque je me heurtais aux difficultés de l'apprentissage était autant de temps pendant lequel l'ombre de Kerorian planait sur nos têtes, menaçant notre paix précaire.
Durant nos entraînements, Gaël et moi nous sommes rapprochés. Nous avons grandi ensemble, nous sommes forgés ensembles, et les heures durant lesquelles nous nous sommes amicalement battus ont contribué à faire évoluer notre relation vers quelque chose de plus profond, un sentiment que je ne ressentais pas à l'égard de sa sœur Kira. C'est tout naturellement, sans aucune gêne, que j'en suis venue à l'aimer. Après tout, ça n'a jamais été mon genre de me voiler la face... Et il s'est trouvé qu'il ressentait la même chose pour moi. Je le soutenais quand il pleurait la mot de son père, et il m'aidait à sortir de mes crises de rage. Et ma mère suivait nos premiers pas hésitant sur le chemin de l'amour, un sourire en coin aux lèvres. Elle devait sans doute penser qu'on avait eu plus de chance qu'elle de ce coté-là, et elle n'avait pas tort.

C'est à peu près à cette période que Niall est revenu. Il avait grandi, et monté de son coté tout un réseau d'informateurs, ainsi que sa propre bande de brigands à la ligne de conduite assez particulière. En effet, sa devise était "voler aux riches pour donner aux femmes"... Et si ma mère n'appréciait pas trop la "profession" de son fils adoptif, j'y voyais pour ma part un certain avantage. A vrai dire, il avait monté tout son réseau d'informateurs pour chercher des renseignements sur Kerorian, et il nous rapporta de manière bien plus fidèle que n'importe quelle rumeur les agissements sinistres de mon paternel. A partir de là, notre décision était prise. Kira, Gaël et moi-même avons suivi Niall hors d'Hatary, bien décidés à en finir avec cette histoire.

J'ai observé avec amusement la relation qui se développait entre Niall et Kira, sans cependant m'en mêler plus que cela. J'avais d'autres chats à fouetter. Cela dit, j'étais heureuse pour eux lors qu'ils se sont mis ensembles pour de bon. Mais à mesure de nos voyages, les ravages perpétrés par Kerorian étaient de plus en plus visibles. Et il fallait que cela cesse. Finalement, les choses ont changés un soir a priori comme tous les autres... Enfin pas tout à fait.

Ce soir la, j'avais bu. Beaucoup bu. J'avais besoin de me vider la tête, de me changer les idées, mes idées étaient trop noires. Et j'ai toujours eu l'alcool joyeux... Bref, toujours est-il que j'ai un peu pété un câble avec Gaël. Au point qu'on s'est retrouvés à danser nus sur une table d'auberge. Notre petite fête a été interrompue lorsque l'aubergiste à envoyé son fils chercher la garde. Nous nous sommes rhabillés en vitesse et sommes partis en courant, les gardes sur les talons. Nous avons trouvé une cachette, où Kira à probablement eu la pire idée de sa vie. Elle avait sur elle un bâton de téléportation, et elle a proposé, à défaut de nous téléporter a un autre lieux, de nous envoyer à une autre époque... Une époque où nous pourrions nous débarrasser de Kerorian avant qu'il ne devienne le monstre qu'il était devenu. Encore sous l'effet de l'alcool, je n'ai pas réfléchi aux implications de son idée, et Gaël non plus d'ailleurs, si bien qu'elle nous avons effectué un bond de vingt ans dans le passé. Apparemment le voyage à suffit à me dégriser, puisqu'en arrivant j'avais les idées beaucoup plus claires.

Nous avons déboulés dans la clairière où, vingt ans plus tôt, le destin de ma mère, d'Alan et de mon père s'étaient scellés. Cette clairière où ils s'étaient rendus compte que Liyu était enceinte, et où Kerorian était parti à la recherche d'une ville où vivre heureux. En le voyant, mon sang n'a fait qu'un tour... Immédiatement, je n'ai plus pensé qu'à une chose : le tuer. Cela dit, il était tellement loin de l'image de monstre que je m'en étais faite que j'ai hésité, lui laissant le temps de nous convaincre de chercher des alternatives. Il arguait que, mis au courant, il ne se laisserait pas avoir, et nous lui avons donc révélé ce que nous savions du futur qui les attendait. J'étais inquiète, mais il ne me semblait pas maléfique, et plus je le regardais, plus je me demandais comment il avait bien pu devenir le monstre que j'avais toujours connu.

La réponse m'est apparue suite à un pur hasard, une malheureuse erreur de Kira. Elle a disparu pendant un moment avec Niall dans un buisson, et si Gaël et moi nous sommes doutés de ce qu'ils faisaient, nous n'aurions jamais pu prévoir qu'en relâchant la bride à ses pouvoirs, elle libérerait le démon prisonnier dans l'épée monumentale de Kerorian. Et lui, en revanche, s'est montré à la hauteur de la réputation que je lui connaissais : Fourbe, manipulateur, pervers... Tout était bon pour noircir encore le tableau, mais ma mère, encore malheureusement innocente dans cette version d'elle plus jeune que je ne connaissais pas, a refusé que nous le tuions, arguant qu'il n'était plus un danger maintenant qu'il était hors de l'épée. Comme nous avions tort. Et le destin allait nous le prouver, ruinant l'espoir d'un avenir meilleur que je commençais déjà à me constituer.

Kira, Gaël, Niall et moi, nous sommes allés avec Liyu, Alan, et nos versions enfant à Hatary tandis que Kerorian partait à la recherche de son havre de paix, nous promettant qu'il serait prudent. Au pire, sans l'influence de l'épée démoniaque, s'il se faisait capturer, il y avait toutes les chances qu'il meurt... Aussi ne me suis-je pas trop inquiétée. Quand il est revenu, j'ai tout de suite remarqué, tout de même, qu'il avait changé. Plus sombre, il semblait avoir perdu de l'étincelle d'espoir que je lui avais vu dans la clairière. Et lorsqu'il est tombé sur l'esprit de sa lame, Drake, il a totalement pété un câble.
Voir l'histoire se répéter, malgré nos efforts, voir que l'espoir que je m'étais fait d'une vie meilleure s'envoler, ce fut une expérience atroce que je ne souhaiterais revivre pour rien au monde. Mais dans notre malheur, nous avons eu de la chance... Car cette fois, le coup d'épée n'a pas eu raison d'Alan, mais uniquement de sa mémoire. Cela dit, je ne sais pas si c'est une bonne chose, seul l'avenir nous le diras... En attendant, je ne resterais pas les bras croisés à attendre que le monde soit a nouveau ravagé par mon père. Je le trouverais, avant qu'il ne cause trop de dégâts. Et je le tuerais. Je le tuerais...

 Comment avez-vous connu le forum ? : Double compte de Liyu, cette dernière est un peu coincée en Hatary alors...

 Expérience du Role-Play: Ça doit faire quoi... 5 ans que je fais du rp ? Ouais, un truc du genre...

Piou piou ! Rebienvenue sur Fire Emblem : Dawn of Destiny !
Passons donc sans plus attendre à la notation ! L'habituelle étant en refonte, je vais la jouer sur la subjectivité, en faisant tout de même attention aux critères de base. xD

Alors ! Déjà, j'ai décelé quelques petites fautes, pas bien gênantes, surtout sur un texte comme celui-ci, mais bon, un "s" au présent de la 1ère personne, ça me titille un peu xD (Eh oui, je suis une ancienne L ... :b)
Ensuite, certaines de tes tournures de phrases sont parfois très abruptes, du coup ça coupe net le lecteur, ce qui est soit frustrant, soit très perturbant :b

Sinon, j'ai bien aimé la lecture, l'histoire du personnage est bien narrée, même si le "vous saurez ça plus tard" m'a légèrement frustrée :b

Je te valide donc Beorc Rôdeur avec 15/20 ! Cela t'autorise donc deux compétences !

Bon RP avec ce nouveau compte ! ;3