❝ Jaarhone Elban ❞
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| Sujet: Jaarhone, un mage noir en proie d'une expérience [Peut choqué] Ven 2 Aoû - 1:04 | |
| o Informations générales : Nom : Elban Prénom : Jaarhone Surnom : JaaJaa ou Jaarhonimo Rang: Faible mage des ténèbres Âge* : Entre juste dans l'âge adulte Sexe* : Masculin Race* : Beorc Classe* : Mage noir Pays d'origine* :Daein o Description du Personnage : Caractère* : A vrai dire, mon caractère est plutôt particulier pour un mage noir. Vous vous attendez peut-être à voir un homme prêt à tuer pour son culte envers Yune ? Vous n'êtes pas loin du compte. Je ne tue pas pour le plaisir de tuer et envoyer l'âme du mort à Yune, certes je lui voue une partie de moi-même, mais la destruction et le meurtre pour une soif de sang quelconque, ce n'est pas réellement mon délire. Bon, si je me fais agresser, mes pulsions meurtrières réagiront immédiatement mais je suis plutôt du genre calme, amicale et détendu. Peut-être même insouciant. Ma magie est plutôt une arme défensive qu'offensive, malgré les apparences et les dégâts collatéraux qu'elle peut produire. Je ne cherche que la paix, mais je suis prêt à faire la guerre pour l'obtenir. Physique* : Vous voulez tout savoir de moi, n'est-ce pas ? Je vois que votre vue ne vous permets pas de me décrire suffisamment, alors laisser moi vous aider. Je ne suis pas très épais, étant donné que ma tête m'est plus utile que mes bras, ma taille est légèrement au dessus de la normale, ce qui en étant plus d'un. Je m'habille souvent de couleur sombre, pour éviter de faire contraste avec mes compétences, que je ne qualifierai pas de surhumains, mais pas totalement naturelle non plus. Mes cheveux sont roux, plutôt court afin de pouvoir mieux les cacher sous ma capuche et ma tête est caché sous un masque, cachant mon affreux visage brûlé par mes anciens "maîtres". Je ne porte pas de sac et très peu de provision, à cause de ma légère anorexie et mes livres sont pour la plupart caché sous ma cape. Passé* : Minimum de Lignes Obligatoires - 10 Prologue : L'enlèvement Qui l'eut cru qu'un jour, une ferme proche de la capitale de Daein soit attaquée par une bande d'esclavagiste ? Yune surement, Ashera moins. Je ne pensai même pas à songer me sentir en danger, et encore moins lorsqu'ils étaient là, cette sensation était bizarre. Je voyais ses bandits égorger mon père, mangeait mon chien vivant, brûler nos récoltes pour l'hiver qui se préparait, emmener ma mère et mes sœurs aux loin et profiter d'elles. J'entendais leurs cris de douleur et je m'imaginai très bien dans quels situation elles étaient. Tous les bandits sentaient la mort, pour certains la soif de sang leur demandait plus, pour d'autre c'était suffisant.
Mais je n'avais pas peur, je sais que je ne voulais pas leur ressembler, qu'ils n'allaient pas me tuer, pourquoi, je ne sais pas. Ils nous emmenèrent, après avoir tous profiter des membres féminins, majeures ou non, même la petite dernière qui n'avait que quatre petites années ! Cette sensation bizarre restait, je n'étais pas en colère, là où tout le monde serait fous de rage, je n'avais pas peur, je savais juste que j'allais les tuer, tous, un par un.
Leur repaire ressemblait plus à un charnier vivant qu'autre chose. Bien sur j'avais déjà entendu des camps de bandits, que ça soit par les rumeurs qui couraient, les contes ou les légendes sur le Fire Emblem. Mais je ne m'attendais pas à ça. C'était crasseux, ça sentait la mort, les femmes criaient de partout tandis que les hommes rigolait des actes de leurs confrères. Je regardai partout mais visiblement les lieux étaient les même dans toutes les directions. Puis on nous enferma pendant des cages, en attendant le prochain marché noir, ou ils pourraient nous revendre.
Durant cette période d'attente, les malfrats nous nourrissait de maigre bout de pain et d'eau, si on pouvait appeler ça de l'eau..... On aurait plutôt dis que tous les hommes avaient uriné dans un pot et nous forcer à le boire. Par moment, j'entendais des discussions à propos de nous : "Je suis sur que le petit sera vite acheté !" " Je paris plus sur la mère avec ses gros arguments, bien que les filles sont pas mal non plus". D'ailleurs, en parlant de ma famille, elles sanglotaient toutes en se demandant où elles allaient finir, mais aucune ne tentaient de s'approcher de moi pour essayer de trouver du réconfort, mais cela ne me gêner pas.
Chapitre 1 : Le début du malheur Viens enfin le jour où nous sortons tous du repaire de brigand, aucun héros ou compagnie d'aventurier n'était passé par là. Mais je m'y attendais, je me pressai de savoir dans quelle famille ignoble j'allais finir. La route ne fut pas si longue que ça et le stand mettait la marchandise, nous, en valeur. Je voyais la foule de gens devant moi nous regarder, nous estimer. Je voyais surtout des nobles qui visiblement ne respectait pas le traité sur l'esclavagisme. Certaines femmes regardaient mes sœurs puis leur mari, certainement pour leur demander de les prendre. Mais vite la concurrence laguz fut supérieur. Néanmoins toutes ma famille partit dans des familles : ma mère fut achetée par à un gros noble, au regard vicieux. Ma grande sœur, par un homme, dont le charisme me laisser douter sur sa personnalité, mes deux autres sœurs furent achetés par un couple, peut-être le seul dont j'aurai pu avoir confiance. Je ne fus acheté qu'à la fin de la journée, où des hommes habillés de noir encapuchonnés, se pointe au stand et força par une sorte de sortilège les bandits à me vendre pour un (écus) seulement ! Je regarde mes acheteurs, essayant de comprendre comment ils ont fait cela et m'en servir plus tard mais en vain. L'un d'eux me prend au bras d'une poigne trop ferme par rapport à la forme squelettique de la main, d'ailleurs les ongles m'ont tellement rentré dans la peau, qu'elle en a saignée. Derrière moi j'entendais des cris de terreur, en tournant la tête je vis mes anciens ravisseurs morts, écartelés et un oeil au niveau du nombril. Et cette sensation revint, je n'avais pas peur des morts et les acheteurs semblaient devenir une cible. Ils me forcèrent à monter à cheval et nous galopons, loin de Daein.Chapitre 2 : L'apprentissage et propagande Comme tout bon citoyen, ou fermier, que je serai devenu, le culte de Yune serait une secte dont il ne faudrait pas mettre les pieds, malheureusement pour moi, je ne deviendrai pas un bon citoyen ou fermier. Alors mes acheteurs m'ont introduit, en me remplissant le crâne de propagande, qu'il faut savoir tuer, mordre, brûler, détruire aux noms de Yune ! Mais malgré ça, j'ai gardé ma liberté de penser, si bien que je prie Yune, je vis pour Yune mais les offrandes pour Yune reste quelque chose d'horrible à mes yeux. Je dois l'admettre, cependant, que pendant un moment, celle de mon apprentissage, mon cerveau était écrasé au point de suivre à la lettre, comme un petit chien, leur moindre désir, même les plus sauvages et les plus moche. Ils m'ont fait brûler une ferme, [PEGI-18] les femmes et les enfants, égorger les maris, et pourquoi ? Car ceux-ci ne pouvaient pas payer leur "taxe" de sécurité à cause d'une pièce manquante. En y repensant, j'ai de la peine pour eux, mais sur le coup je m'en fichai, je leur faisais plaisir et je faisais plaisir à Yune, c'était tout ce qui comptait pour moi à ce moment là. Puis ils décidèrent que j'étais prêt pour l'apprentissage. N'ayant toujours pas récupérer ma tête, il me semblait être un honneur, mais désormais je me rends compte que c'est extrêmement douloureux, telle une malédiction. Ces mages noirs, comme j'ai appris à les appeler, m'enseignèrent donc leur magie, voué au culte d'Yune. Ce qu'ils ne savaient, à cause de leur manque de sécurité, ils avaient trop de confiance envers leur propagande, c'est que j'avais récupérer mon esprit et que mon cerveau avait repris à fonctionner. J'eus préféré attendre le bon moment, et d'atteindre le maximum de leur apprentissage avant de commencer à faire l'oeuvre d'Yune parmi eux. Lorsqu'ils eurent fini de m'apprendre tous leurs secrets sur la magie noire, et afin de ne pas les trahir, un rituel était obligatoire. Il devait me défigurer ! Cependant, je n'ai pas eu peur, toujours cette sensation, et j'avais l'impression qu'une soif de sang m'appeler, mes membres tripoter mon pauvre livre de magie noire, comme s'ils étaient pressés de s'en servir. Le jour du rituel arriva, enfin car je n'arrivai plus à dormir la nuit. Je me mets devant mon bourreau et me préparais au pire. Une forge était à ses côtés, fumante, et je sentais que ma tête allait connaître la chaleur d'une forge. Mais visiblement c'était moins douloureux mais plus long, trop long à mon goût, mais mon heure allait sonner. Le bourreau ne prit qu'une seule braise mais l'appliqua lentement, tout doucement sur mon visage, tandis qu'un mage me tenait la tête pour éviter que je m'esquive du rituel. Je hurlai de douleur, à m'en briser les cordes vocales, mais il continuait tandis que mon visage commençait à ne plus ressemblait à rien.Épilogue : Lorsque l'on crée un monstre, il faut savoir le manier. Le jour de mon massacre n'était pas loin de celui du rituel, j'avais juste attendu que mon visage me fasse moins mal. Une fois la douleur supportable, je passai à l'attaque. J'avais attaqué de nuit après la prière à Yune. Pour "fêter" mon rituel, ils m'emmenèrent à un endroit où je pourrai défouler mes envies meurtrier. Mais pourquoi il eut fallu que ce soit dans une maison close ? Ce n'est pas grave, ils vont mourir quand même. La soif de sang m'avait appelé et visiblement je n'arrivai plus à la contrôler, alors je retourne tout le savoir destructrice sur les "maîtres", mes lèvres n'arrêtant plus d'incanter les pages de mon flux, tandis que je vois leur corps prendre des formes naturellement impossible. Leurs membres volèrent. Ma rage et mes envies de sang fusèrent tel que je me surprends à les manger devant les courtisanes apeurées de cette scène. Je leur avais sauvé la vie sans le vouloir et sans le savoir, car à cette instant précis seules leurs morts comptaient pour moi. Mais j'étais libre ! Les autres mages noires ne savaient pas ou nous étions partis, et tous ceux qui sont venu, sont morts déchiquetés ! Je me mis à genoux à pleurer de joie, la première joie depuis ma libération. J'étais heureux, défiguré mais heureux. La personne qui tenait cette endroit vint et en voyant ses morts ainsi que moi-même, semble aussi heureux que moi. Il me proposa même de m'abriter un certain temps. Je ne sortais rarement, après avoir vu à quoi ressemblait mon visage, je ne préférai pas. Mais l'hospitalité du tenancier touchait à sa fin, surtout lorsqu'il me proposa des habits et un masque. Je ne refusai de rien et le remercier, lui indiquant également que cela me gênait, je n'avais apporté que la mort dans sa demeure, mais il insistait. Alors, j'allais me changer et mis le masque. J'attachais tous les livres des autres mages sur les habits et proposa aux tenancier d'en garder quelques-uns.
Je partis donc de cette demeure si accueillante en direction de Daein, en espérant trouver quoi que ce soit sur le restant de ma famille.Si vous en voulez plus, faites moi signe ! Comment avez-vous connu le forum ? : Google est mon ami, bien qu'un forum intermédiaire m'ait aidé Expérience du Role-Play: Tentative de reprendre la route du RP ! Essayons de s'accrocher pour le moment ! J'ai de gros soucis de développement des écrits (dis souvent mes profs de français et autres collaborateur d'ancien forum). Quelques fautes d'inattentions également à prévoir. Gros défaut : On a beau me dire de me ban car je ne respecte pas les règles de rp (soit les italiques et autres tiret obligatoire, si je n'ai pas envie de les respecter et de faire mon texte à ma manière, je le ferais.) |
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❝ Allen ❞
Messages : 495 Age : 29 Localisation : Endormi dans un jardin de fleurs. Autre Indication : Feu et Glace et éternels Groupe : Aucun.
Feuille de personnage Niveau: (20/20) Points d\'Expérience: (100/100)
| Sujet: Re: Jaarhone, un mage noir en proie d'une expérience [Peut choqué] Mer 7 Aoû - 19:30 | |
| Bien. Je vais expérimenter sur toi la nouvelle méthode de notation qui se veut plus permissive et plus "ouverte".
Tout d'abord je vais commencer par la forme, vu qu'il y a un point à retenir: Tu dis ne pas tenir compte de la charte du RP et tu t'y tiens effectivement, et que tu fera toujours ainsi. Personnellement il ne me dérange pas de voir utilisé la forme romanesque de l'écriture, tant que c'est clair. Fais donc comme tu veux mais ne met pas tout ton texte en couleur, laisse au moins celle de base car du bleu-vert pour un texte un peu glauque, ça brise l'effet. Ensuite ton écriture est extrêmement chaotique (ce qui colle bien pour un mage noir), les phrases sont bien tournées et c'est plutôt pas mal mais l'utilisation des temps est totalement mélangée ce qui donne un léger sentiment d'incompréhension à certain moment. Essaye de garder le même temps tout au long du texte. L’orthographe ne m'a pas trop gêné.
Sur le fond: l'histoire est clichée, mais se veut bien écrite. On sent que tu te tire vers le haut, et un peu plus de développement aurait rendu tout cela plutôt magnifique. Cela dit on comprend bien les sentiments, même si il faut réfléchir pour bien tout capter.
Le fond y est, une histoire constructive et tout à fait cohérente avec le monde de Fire Emblem et un personnage qui ne demande qu'à se développer.
Note: 11/20
Je te souhaite la bienvenue, tu peux aller faire ta Fiche Technique et tu pourra passer une réévaluation dans un mois. |
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