❝ Freya ❞
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| Sujet: Freya, lorsque l'obscurité devient souveraine Mer 3 Déc - 19:53 | |
| Freya NOM : PRÉNOM : SURNOM : Freya ÂGE : 120 ans, SEXE : Féminin RACE :Laguz PEUPLE/CLASSE : Dragon noir PAYS D'ORIGINE : Goldoa
Me, Myself, I PSYCHOLOGIE : Minimum de Lignes Obligatoires - 5 Décrire le chaos, est ce possible?
En réalité ce n'est pas tant le chaos ambiant qui règne dans l'esprit de la femme qui dérange, non c'est au contraire la sorte de bienveillance malsaine qu'elle accorde à tous ceux qui rencontrent son destin. Sa destinée depuis maintenant des années elle n'y croit plus, se contentant de survivre comme elle peut en oblitérant dans un tourbillon de violence et de rage les personnes dont la présence la gêne. Et tous dérangent, semblables à des vers et des porcs se plaisant dans la fange qu'offre le monde à ces misérables.
Une dualité régnant donc dès la première minute de l'entretient avec la dragonne, son sourire se changeant rapidement en une grimace traduisant son dégout, et le dédain si particulier pour les êtres vivants dont elle souffre. Néanmoins est-ce un véritable défaut de sa personne? Elle ne saurait le dire et dans tous les cas la réponse ne lui plairait pas, de sa bouche sort rarement une phrase et à un degré encore supérieur un compliment, du moins un compliment comme l'entendent la plupart des gens, si la foule et les masses se plaisent à parler pour rien et à répandre un vent fétide et horrible aux narines de la femme, cette dernière au contraire accorde aux mots un sens bien particulier. Et de ce fait elle emploie rarement la langue commune. En revanche lorsqu'un son sort de sa bouche c'est souvent des grognements ou des onomatopées décrivant son humeur du moment, cela permettant plus ou moins une sorte de dialogue entre elle et son interlocuteur.
Enfin les descriptions précédentes ne sont que la surface de la personnalité complexe et bipolaire. En effet, si les gens sont surpris lorsqu'ils restent plus d'une minute en sa compagnie ils le sont encore plus à l'instant ou les masques tombent. Car si la dragonne ne parle pas ou affiche une expression maussade c'est également qu'en amont elle prépare autre chose, elle prépare un cadeau. Un cadeau pour elle et un cauchemar pour l'autre, la mort, c'est ce qui guide depuis sa deuxième naissance l'ancienne fidèle de Goldoa. La mort comme fidèle compagne, la mort comme épouse et aimante et surtout comme support en ces temps incertains.
Elle est la mort sous différents aspects et incarne pour des populations des sobriquets bien différents, aucune distinction lorsqu'elle commet ses massacres, pas plus que la pitié est présente en elle. Autrefois elle aurait défendue ces mêmes peuplades et ethnies qu'aujourd'hui elle tue et torture avec indifférence. Pourquoi le faire alors si elle ne ressent pas de plaisir? Et vous pourquoi allez vous travailler le matin dans un bureau avec un patron tyrannique? C'est exactement la même chose, elle le fait parce que c'est son travail et le seul qu'elle accomplit avec brio. Elle est habituée à répéter les mêmes gestes, machinalement et la même dextérité que lorsqu'elle jouait avec sa poupée. Car ces faibles et pathétiques mortels ne sont, pour la nouvelle déesse guerrière et vengeresse qu'est Freya, que des jouets qu'elle brise avec aisance et sans se forcer.
Ainsi tout n'est que chaos et négativité dans cet être revêtant un corps angélique, ne pense qu'à oblitérer et à détruire ce que ses pères et ceux de sa race ont autrefois bâtis et pas uniquement eux. Le monde brulera d'un nouveau feu, et tous sauront ce que veut dire le sens du mot chaos. Une anarchie nouvelle accompagnant une folie tandis que marchant insensible aux pleurs et cries des Hommes elle marchera. Freya marchera vers sa destinée et son futur, tout ceci n'est que le début et comme une machine ou sa mortalité n'est marqué que par sa chair et son sang. PHYSIQUE : Minimum de Lignes Obligatoires - 5 Un corps parfait.
Un physique angélique et idéal voilà comment était décris celle qui était l'une des pousses montantes de sa dynastie. Sa longue chevelure opaque et brune descendant sur ses épaules alors qu'ils étaient attachés lors des cérémonies officieuses et importantes.
Alors celui qui l'observait remontait son regard vers un visage aussi enchanteur qu'innocent, où des prunelles à la couleur azur dévisageaient alors cet inconnu, et que pendant qu'hypnotisé l'observateur ne pouvait que retenir sa respiration désormais saccadé alors que son rythme cardiaque augmentait tandis que les lèvres pulpeuses et à la couleur carmine bougeaient pour former un sourire. Alors il baissait le regard tant surpris par la réaction de la femme dragon que par la sienne, il se contenait de lancer furtivement des regards discrets en direction des courbes genéreuses et d'une poitrine rebondissante et à peine couvert par un léger voile.
Autrefois Freya s'amusait dans la vie, son physique y était pour beaucoup et ses formes parfaites et sans retouches lui assurait une grande facilité dans les discussions masculines et surtout lors de ses caprices. Alors oui elle en abusait non sans une certaine nonchalance et une insolence parfois extrême, mais qui lors de son adolescence où dans la vie n'a jamais usé de ses atouts pour s'aider? Les imbéciles uniquement ne le feront jamais et à cette époque, Freya aimait tout sauf qu'on la compare à une crétine et une catin de part ses habits et modalités mondaines. Elle était princesse et son rang n'autorisait aucune tenue semblable à celles des gueux et des mendiants, l'aurait-elle seulement désirée elle même? Jamais, jamais son physique n'aurait renvoyé cette image de personne dans le besoin et surtout ne prenant pas soin de son corps, chose ô combien incompréhensible pour la petite pimbêche qu'était le futur fléau de l'époque.
Aujourd'hui la comparaison est en effet encore impossible.
Mais bien parce que elle ne ressemble à aucune créature vivante connue et mémorisé par les populations. Son visage ne renvoie que des successions d'émotions toutes plus mauvaises et méchantes les unes que les autres. Et son regard, ce regard si particulier qu'ont décrit des survivants, victimes épargnés sciemment par le fléau. Alors leurs écrits parlent alors d'une forme monstrueuse prenant plaisir au carnage gratuit et violent. Même les criminelles reculent devant tant de sang s'agitant autour des bras de la tueuse.
Une tueuse? Tuer est un euphémisme en comparaison de ce que fait Freya, elle ne laisse rien derrière pas même des os à ronger dont elle se sert pour ses manucures dans les tripes des morts. Elle ne ressemble à rien, mais pas uniquement dans le méchant sens qu'utilise les jeunes pour décrire une personne ne rentrant pas dans leurs codes. Les codes? Ils explosent dès lors que dans un rugissement singulier et désormais reconnaissable par certains l'enfer se déchaine.
Dès lors, Freya confirme les rumeurs et craintes des faibles. Sa chevelure est désormais morte pour laisser place à ce qui ressemble à de la chitine, des longues tresses à la nature inconnue et dont les pigments donnent une couleur brune. Son visage si parfait et angélique est désormais sale et repoussant, ses lèvres constamment recouvertes de sang dont la date se détermine par la couleur brunie ou non du dit sang.
Dans son dos deux ailes squelettique en permanence présente qui indique la nature à moitié trépassé de la dragonne. Ses pieds n'ont point besoin de chaussures pour endurer des longues marches, les griffes suffisent et les ongles de même.
Autre absent de ce nouveau corps c'est la tenue vestimentaire, ses seins sont recouverts par une sorte d'armure d'écailles dont l'endurance est à toute épreuve tandis que le reste de son corps est également sous cette protection solide. Et rien n'est désormais capable de contenir ce corps si spécial et propre à la mort que désire l'ancienne princesse.
Vous l'aurez comprit la transformation n'est pas seulement mentale mais surtout physique passant d'un extrême à l'autre et en gardant une démesure à son niveau la dragonne a parfaitement adapté son mode de vie. Désormais ils la craindront comme une déesse guerrière dont les braves se tueront pour une nuit en sa compagnie. Une nuit de noce rouge où au petit matin Freya ressortira tandis que derrière des restes fumants de ses concubins éphèmeres achèvent leurs disparition.
Who I was BIOGRAPHIE : Minimum de Lignes Obligatoires - 10 Une éclipse.
Voilà comment la nature avait décidée de marquer l'entrée dans ce monde de la futur monstre. Une éclipse qui dura le temps que le nouveau née sorte de sa mère. Une étrange coincidence pour les septiques, un signe annonçant la suite des évènements pour les autres.
La suite? Elle fut étonnante et étrange, reflétant à merveille ce qu'avait prédit les oracles et les fanatiques. L'enfant en grandissant sembla développer un lien plus intime avec le petit peuple, elle aimait les bains de foules et s'encanailler avec les petits voyous des quartiers pauvres. Elle rentrait le soir avec un déguisement plus réaliste que ceux des paysans. L'étonnement de ses parents fit place à une colère grondant et tonitruante ne laissant guère de doutes sur les origines mythiques des siens.
Elle prit sa première claque lorsqu'elle fut surprise entrain de fleurter avec un jeune bourgeois. Et elle comprit ce soir là alors que sa mère menaçait de tomber dans les pommes et que son père ne s'arrêtait plus d'hurler, elle comprit qu'elle devrait accepter les lois et institutions. Les codes et règlements que ses pères et les anciens avaient mit en place devaient perdurer et ce n'était pas elle jeune sotte fraichement née qui allait tout changer.
Le lendemain elle sortait avec une escorte aussi nombreuse qu'équipé en armes et en protection. Elle ne laissait désormais plus filtrer les regards à travers les épaisses et lourdes armures que portaient ses gardes du corps. Chacun d'entre eux était entrainé à servir la petite princesse et peste qu'elle était jusqu'à sa mort. Et si les premières semaines elle ne parlait guère avec ces brutes, très vite elle comprit qu'ils étaient son seul rempart contre une tentative d'assassinat. Aussi fit-elle des efforts de diplomaties et de politesse envers eux, multipliant les blagues et comédies au grès de cadeaux et de présents pour eux et leurs femmes.
Les années passant l'enfant se transforma en adolescente radieuse et délicieuse avec un sourire toujours présent sur le visage. Elle avait prit également de l'assurance et multipliait les apparitions dans les diners mondains au rythme que son nombre de prétendants augmentait sensiblement. Des jeunes damoiseaux lui rodant autour et finissant bien vite avec, pour unique compagnie un bouclier et le métal froid comme sensation de baiser et derrière ce rideau de muscles et de fer un rire cristallin se moquant éperdument de ces ingénus crédules et terriblement victimes de la passion amoureuse.
L'amour n'était qu'un moyen pour Freya d'arriver à ses fins et déjà les prémices de ses vices pointaient le bout de leurs nez. Elle multipliait avec l'âge les galas et rendez-vous avec les grands afin de rapidement s'affirmer dans la famille. Elle n'était pas l'unique héritière et elle le savait que trop bien aussi alors que ses soeurs et frères comme des poules et coq pavanaient sans préoccupation l'ancienne reine des gueux avançait avec détermination dans la vie. Elle multiplia également les recrues pour son escorte si bien qu'elle voyageait désormais avec une véritable petite troupe dont le nombre gonflait officieusement.
Il arriva également un tournant dans sa vie ou elle se confronta ouvertement à l'un de ses pairs. Un noble, un imbécile qui prônait ouvertement une propagande militaire et la préparation d'une guerre envers les félins. Un malade qui aurait conduit sa patrie à la mort et dans des années à venir malheureuses. Alors la jeune femme se décida à agir, et dans une campagne de séduction politique elle rassembla les siens et conquit le coeur des indécis. Elle parlait avec un talent oratoire digne de son rang et avec une prestance qui prévalait sur l'ancienneté du noble. Et à l'issue de leurs débats son père trancha la suite en faveur de sa fille, cette nuit là elle reçut comme compliment de la part de son paternel un simple sourire et un baiser sue le front. Des gestes valant tous les discours possible et lui suffisant pleinement.
Mais le caractère et l'humilité ne sont pas des points positifs chez les hommes, surtout au sein des dragons. Le noble ne se contenta guère de sa défaite bien au contraire. Il était riche et fourbe, il était puissant et avare de pouvoir, il était vieux et souhaitait être immortel alors il scella dans un pacte son âme corrompue et viciée aux puissances obscures.
Alors l'enfer se déchaina sur la dynastie de Freya, et le frère tua le frère, et la famille se déchira de l'intérieur alors que le peuple commençait à gronder. Les émeutes et révoltes soufflèrent comme la tempête sur le frêle chêne qu'était la maisonnée de la jeune femme. Alors Freya aussi se décida à acquérir puissance et pouvoir, elle descendit calmer les plus anxieux et dévoilant sa petite armée elle réussit à mater les insurrections dans le royaume. Elle fit de ses hommes et de sa personnes des instruments au service d'un pouvoir vacillant.
Et comme le voulait le noble la guerre éclata. Mais non pas à l'extérieur des frontières mais bien en son sein et très vite les montagnes s'enflammèrent alors que les villages tombaient. Et de nouveau Freya perdit une portion de son humanité en laissant faire ses adversaires. Elle calma tout d'abord les siens, par la force et la violence. Chaque meurtre que ses soldats commettaient en son nom lui arrachait progressivement le coeur. Puis elle se lassa de se cacher derrière des remparts et d'être confinée dans des murs trop étroits.
Et le dragon explosa, elle explosa lorsque le petit peuple se dressa contre elle et en enfonçant les portes barricadés de chez elle, mit à terre ses biens et ses richesses. Elle explosa comme jamais depuis elle ne le fit, dans sa gorge monta quelque chose qu'elle relâcha en faisant mine de vomir. Les flammes consumèrent toutes traces vivantes et matériels devant elle. Et les paysans prirent peur, mais il était déjà trop tard, une demi-douzaine de minutes plus tard elle sortait de chez elle en défonçant les murs et sous un nouveau jour. Mais ce n'était rien en comparaison de ce qui attendait sa famille et l'insecte qui avait provoqué tout cela.
Son armée entra dans la danse des lames et le ballet de la mort. Chacun de ses soldats donna sa vie et son courage pour Freya, ils moururent en achevant de détruire ce qu'ils avaient protégés car les instructions étaient tombés. Comme l'épée de Damocles tombant sur la tête du juste Freya condamnait son peuple et les siens pour sauver sa race. Elle tua en déversant toutes les lames de son corps ses parents et son cercle intime. Elle tua comme jamais ses entrainements ne lui avaient apprit à faire. Elle se perdit et se tua lors des massacres inutiles et couteux en forces qu'elle organisait.
Elle infligea des terribles blessures à son pays dans le seul but de mettre au pouvoir ce noble dont le nom est depuis murmuré avec prudence. Car elle rodait, partout, le ciel était à elle et chaque dragonnet que lui envoyait la couronne elle le tuait en trempant avec aucune pitié ses crocs dans sa carcasse. Elle avait vendue son âme pour triompher, comme une princesse sacrifiant sa contrée pour achever un adversaire. Elle n'était plus rien, elle était recherchée et sa tête mise à prix mais du reste elle progressait chaque seconde qui s'écoulait. Elle se rapprochait de sa cible en ne laissant derrière elle que cendres et destruction.
Et elle fondit sur ce porc si gros qu'elle le confondit avec un plat au début. Son odeur nauséabonde empestait aux alentours et ses narines écailleuses ne pouvaient plus le supporter. Elle ouvrit, littéralement, en deux son château et ses pattes envoyèrent voler les pierres derrière lesquels cet insecte se cachait. Et sa dernière pensée de cette ancienne vie ne fut qu'au moment ou elle brula sur place cette immonde raclure et détestable personnage. Du reste le dragon disparu aussi rapidement qu'il était venu et depuis ce jour son royaume n'a jamais eu à se plaindre de son retour.
Sans conscience et sans remords elle oublia son passé, du moins c'est le dragon qui l'oublia et Freya se calqua sur le caractère bouillonnant de la bête qu'elle était au fond d'elle.
Car au final cet insecte lui avait montré que la puissance ne s'octroyait jamais gratuitement et sans contre parties. Mais le jeu en valait bien la chandelle et si son humanité était morte lors de sa fastidieuse campagne au contraire ce qu'elle refoulait depuis longtemps s'adonnait désormais à des exactions si sanglantes que la simple présence d'esprit refusait de concevoir. Car la bête rodant dans le ciel est toujours présente, jamais très loin des carnages et des festins car elle vient pour vous, elle vient pour ce monde et son appétit n'a aucune limite pas plus que sa soif jamais étanche de sang n'est repue. Car elle est la mort et la fin des temps approche.
Bientôt le monde s'embrasera dans un fameux charnier où Freya s'endormira comme la bête et le fléau qu'elle est désormais. Les oracles avaient donc bien jugés sa destinée, elle sera l'ombre recouvrant le soleil.
Et cela commence dès maintenant.
Derrière le Masque PSEUDO : COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Un beau jour des chocapics, non comme tout le monde une sainte est venue me parler durant mon sommeil °° QUELQUE CHOSE À CORRIGER ? Ma...'^' EXPÉRIENCE DU ROLE-PLAY : Trop longtemps, sincèrement je crois avoir commencé au collège °° TU AS DÉJÀ JOUÉ À FIRE EMBLEM ? SI OUI, LEQUEL/LESQUELS ?
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❝ Callie ❞
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Feuille de personnage Niveau: (14/60) Points d\'Expérience: (55/100)
| Sujet: Re: Freya, lorsque l'obscurité devient souveraine Jeu 11 Déc - 22:01 | |
| Bienvenue sur Dawn of Destiny ! Alors, tout d'abord, ton personnage me plaît ! C'est un peu d4rk kik00, mais osef, l'histoire se tient, la colère et la haine du perso l'ayant transformé en une machine qui peut être super intéressante à développer ! C'est à toi que revient le pouvoir, héhé. J'espère donc que tu t'amuseras parmi nous xD
Pour en venir à la note, je vais souligner quelques points négatifs : Déjà, il y a quelques fautes qui piquent un peu la vue (eh non, on ne dit pas fleurter mais flirter :b), et d'autres par-ci par-là, mais la fiche est plutôt longue, donc ça va encore. Ensuite, il y a le physique: on voit toute l'histoire du personnage au milieu, ce qui n'est pas utile à mon sens, puisqu'on voit tout ça dans le passé, justement. Ca fait un peu "remplissage", même si c'est joli à lire. x)
Autrement, tu utilises un vocabulaire riche et varié, ce qui m'a agréablement surprise. Gaffe toutefois à ne pas faire trop de phrases à rallonge en voulant absolument caser du style. Quelques fois, une phrase courte mais efficace coupe moins le souffle, et capte mieux l'attention du lecteur.
Tu t'en sors donc avec 17/20, ce qui nous fait un petit 18/20 en ajoutant le bonus lié au choix du Laguz. :b
Je te valide donc Laguz Dragon Noir, en te souhaitant un excellent RP parmi nous ! Pense à faire ta FT, ton journal de bord, et également à te faire recenser ! ♥ |
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