Interrogation Surprise [Pv: Isaac, Geist, Alan, Kwendal, Nao]

Bon, a avait réunit tout ce petit monde. Autant jeter une quinion de pain dans une soupe de Piranha. On aurait dû les interroger un par un, si on avait suivit les normes réglementaires. Mais Garibaldi aimait à faire quand il l'entend: si ceux là s'étaient affrontés, ils s'entre-dénonceraient. Pratique, efficace. Une notion de justice rapide dont on devrait entendre plus souvent parler. Aussi, ça risquait d'être dangereux et musclé. Aussi avait-il fait menotté chacun d'entre eux et avait posté trente homme dans la grande salle de réunion avec les suspects. Après tout, il y avait peut-être un dragon. Enfin, ce n'était pas tout. Un homme qui n'était pas en armure mais plutôt en tissu noir, muni d'un haut-de forme (le tout en noir) et d'une longue tignasse rouge fumait une cigarette dans un coin de la pièce, pieds sur la table lui faisant face.

Tout les hommes étaient en alerte, et on amena ainsi les cinq suspect à intervalle régulier. On avait dû attendre que le dit Alan soit dans un état approprié. Garibaldi et son sous-lieutenant direct étaient les seuls à ne pas être contre les murs parmi les soldats. Le lieutenant, bien qu'en armure, tenait un calepin à la main et se préparait à résumer tout ce qui se disait. Garibaldi n'était pas en armure, lui, histoire de rassurer ses patients:

"Bon aller, racontez moi chacun votre tour ce qui c'est passé... On va commencer dans cet ordre..."

Il pointa successivement Geist, Alan, Kwendal puis Nao.

Quelle poisse, finir menotté pour un interrogatoire par la garde de Criméa... Et en plus sur un sujet dont il n'était nullement coupable, ce qui d'un côté rendrait le verdict facilement discutable à son égard, cependant d'autre part les talents de diplomatie de Geist n'allait pas être à son avantage. Mais dans cette histoire il pourrait très bien se retrouver à trois contre un, qui sait après tout quel parti Nao allait adopter. Soit il optait pour le gros mensonge qui arrange tout le monde, soit il se mettait tout le monde à dos. Mais Geist opta pour la troisième solution, celle qui ne l'arrangerait pas sur le long terme.

"Je suis désolé, mais je ne comprends pas tout. Je sais que la situation n'est pas très clair, mais qu'est-ce qu'on nous reproche exactement ? Personnellement je n'ai rien à me reprocher et me voilà attaché au même titre que le pire des criminels... Qu'est-ce que vous savez de votre côté, et quels sont les chefs d'accusation à notre égard s'il vous plait ?"

Garibaldi soupira. Tout les criminels agissent de la même façon, mais les plus ennuyants sont ceux qui posent des questions durant leur interrogatoire:

"Bon bon bon... Vous êtes tout les quatre menottés pour éviter un possible bain de sang. Comme on ne sait pas encore exactement qui a fait quoi, c'est plus une mesure de sécurité qu'autre chose. Nous savons qu'il y a eu une bataille vous impliquant tous, deux dragons... D'ailleurs nous sommes à la recherche du second puisse que nous vous avions déjà interpellé au moment de ce soucis. Bref. Vous êtes tous suspect, et non accusés, de trahison envers la nation, de meurtre, de destruction environnementale, de trouble de l'ordre publique et pourquoi pas de voie de fait sur un agent. Je le précise d'avance pour ceux qui voudraient mentir. Donc vous allez tous nous raconter votre version des faits pendant que mes gars mènent leur enquête en extérieur. Je vous préviens juste qu'il est très difficile de m'enfler, donc n'essayez même pas."

Il avait été neutre jusqu'au bout, comme à chaque fois. C'était son job.

"Dans ce cas, il serait idiot d'essayer de mentir."

Tout ça sentait vraiment mauvais. Geist n'aimait pas la justice rendu par une autre personne que la sienne, et encore plus s'il n'y était pour rien. À ce qu'il a pu comprendre de l'accusé principal, ce dernier avait agi contre des nobles corrompus. Mais le pouvoir amène au pouvoir, et les puissants réclament toujours justice, même si ce mot résonne mal dans le creux de leur bouche. Après tout peut-être que la noblesse voulait faire de lui un exemple. Mais face au péon le questionnant, c'était surtout de sa propre survie que son sermon dépendrait. Il n'était pas obligé de tout dire après tout, juste l'essentiel et ce qui lui semblait vrai dans les grandes lignes.

"Je m'appelle Geist Rikston, et si vous regardez dans mes affaires personnelles, j'ai un mandat direct de la reine Micaiah de Daien faisant de moi un émissaire des Laguz. Criméa étant conjointement lié à Gallia, ma présence ici n'est pas fortuite, vous en conviendrez..."

Il soupira afin de permettre une pause de réflexion à la suite, et aussi pour confirmer que l'interrogateur connaissait ou pas déjà ce statut spécial.

"J'étais ici pour discuter avec cette demoiselle Nao Lyn, qui vous l'aurez sûrement vu est une Laguz... Mais sans savoir réellement la raison de tout ça, cette histoire a fini avec un affrontement direct entre moi et l'autre homme à mes côtés, et des dragons par la suite qui seule la Déesse savait ce qu'ils faisaient ici et quel était le rapport strict avec notre combat... Enfin tout ce que je peux dire pour ma défense, c'est qu'en essayant de faire le diplomate envers Gallia et une de ses représentantes, j'ai eu une passe d'armes avec un malfaiteur de passage avant que tout ne s'embrouille."

Il termina, et croisa les jambes tout en se grattant le crâne. Puis il finit réellement avec un:

"Par contre même mon statut diplomatique n'a rien à voir avec la présence de dragon en Criméa, la preuve j'ai été griffé dans le dos probablement par un d'eux..."

*Mais comment j'ai fait pour atterrir ici, moi ?*

Alan regardait d'un oeil fatigué la pièce où il se trouvait. Vu la décoration, il était dans une salle d'interrogatoire. Il y avait quelques soldats dont un assez imposant. Il était avec Kwendal, Nao et Geist... bon, au moins il savait pourquoi il était la.

Ils étaient menottés, tous les quatre et Alan n'avait pas ses armes sur lui. Il les voyait dans un coin de la pièce, rangées dans leurs fourreaux. Il ne savait pas s'ils avaient identifié la lame sacrée, auquel cas il était vraiment dans la merde.

Alan se sentait vraiment épuisé. Récupérer des lames tempêtes demandait beaucoup de repos, mais il devait rester réveillé pour l'instant...

<< Bon aller, racontez moi chacun votre tour ce qui c'est passé... On va commencer dans cet ordre... >>

Il pointa successivement Geist, Alan, Kwendal puis Nao.

<< Je suis désolé, mais je ne comprends pas tout. Je sais que la situation n'est pas très clair, mais qu'est-ce qu'on nous reproche exactement ? Personnellement je n'ai rien à me reprocher et me voilà attaché au même titre que le pire des criminels... Qu'est-ce que vous savez de votre côté, et quels sont les chefs d'accusation à notre égard s'il vous plait ? >>

Et voilà que Geist jouait les innocents... n'est ce pas lui qui voulait entrer par effraction chez lui pour kidnapper une Laguz ?

<< Bon bon bon... Vous êtes tout les quatre menottés pour éviter un possible bain de sang. Comme on ne sait pas encore exactement qui a fait quoi, c'est plus une mesure de sécurité qu'autre chose. Nous savons qu'il y a eu une bataille vous impliquant tous, deux dragons... D'ailleurs nous sommes à la recherche du second puisse que nous vous avions déjà interpellé au moment de ce soucis. Bref. Vous êtes tous suspect, et non accusés, de trahison envers la nation, de meurtre, de destruction environnementale, de trouble de l'ordre publique et pourquoi pas de voie de fait sur un agent. Je le précise d'avance pour ceux qui voudraient mentir. Donc vous allez tous nous raconter votre version des faits pendant que mes gars mènent leur enquête en extérieur. Je vous préviens juste qu'il est très difficile de m'enfler, donc n'essayez même pas. >>

Alan avait du mal à suivre ce qu'il venait de dire et recommença lentement dans sa tête.

Ils sont au courant pour la bataille. Là, rien d'anormal. Deux dragons ? L'un d'entre eux était probablement Kwendal, mais l'autre ? Encore en vadrouille, s'il a bien compris.

Il était suspecté de trahison envers la nation (« innocent », se dit-il), meurtre (« ah ? Ya eu des morts ? ») destruction environnementale (« hormis les traces de pas de dragon sur ma propriété, ya pas eu de casse dans mes souvenirs »), trouble de l'ordre public (« bon, un peu coupable mais c'est de la légitime défense ! ») et voie de fait sur un agent (« c'est quoi, ça ? »)

Bon, maintenant écoutons Geist...

<< Je m'appelle Geist Rikston, et si vous regardez dans mes affaires personnelles, j'ai un mandat direct de la reine Micaiah de Daien faisant de moi un émissaire des Laguz. Criméa étant conjointement lié à Gallia, ma présence ici n'est pas fortuite, vous en conviendrez.. >>

Un Beorc au service des Laguz... aussi longtemps qu'ils seront en conflit, c'est tout simplement inconcevable.

<< J'étais ici pour discuter avec cette demoiselle Nao Lyn, qui vous l'aurez sûrement vu est une Laguz... Mais sans savoir réellement la raison de tout ça, cette histoire a fini avec un affrontement direct entre moi et l'autre homme à mes côtés, et des dragons par la suite qui seule la Déesse savait ce qu'ils faisaient ici et quel était le rapport strict avec notre combat... Enfin tout ce que je peux dire pour ma défense, c'est qu'en essayant de faire le diplomate envers Gallia et une de ses représentantes, j'ai eu une passe d'armes avec un malfaiteur de passage avant que tout ne s'embrouille. >>

Malfaiteur de passage ? Il parlait de lui, la ? Qui était de passage ? Quand au « dialogue », il avait plus l'air d'être la pour la rapatrier contre sa volonté qu'autre chose !

<< Par contre même mon statut diplomatique n'a rien à voir avec la présence de dragon en Criméa, la preuve j'ai été griffé dans le dos probablement par un d'eux... >>

Tiens donc ? Alan avait plus ou moins assisté au combat et se souvenait pas d'avoir vu Kwendal griffer Geist...

Bon, tout le monde le regardait. Alan se secoua un peu puis tenta d'avoir l'air le moins fatigué possible.

<< Je suis Alan, mercenaire vagabond et légitime propriétaire de la maison où a eu lieu l'affaire. >>

Alan porta ses mains menottées à sa tête pour se gratter, mais en fait pour faire tomber sa manche et dévoiler le bracelet d'argent orné d'une émeraude, bien en évidence pour que les soldats bien informés, dont le commissaire espérait-il, puisse comprendre quel est son « deuxième travail ».

<< J'ai décidé de prendre quelques vacances pour m'occuper de mon amie Kwendal, ici présente. Ce matin, en revenant de la chasse, j'ai reçu la visite de Nao, qui m'a réclamé à manger. Etant de nature plutôt hospitalière, je lui ai cédé une assiette de cerf. Après quoi, nous avons discuté ensemble, elle, moi et Kwendal qui venait de se réveiller et Geist a frappé à la porte alors que Kwendal et Nao sont allé dans la salle de bain pour des raisons que la politesse m'interdit d'énoncer.

Geist s'est montré fort peu aimable et n'a pas présenté le fameux « décret royal » qui lui donnait le droit d'entrer dans une maison afin de rechercher une femme aux cheveux bleus avec un turban. J'ai eu des soupçons et j'ai donc refusé de le laisser entrer, c'était mon droit. Toutefois, Nao est passé par ma fenêtre afin de clairement faire comprendre à Geist qu'elle refusait de le suivre et est montée sur le toit. Geist n'a toujours pas présenté la preuve qu'il pouvait chercher des noises à Nao et j'ai appliqué une règle stricte sur l'hospitalité : « ceux qui se font héberger sont sous la protection de leur hôte » et j'ai eu quelques soupçons quand il a parlé de nobles car j'ai déjà été mêlés à quelques affaires les concernant comme l'affaire de leur insurrection il y a cinq ans ou encore l'affaire Side. Quoiqu'il en soit, qu'elle soit Laguz ou non, elle s'est montrée sympathique donc je me sentait obligé de l'aider. Geist et moi nous sommes donc battu et il a gagné. Il s’apprêtait à me trancher les tendons de la main pour me priver du maniement de l'épée et... la c'était un peu flou. Je me souviens que Kwendal s'est interposée pour me protéger après quoi, j'ai un trou. Ensuite je me souviens avoir senti un liquide couler dans ma gorge et mes douleurs s'envoler, ça devait être une potion. Après, j'ai senti une lame sur ma gorge et j'ai encore eu un trou. Quand je me suis réveillé, vous étiez auprès de moi, devant ma maison.

C'est tout... >>

Bon, déjà ils ne pourront pas l'accuser de parjure car il n'a pas menti. Il n'a juste pas évoquer les vraies raisons pour laquelle elles ne sont pas allées dans la salle de bains.

Quand à « l'affaire Side », il a envoyé un rapport concernant son ancien maître, donc ils devaient en avoir eu une copie. Les histoires de sauvages devraient leur faire comprendre. Et pour ce qui concerne l'insurrection, elle était de notoriété public car c'était une fin inattendue pour un début de guerre entre Beorcs et Laguz : les Laguz se sont alliés aux Beorcs pour empêcher un coup d'état des sénateurs corrompus qui voulaient prendre le pouvoir avec une armée de sauvages.

Bref, il espérait que ça suffira à les tirer de ce pétrin, lui, Kwendal et, si possible, Nao.

HRP : je signale que « l'insurrection des nobles était un event qui a clos la V3, pour ceux qui n'étaient pas la ^^. Quand à l'affaire Side, c'est plus personnel mais bon.

EDIT : Bon, vu que Kwendal va être absente je ne sais combien de temps (TT__TT), on va dire qu'elle a le même discours que moi, mais de son point de vue ^^

Tout tournait autour d’elle. Elle ne savait plus où elle était, qui elle était.
Tout était mélangé. Des images tourmentaient sa conscience, s’assemblant, se décomposant en mosaïques plus ou moins floues. Des voix passant des aigus aux graves s’entremêlaient.
Peu à peu, elle émergea, épuisée d’être restée si longtemps dans les eaux noires de l’oubli.

Nao battit des paupières, papillonnant, cherchant à habituer ses yeux à la lumière ambiante.
Elle était maintenue debout par deux gardes de chaque côté. Les genoux en coton, elle eut du mal à reprendre son équilibre. La dernière chose dont elle se souvenait était l’odeur du tronc du pin auquel elle s’était adossée. Ici il n’y avait que renfermé et transpiration humaine. Ah non, pulsant à travers ces effluves peu ragoutantes, le doux parfum de Mademoiselle Kwendal adoucissait l’atmosphère.

Voyant qu’elle était à peu près revenue à elle, les deux Beorcs qui la soutenait s’écartèrent et reprirent leur place le long du mur de la petite pièce sombre.
Nao tituba, et perdit l’équilibre. Voulant utiliser ses mains pour amortir sa chute, elle ne put que s’affaler par terre. Des chaines entravaient sa liberté.
Affalée au sol, sous le regard moqueur des soldats, une angoisse sourde lui vrilla le cœur. Des frissons l’agitèrent ; incontrôlés.

Elle était menottée. Elle n’avait plus la libre utilisation de son corps. On la brimait. Quelque chose la contrôlait.
Le stress augmenta, comme sa respiration s’accéléra. Tendue elle ne pouvait qu’écouter les battements de son cœur de plus en plus rapides, sans pouvoir réagir. A un certain moment, sa respiration se bloqua, elle ne pouvait plus amener l’air à ses poumons. Des spasmes, la secouèrent, de plus en plus violents. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, toujours, toujours, plus vite.
La promesse qu’elle avait jurée à son père était caduque. La peur l’oppressait, lui sciait les jambes tandis qu’elle haletait comme un chien blessé.

Un cliquetis se fit entendre. Son bracelet en argent venait de tinter contre le sol. Le signe de son appartenance à la famille Lyn Sha ; la famille de son père, se rappelait à sa mémoire.
Ce symbole réconfortant l’aida à se calmer. Non, son serment n’était pas brisé.
Petit à petit, Nao retrouva ses facultés de penser, elle s’apaisa. De maigres forces lui revinrent, difficilement.
La tête lui tournant encore un peu, elle se releva d’abord sur un bras.
La chaine de ses menottes cliqueta sur les pierres.

Nao eut le souffle coupé. Là, adossée contre un mur se trouvait l’héritage de son père, parmi les vulgaires bouts de ferrailles des autres prisonniers.
Une rage bouillonnante submergea son esprit. Personne n’avait le droit de toucher à ça ! Ils étaient venus prendre cette lame sur son corps, ils le payerai de leur vie.
La fureur qu’elle ressentait annihila tous les effets des crises précédentes. Une énergie incroyable venant d’on ne sait où parcourait son corps.

Personne ne la retiendrait plus prisonnière. Personne ne pouvait plus lui étouffer ses rêves.

Tout d’un coup la lionne bondit sur ses pieds. Elle poussa un rugissement spectaculaire rendant à moitié sourd les personnes présentes dans la pièce. Profitant de la confusion, la lionne envoya ses fers dans la tête du garde le plus proche. Il s’écroula. Avant que son compagnon ai put réagir, Nao tourna sur elle-même. Utilisant la vitesse de rotation, elle asséna un coup au niveau de la tempe. Il y eut un bruit sourd et l’homme tomba lourdement. Libérée de la pression des soldats, Nao sauta jusqu'à son trésor. Elle le fit glisser entre ses avant bras, le maintenant coincé avec les chaines.

Avec un cri de rage, utilisant la vitesse surhumaine que lui octroyait sa compétence, elle se jeta sur l’homme au centre de la pièce.
Lui, le chef, devait payer.

(HRP : J’ai décider de répondre maintenant, vue que je n'ai pas répondue... )

Kwendal regarda Nao, et soudain elle vue Nao se fâcher et regarda se que Nao regardait, un katana. Elle regarda Nao qui se fâchait contre les gardes et voulue réagir lorsqu’on attendit un bruit de pas et soudain la porte ouvrit et on aperçut une chevelure rougeâtre et des yeux verts éclatants regardant tout le monde, il avait un sourire tout gentil et attrapa les armes d’Alan il dit très fortement :

-Këiko!

Soudain le mur se défonça et on attendit un grognement sourd et on aperçut un dragon rouge fixant tout le monde, son souffle n’était pas chaud mais glacial et le garçon attrapa Alan et Kwendal par leurs chaînes et courut rapidement avec eux et alla vers le dragon et rapidement les lâcha et sauta sur le dos de la créature qui avec ses pattes attrapa les deux jeunes gens dont Kwendal était sous le choc. La créature s’envola aussitôt et rapidement en lâchant un rugissement créant la peur aux citoyens… Lorsqu’ils furent assez haut, le garçon descendit sur une pâte et aida Kwendal à aller sur le dragon et redescendu pour monter Alan sur le dragon et lui murmura :

-Je te laisserais plus lui faire du mal… Prochaine fois… Je te tue… Beorc…

Et il remonta Alan en haut, sur le dragon. Kwendal regarda partout puis son regard vint sur le garçon et elle dit :

-Qui êtes…vous?

La personne à la chevelure rouge sourit tendrement et prit les mains de la dragonne :

-Je suis Nämir… Ton ami d’enfance… Tu ne te donc souviens pas…encore…

Une image revint dans sa tête et la dragonne baissa son regard, un souvenir et elle dit :

-Et le dragon…qui est-ce?
-Ton frère…

Le cœur de la dragonne se serra contre elle et demanda :

-Ou allons-nous…?
-A Goldoa…

La dragonne fut surprise, tandis que Nämir arracha les liens des deux personnes, redonnant ses armes à Alan. La dragonne serrant lentement la main d’Alan.

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