Il en avait fallut de peu pour que je me retrouve nez à nez avec mes anciens compagnons d'embuscades qui, soit dit en passant, avez retournés leurs vestes et prient la prime qui était sur ma tête. Tous s'était très bien passé mais le dernier "Hold Up" fut imprévus... Après que l'on ai décidés de repartir vers notre camp un convoie faisait route sur le chemin où on s'était installés. Nous avions du prendre embuscade trois ou quatre convoie comme celui-ci dans la journée et avions décidé qu'il allait être le dernier.

Slaan et Tzenn, deux acolytes de notre bande avaient prient en main l'assaut. Il était question de se morfondre dans le arbre afin de tomber sur le convoie quand les autres l'aurez ou pas arrêté. Je regardais le soleil se coucher, l'air impassible du haut d'une branche, j'attendais le signal mais profitait de la vue lointaine que m'offrait cette position.

- SAUTES !!! Me cria Slaan nous loin de moi sur un autre bras de l'arbre.

Tzenn, Slann et moi lâchèrent nos position pour tomber sur le toit du convoie qui ne s'était pas du tout arrête, écrasant et percutant au passage un de nos compagnons qui n'avait pas eu la présence d'esprit de s'écarter en voyant arriver le convoie à toute vitesse. Les sabots martelaient le sol en rythmes alors que le cochés lançait des regards au dessus de son épaule dans notre direction. Je fis signe à Tzenn de me faire descendre à travers le bois qui nous séparaient des richesses stockée dans le convoie. Celui-ci sortit sa longue lame et entama à peine quatre coins du bois autours de moi. Ce fut suffisant et je descendis dans la pièce d'en dessous.

Le temps que la poussière fut retombé et que ma vue s'adapte à ce milieu plutôt sombre quelque chose me frappa la nuque avec une puissance contondante. Je m’écrasai quelques pas dans le fond de la "boite" et essaya de me ressaisir rapidement afin d'éviter une autre attaque fantôme qui fit un trou de l'endroit ou je venais de me retirer. La pièce était hermétique à la lumière mis à part le trou béant qu'il y avait sur le toit.

"Il stocke quoi ici qui ai besoin de tant d'obscurité?" pensais-je scrutant l'autre bout de la carriole

Je dérapa mes coutelas, en prenant soin d'attacher leurs dragonnes à mes poignets et donna des coup sur les parois laissant des rayons de lumière envahirent la pièce et me firent découvrir autours de moi une multitude de parchemins dans leur étuis. A l'autre extrémité de la pièce ce trouvait un garde, particulièrement robuste et carré portant une espèce de marteau à une main.

Je n'eus pas le temps d'ouvrir la bouche que je vis, par les entaillent sur les murs en bois, Tzeen tomber dans un cri de douleurs puis rouler au sol sur le bas côté. Le garde se rua vers moi et me chargea comme l'aurait fait un animal, tête baissée. Je plantai mes deux coutelas au plafond et passa par dessus lui dans son élan.
S'était à mon tours d'attaquer et me jeta sur lui, le garde fit un geste afin de me stopper dans ma course mais frappa dans le vide. Le temps qu'il ai pus se rendre compte que je m'était baissé je lui fis parvenir amicalement des deux pieds dans la figure qui le fis passer à travers la cloison de bois. Je retombai au bord de la cassure et me releva tant bien que mal.

J'observais attentivement la multitude de parchemins stockés ici et pris celui qui présentait le plus bel étui ainsi qu'un autre placer à coté. Quand je remontais en haut sur le toit je pus me rendre compte qu'il ne restait plus personne sur le banc du coché et que ni Slaan ni personne avait prit sa place. Je me ruai sur les rennes de la carriole et tira de toute mes force afin de stopper les bêtes mais celles-ci ne voulurent rien savoir et continuèrent sur leurs lancée.
Je m’élançai vers l'arrière du convoie et sauta par dessus de trou et m'élança de la boite roulante. Je fis un "petit" vol plané qui se termina sur le sol et roula sur quelques mètre protégeant ma tête dans mes mains.

J'avais eu beaucoup de chance mis à part la côte que je m’étais fracturée mais sinon tout allait bien. Les parchemins n'avaient pas soufrèrent car j'avais amortit leurs chutes alors je me dirigeai vers l'Orée du bois qui était à une dizaine de mètre du chemin. La nuit étant presque tombée je décidais de resté ici puis de refaire tous le chemin en arrière.
Sans m'en rendre compte nous avions du parcourir déjà Cinq bons miles le temps que "j'éjecte" le garde et trois miles en remontant et en tentant de stopper les bêtes. J'en déduis être à environ Dix miles de la où le "Hold Up" avait débuté et me constitua un petit camp plus profond dans le bois afin de passer la nuit et de repartir au matin.

Je fis une petit feu avec le briquet en pierre qui ne me quittait jamais. Je m’installai près de la source de lumière et de chaleur, pris les étuis et en sortit les parchemins. Le plus beau contenait un parchemin administratif totalement ennuyeux que de replaça très vite dans son étuis. Le deuxième parus beaucoup plus intéressant, quoi qu'un peu étrange. Celui-ci contenait ce poème :

Quiconque a peur de la peine et de la douleur ne doit point chercher à se lancer sur les grandes routes où la Raison et l’Audace coalisées livrent bataille à l’Ignorance et à l’Hypocrisie.

C’est avec l’aide de la rêverie et de la poésie que l’individu se transporte en dehors de cette apparence de vie qui a le droit de cité au pays des bipèdes, c’est en s’efforçant de franchir les limites de la tradition que le réfractaire sent combien sont tentantes les choses défendues par ceux qui exigent la Soumission afin d’avoir plus d’aise pour mieux Commander.

Il n’est point question là, de critiques adressées contre ceux qui ne sont pas encore au « point » pour comprendre la légitime grandeur de l’individualisme rayonnant et expansif : — Celui qui vient de trouver son chemin n’est-il point l’égaré d’hier !

Je te salue donc, ô anarchie, porteuse de flambeaux qui viennent éclairer l’Esprit qui marche à tâtons dans les ténèbres, qui viennent apporter au Cœur de l’homme, un peu, beaucoup même de cette chaleur qui lui sert de baume quand vient l’heure de la grande souffrance… Puisque sur la grand’place de l’idéologie renaissante, les « unités » se sont séparées pour prendre chacune la route préférée, marchons, marchons avec entrain vers le but que nous assigne notre puissance qui n’est point autre chose que la sœur de notre harmonie.

Je souris en finissant de lire l'œuvre et le remit dans l'étui de fortune dans lequel il était et me plaça dos contre un arbre, une coutelas dans la main gauche afin de somnoler jusqu'au petit matin.

La nuit fut rapide et je me mis debout aux première lueurs du jour. Arrivé au campement d'où était partit l"embuscade" je constatai que Tzeen et Slaan n'étaient pas là ce qui était particulièrement étrange car s'étaient eux qui dirigeaient à ma place quand je n'étais pas là. Je restais à l'écart, caché derrière les feuillages afin de comprendre ce qu'il ce passait dans le camp quand je vis Slaan attaché à un pilori.
Il y avait eu un problème et, en faisant attention de ne pas me faire voir j'allais vers mon compagnon dans l'intention de libérer.

-Slaan ! Slaan réveils toi... Que c'est t-il passé ici ? Pourquoi t'ont t-il attachés ? Parles mon frère.
Slaan releva la tête et me fis un sourire cachant sa douleur.

-"C'est une de tes homme qui avait infiltré une petit groupe de mercenaires. Ils veulent un parchemin du convoie et la prime sur ta tête" me dit-il alors que je lui enlevais ses liens.

- Ils n’ont pas de chance je n’ai rien ramené de précieux. Où sont-ils maintenant ?

-Partis à ta recherche, ils croyaient faire affaire avec le garde et partager la prime mais quand ils ont retrouvés son cadavre c'est moi qu'ils ont prit comme assurance. Ils seront là d’une minute à l’autre.
Je plaçai l’un de ses bras sur mes épaules et avança. Mon partenaire cria et je pus constater qu’ils lui avaient fracturé le genou gauche.
Des bruits nous parvenaient de l’autre bout du camp alors je hâtai la pas au grand malheur de Slaan. Quand nous fûmes assez loin dans le bois, près du chemin nous nous posâmes et reprirent notre souffle.

-Quand est-il de Tzeen ? Le questionnais-je sachant pertinemment ce qu’il allait me répondre.

-Disparut! La dernière fois que je l’ai vus le cocher l’éjectait du convoie.

Nous prolongeâmes un long silence et je me relevai lui tendant la main pour l’aider à repartir. Mes yeux se fixèrent dans les siens et le message fut très claire car le sien exprimait la même Soif… La soif de Vengeance

Quelques minutes plus tard nous arrivions aux portes d’un village. Il fallait à tout prix que je soigne Slaan sous peine qu’il y ait des complications. « Avec la prime sur ma tête ça n’est pas gagné ! » pensais-je.

Mais qui était cette énergumène ? Il nous avez trimballé une demi heure dans les airs puis nous avez lâchés comme des merdes au dessus du sol. Slann n'avait pas eu la même force que moi et s'était écroulé, faiblissant de ses blessures.
- Écoutes, je le soigne et tu me fais pas de mal hein ?

Psymon le regarda avec son regard le plus noir puis tourna la tête du côté de son ami.
-"Tu as raison soignes, le d'abord et après on verra se que l'on fait..."
Si cet étranger était compétents, Psy et Slann partiraient bien loin d'ici avec le manuscrit. Alors que le sanguinaire se posait en tailleur et sortait la parchemin il sentit quelque chose le gêner au niveau de l'omoplate, très vite il se rendit compte qu'une flèche s'était plantée dans son dos. Étant hors d'atteinte, Psy intéressa plutôt au parchemin et le ré-ouvrit afin d'en cerner les mots qui y figuraient.

-"Dépêches toi de le soigner ou je te déplume !" Lança t-il en lançant un bref regard vers eux alors que Slann gémissait succinctement de douleur.
Psymon observe attentivement les premières ligne en espérant comprendre.

Quiconque a peur de la peine et de la douleur ne doit point chercher à se lancer sur les grandes routes où la Raison et l’Audace coalisées livrent bataille à l’Ignorance et à l’Hypocrisie.

A croire que ce genre de tirade étaient destinée à Psymon. En effet il ne connaissait ni la peine, ni la douleur et encore moins la raison mais faisait preuve d'un grande Audace, était totalement Ignorant mais pas Hypocrite.
"Je ne comprend vraiment qu'un mot sur deux" pensa t-il en se grattant le crâne, lassé et fatigué Psymon préféra allez voir se que faisait l'inconnu à son meilleur ami.

Il avait remonté les manches de sa toge et s'était agenouillé près du corps, son bâton était posé sur la poitrine de Slann qui s'était provisoirement calmé. L'inconnu était concentré et récitait une formule. Psymon le regardait avec impatience et voulait au plus vite en finir pour que son ami se rétablisse au mieux.

-"Tu es sure que tu maitrises ?" demanda t-il à l'inconnu volant

[Hrp] Je me suis permise de te mettre quelques coups, car je pense que vu notre écart de niveau, Kiméra est dans la capacité de te battre ^^ [/hrp]

Grandiose, le pigeon venait d'offrir de véritables sensations fortes à Psymon. Un peu étourdit et titubant, il se laissa faire quant à la flèche qui était plantée dans son dos et du se poser en tailleur alors que le volatile retournait à Slann qui gisait sur le sol.

"C'est vrai que je ne sais pas qu'est-ce qu'il est mais en tout cas je sais que c'est un sale blaireau. S'occuper de moi alors que mon ami se meurt..."

-" Pathétique " dit-il en regardant puisement et directement l'oiseau de mauvaise augure.

Psymon se foutait pas mal de l'écart de puissance qui pouvait les séparer. Quand on ne peux ni voir son adversaire ni encaisser les coups qu'il renvoie, ce n'est pas chose aisé de le mettre à terre. Le marqué se riait encore plus de la force que cet empaffé pouvait avoir, cela l'aiderait peut-être justement à le terrasser si celui-ci essayait de l'attaquer.
Tranquillement Psymon ouvrit sa besace, y prit quelques feuilles de Langoulet et les mit dans sa pipe. Craquant une allumette et se redressant, le marqué approcha du pigeon qui avait sans doute finit son numéro et lança un bref "Hey" à l'inconnu. Une fois retourné il lui décocha une droite dans la figure puis dit en tirant sur sa pipe et en lui recrachant la fumée comme un dragon :

-"Ça c'est pour les menaces et le petit tour de pigeon ! La prochaine fois garde ton calme et ta langue au chaud, on n'est pas en guerre okay !"

Si cet inconnu persistait à faire la mariole au quart de tour, Psymon devrait donc se battre contre plus fort que lui, pour changer quoi. Le sanguinaire ne voulait cepandant pas envenimer les choses mais juste le remettre à sa place. On n'embarque pas des inconnus dans les airs pour enfin les lacher à cinq mettre du sol non plus que l'on ne leur fait pas faire une chute de 1000 pieds juste pour faire le dur et l'énervé.

Slann et Psymon avaient bien pire à affronter, leurs ancien "amis" étaient maintenant à leurs trousses par mutineries et comptaient en découdre avec eux, ce que Psy redoutait le plus. Chaque hommes qui composaient sa troupe le connaissaient depuis près de cinq ou six ans pour les plus anciens et aucun ne l'avaient considéré comme un ennemi pendant cet période. Le plus dur allait être en combat car tous connaissaient les techniques employées par Slaan et Psy.

Slann se redressa assis puis massa quelques seconde sa jambe.
-"Oh ! ne vous fracassez pas la face alors que je viens à peine de redevenir opérationnel !" dit-il en regardant les deux individus qui étaient face à face puis reprit "Qui es tu es que te voulaient ses hommes à beignon ?"

Précision : Tu n’es pas obligé d’arrêter Kiméra, ce sera juste la fin de notre rp. Mais si tu le fais, évite de me frapper une nouvelle fois car ya être audacieux genre provoquer une personne de 3-5 niveaux supérieur, et être suicidaire genre provoquer quelqu’un qui a plus de 10 niveau au dessus du tien.

La tempe de Psymon le lançait horriblement au point qu'il perdit équilibre et s'étala au sol comme un ivrogne sur les dalles de la rue de la taverne. Slann le prit par le bras et lança un regard à son ami afin de lui dire de ne pas la remmener d'avantage. Tout de même, avec des mouvements imprécis et faiblissants il s'adressa au soigneur et lui dit alors qu'il avait tourné les talons pour s'en aller :

-"On n'en à pas finit pourriture ! Un jour quand on se recroisera, je te ferait manger tes plumes par un nouvel orifice que je t'aurais creusé exprès..." alors que Slann l'aidait à se relever. Son ami ne souhaitait pour rien au monde que le "démon" s'énerver à nouveau et revienne à l'assaut et tira Psymon par le bras dans le sens contraire. Le voleur sanguinaire repoussa sauvagement son acolyte puis se concentra afin de tenir debout par sa seule force. Tout deux s'éloignèrent dans la direction opposée et s'en allèrent errer un peu plus loin dans le but de trouver un peu de répit.

Cela ne faisait même pas deux minutes que les roublards marchait qu'un crissement d'oiseau les alertèrent d'une présence dans les cimes qui longeaient la rivière. Slann continua d'avancer alors que Psymon paru septique. Soudain dans les airs, sortit de nul part, un homme d'une centaine de kilos de muscles munit d'un énorme marteau en métal sauta en direction de Slann dans l'intention de lui fracasser le crâne.

-"SLANN !!!"

Dans le but de sauver son ami de cette attaque dans le dos, Psymon se jeta contre lui, le poussa et pris le coup de plein fouet dans le torse. Pas de chance pour son adversaire qui avait mit presque toute sa force car le voleur avait utilisé son pouvoir d'absorption/décuplation avant coup et lui assena un coup du plat de son coutelas droit qui l'envoya valser dans les airs. L'homme fusa tellement haut que Psymon le perdit de vue alors qu'il s'écroulait au sol sous la force du choc qu'il venait de recevoir à la place de son ami.

Encore un fois un peu sonné Psymon ne pu aider son ami à se défaire de deux autre malfrats de leurs bande qui s'en venaient les occire dans tous les sens du terme. Malgré cela il réussit à faire tomber l'un deux et se dirigea vers le dernier debout qui persistait à grogner. Ce n'est que quelques secondes plus tard que tous deux, Slann et Psymon, comprirent que tout était foutus. Derrière ces "sentinelles" qui les avaient attaqués se tenaient toute une bande près à passer à l'attaque. La plus part de ces malfrats étaient anciennement de la bande de Psymon mais avaient trouvés un nouveau chef.
Psymon regarda Slann et lui dit:

-"Ne fais pas le con et posons nos armes tout de suite, ils ne trouverons pas se qu'ils recherchent."

-"Que dalle !!! De toute façon ils nous tuerons." lança celui-ci en tranchant la tête de l'homme en tête de foule.

Tous deux tombèrent sous les coups de matraque et de lattes, furent désarmés et attachés les mains dans le dos. Les prisonniers se contentèrent de rester à genou attendant qu'on s'adressent à eux.

[Hrp] Pas question, ramènes tes fesses de gros bill xD*

Alors que Slaanesh et Psymon étaient ligotés et encerclés de traites et d'assassin une douce mélodie s'était élevée dans les bois. Le chant résonnait entre la cime des arbres et donnait l'impression d'endormir, enfin ce n'était pas une impression mais plus un ressentit. Comment dire, s'était envoutant...

- Allez les deux là on se réveille.
Psymon ouvrit les paupières, surprit de ne se rappeler de rien hormis d'un chant magique. Son crâne était un peu embrumé mais il reconnut tout de même Kiméra avec sa sombre allure qui les regardait debout devant eux.

- Bonjour mes belles au bois dormant. J’ai trouvé ça sur vous. Dit-il en montrant le parchemin qu'il avait surement lu.
Psymon se redressa et aida Slaan à se rétablir en observant anxieusement l'étranger détenant son parchemin.

- La plupart des gens audacieux le sont car ils sont ignorants et ceux possédant de la raison utilise l’hypocrisie pour la garder pour eux. Quant à avoir peur de la peine et de la douleur, celui qui ne la pas ne peut avancer car il n’a rien à protéger ni m’aime lui. En bref ce papier a été écrit par un crétin ou cache un code qu’il m’est impossible de comprendre. M’enfin… Rajouta Kiméra en leurs tendant le vieux bout de papier et reprit en parlant à Slaan.
- Je te laisse libérer ton ami, personnellement je ne suis pas sure de me retenir s’il me remet un coup. Je te propose donc de faire tampon et si vous m’expliquiez dans quoi m’avez impliqué j’apprécierais.

Slaanesh regarda Psymon, Kiméra regardait Slaanesh alors Psymon se tourna vers Kiméra fermant le cercle vicieux et lui lança :
-Hey ! Je suis là tu sais... Je t'en suis très reconnaissant de nous avoir sauvé tout même. Sans ton aide nous serions surement morts ou pire encore. alors que Slaanesh le débarrassait de ses liens et lui tendait ses armes. Puis le guerrier continua en rangeant ses jouets :
- Je te rappelle tout de même que c'est toi qui à commencé ! en lui esquissant un léger sourire du coin des lèvres ironiquement.

Slaan finit de préparer et observa alors les alentours. Qu'est-ce qui avait bien pu arriver ? Il resta songeur quelques secondes et se rendit compte que Psymon en faisait de même alors il interrogea Kiméra afin de comprendre les événements.
- C'est toi qui à fait tout cela ? lui dit-il en observant à nouveau les corps soigneusement allongés ne présentant aucunes lésions.
-Tu les as tués ? Continua Psymon en regardant celui qui se trouvait le plus proche de lui.

L'homme, enfin la chose qui se tenait devant eux dépassait légèrement les connaissances des deux anciens mercenaires. Il semblait mystérieux et particulièrement instable apparemment. Psymon allait faire attention tout de même à présent dans la limite du raisonnable, il ne faudrait pas que tout cela tourne mal.

Kiméra prit son envol, ne jetant pas un regard en arrière. Rester avec ses renégats allaient lui apporter des ennuis, il n'en voulait pas. Pas plus qu'il n'avait envie de causer du tord à son prochain.
Restant à l'abri des arbres, il se dissimula dans la sombre torpeur de la forêt s'éloignant des bruits de bataille, des cris de terreur, des hurlements de fureur. La chimère s'étonnait encore de la mosaïque d'expression qui pouvait recouvrir le visage humain... lui ne voyait que ceux de haine ou de peur. Mais un jour peut être verrait-il un peu de gratitude dans les yeux d'autrui, peut être même un peu d'amour...

Le silence se fit derrière lui signe de sécurité. Était-ce triste de se sentir à l'abri que quand on était entièrement seul... Oui peut être mais c'est ainsi que vivait Kiméra.
L'ange noir disparut dans le néant de la forêt.


HRP: j'ai mis fin au rp n'ayant pas de nouvelles de toi depuis février. Si jamais tu reviens j'annulerais ce post.