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 Raden - Donner une place à l'imagination est plausible [Fini]

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Aleksander de Dressrosa
Aleksander de DressrosaBeorc


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Localisation : Everywhere I can
Groupe : Ordre de Yune

Feuille de personnage
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MessageSujet: Raden - Donner une place à l'imagination est plausible [Fini]   Raden - Donner une place à l'imagination est plausible [Fini] I_icon_minitimeLun 6 Juil - 11:06


Raden

NOM : Nous n'en avons jamais eu. Après tout, nous ne sommes que des gens de basse-castre. A quoi cela servirait dans un océan de sable?
   PRÉNOM : L'on me nomma Raden. Ne me demandez pas pourquoi, je ne saurai vous le dire.
   SURNOM : On m'a toujours dis que je n'étais qu'un rêveur, ou un curieux. Je crois que cela restera ainsi.
   ÂGE : 21 années à connaître le même plafond céleste
   SEXE : Masculin
   RACE : Je ne possède ni d'attributs animales, ni de marque... Je me considère comme un Beorc, alors.
   PEUPLE/CLASSE : Je suis un voleur. A votre service.
   PAYS D'ORIGINE : Begnion, ce noble empire aux milles et unes espaces.
   


   
Me, Myself, I

PSYCHOLOGIE :

Tu as toujours été un rêveur

Tu te découvrais des mondes et des envies inateignables, dont ton imagination les fructifiait pour les faire passer d'utopie à souhait plausible. Tu te complaisais à t'asseoir sur une dune, et à contempler l'horizon en silence, alors que tes frères s'amusèrent à jouer à la guerre et à être le plus grand, le plus fort. Seulement... Quelque chose te déplaisait déjà dans cette méthode barbare d'assouvissement des peuples. Des personnes ne jurant que par cela...Ceux qui embrassent la Mort et le massacre au quotidien. Ceux là vont devenir fou, car tuer un être vivant n'est certainement pas la meilleure voie vers le partage, et c'est ce qui mit à dos les races de ce monde. Tu ne condamnes pas ceux qui se perdent seuls, en raison de la responsabilité qu'ils ont envers eux-mêmes. Cependant, pour ceux entraînant les autres, c'est une autre chose. Si toi tu avais des soldats, tu penses déjà ne pas pouvoir les diriger, et surtout leur faire éviter les combats. Perdre une personne est toujours dure... Perdre un allié fait partie de ta vie, les trahisons le feront certainement plus tard. Là-dessus, tu n'allais pas le cacher. Tu te prépares à endurer cela depuis si longtemps. Tu te sens capable...

De tuer quelqu'un pour ta propre survie. Après tout, ceci est un réflexe totalement humain de passer sa vie par rapport au tien.

Car tu désires explorer ce vaste monde. Tu étais et es un sacripand empli d'une curiosité sans nom. Ce désert immense t'avait caché des choses, et la théocratie encore plus. Ta curiosité se retrouve titillée à chaque fois qu'une chose nouvelle frappe tes sens, et tu ne peux t'empêcher d'en savoir un peu plus, jusqu'à que cela devienne un désir ne pouvant plus être camouflé. Ce monde abrite de bien trop nouvelles choses pour un esprit aussi jeune que le tien. Alors tu te contentas de vagabonder posément, sachant pertinemment que tu allais trouver quelque chose en route pour attirer ton questionnement. Tu penses rester un éternel gamin, et cela n'était que de ton ressort de vouloir murir ou pas.

Concernant cet âme enfantine que tu gardes, tu es néanmoins sur de toi et extrêmement entêté quand on ne te donne pas une raison valable pour oblitérer l'ordre. Ce qui fait que tu préfères profiter librement de ce que tu peux faire, même si cela doit frôler la barre de la légalité, ou carrément la franchir -Et encore, tant que cela ne contrevient pas à ses lois morales-. Car en effet, malgré tout ce remue-ménage provoqué par les querelles et dissensions inutiles, tu penses que chaque être est égal à l'autre. Il y a bien évidemment des mieux lotis que d'autres, tu le conçois. Cependant, vous vivez tous, et vous mourrez tous. Vous êtes tous égaux au début et à la fin, alors pourquoi pas au milieu? C'est avec ce raisonnement enfantin que tu as compris les préceptes en matière de tolérance qu'on t'a enseigné plus jeune. Vous n'êtes que des petits grains de sables... N'est ce pas?

Il y aurait encore d'autres choses à faire découvrir aux personnages qui pourront le raconter... Mais comme tout le monde, il y a des choses que l'on doit cacher, comme ta frayeur irraisonnée pour les Wyrvenes ou alors ta récente allergie au citron. Oui oui, c'est triste pour toi.

   PHYSIQUE :

Les pélerins étaient peu nombreux dans ce petit village en plaine. Et pourtant.

Une silhouette s'avança devant moi. Moi, qui m'amusait sous le soleil brûlant à déraciner ces mauvaises herbes. Cette silhouette, elle désignait clairement une certaien assurance, je pouvais le sentir. Cependant, elle inspira ni l'envie de le suivre, ni l'envie de le fuir. On pourrait croire que de regarder le paysage, avec ou sans cette ombre importerait peu à mes rétines. Cependant, je suivais du regard cette silhouette. Cette démarche preste, elle semblait être à l'aise sous cette chaleur écrasante, alors que de mon côté, je me contentais de m'appliquer à mon travail, ressentissant les morsures du soleil. Et petit à petit...

J'ai pu te voir en détail.

Tu commençais à attirer ma curiosité, du au fait que je n'avais encore jamais vu de personne avec cette couleur de peau. On aurait dit que tes parents avaient versé du caramel sur toi, et que ceci s'est figé en épousant tes formes sous les caresses délicates de l'astre solaire. Malgré ta musculature non tracée que je voyais à cause de cette chemise ouverte, je remarquais bien vite que je n'avais pas du tout d'apprioris contre toi. Oui, tu n'étais qu'un homme banal sous mes yeux, malgré tes différences.

Mon regard s'attarda en direction de ton visage, dont je vis que tu étais encore dans la fleur de l'âge. Je voyais cependant sur ta joue gauche, deux petites... Griffures? Entailles? Que sais-je. Une alla de la pomette jusqu'en bas de la joue, et l'autre, plus petite, se contenta de faire la pomette et une partie de la machoire supérieure et inférieure. Et ce que je croyais être une ombre était en réalité des tatouages. Deux traits de chaque côté épousant tes pomettes. Cela accentua en quelque sorte ce regard d'or me semblant sérieux et travailleur. Après cette description intense de mon regard sur ton être, tu te tournas en ma direction, déplaçant lentement mais surement ta tignasse oscillant entre le blanc et le gris clair. Tu avais l'air agréable à regarder, mais encore une fois, je nominerai pas le Beorc que tu étais avec l'adjectif "charismatique" .

Et quand tu t'avanças vers moi, je l'ai su. Tu n'avais pas un port noble, tu ne te donnait pas vraiment d'air hautain et pompeux. Rien. J'en déduisais que tu n'étais pas de l'aristocratie. Ni un membre du clergé au vu de ta tenue vestimentaire montrant clairement que tu voyageais dans un but autre que de répendre le culte. Tu étais un genre de vagabond pour moi. Alors que tu t'arrêtas pas très loin de moi, tu tournas ta tête endirection d'une plante. Et sans hésitation, tu te saisis à grande vitesse d'une plante, pour l'arracher sous mes yeux. Ce mouvement était vif et rapide. Assez impressionnant quand on n'y était pas préparé. A ce moment là, j'ai vu ton regard pétiller de malice, mais surtout d'une curiosité. De tes mains légèrement entaillées de part et d'autre, tu en étiras un mince sourire, satisfait de ta découverte. Tu te tournas vers moi, sous un petit cliquetis du à... Mais c'était quoi ça? On aurait dit l'avant d'un casque de soldat, mais finement décoré par ce long ruban rouge. Cliquetis qui, d'ailleurs, fut provoqué par deux colliers s'entrechoquant.


Raden - " Excuse moi. J'aimerai savoir où se trouve la personne la plus importante de ce village. "

Son intonation de voix n'était ni aigu, ni grave. Elle transportait surtout la curiosité qu'il arborait déjà. Je pointais en silence une maisonnée. C'était là où vivait notre chef. Le Beorc que tu étais hocha doucement la tête, semblant satisfait de ma réponse. Tu retrousse un peu ton pantalon très ample, un... Sarouel je crois, de couleur blanc cassé, puis tu posas une main sur ma tête. Elle était douce, animée de bonne intention à mon égard, mais ma tignasse put aussi sentir que tes doigts étaient assez fins.

Raden - " Merci mon petit gars. "

Tu te tournas ensuite vers le bâtiment en me faisant un petit salut de la main gauche, avant de t'y avancer.

Quel étrange banalité...
   


   
Who I was

BIOGRAPHIE :

Je vins à ta rencontre.

Il semblerait que tu sois restée pour la journée ici. La taverne était animée ce soir là, vu que tu étais une denrée rare dans nos contrées. Il fut convenu que j'aille aussi, poussée par ma curiosité. Je m'installa donc assise, près du feu. L'ambiance y devait de plus en plus étouffante, en cette soirée. Le vent chaud semblait avoir suivi cet individu. Tu étais assis sur une chaise, sirotant silencieusement un peu d'hydromel. Tu semblais attendre que tout le monde prenne son aise, que les enfants puissent se calmer.


Chef du village - " D'où viens-tu? On n'a jamais vu des personnes comme toi. "

Tu t'arrêtas un instant pour regarder l'homme d'âge bien avancé. Tu glissas ton regard vers moi, puis tu les reposas sur lui

Raden - " Du désert de l'est. Je suis né à cet endroit. "

Je clignai vivement des yeux sous la nouvelle. C'est rare pour nosu de voir un individu de ta trempe ici. Cela expliquerait aussi ta teinte de peau, sans doute. Des enfants trépignaient d'impatience, le bombardant soudainement de questions. Le Beorc que tu étais glissa sa main sur un, comme il me l'avait fait.

Raden, avec un sourire des plus aimable - " Je vais vous raconter une histoire. Est-ce que cela vous tente? "

Les jeunes marmots semblaient extrapoler leur joies via des acclamations et des grands gestes, avant de retourner s'asseoir. Bien, le silence fut. Tu commenças à déballer ton histoire. Les gens de l'assemblée fut surpris, outré, avant de revenir calme à la fin du récit. Tu te contentas de regarder les personnes présentes, et les laisser s'en aller. Toi, tu restas les bras croisés, silencieux. Tu posas ton regard sur moi, avant de soupirer lourdement. Tu déclaras vouloir te reposer pour repartir demain, et c'était ce que tu fis, en te levant et en te dirigeant vers ta chambrée. Je clignais des yeux, encore transportée par les monts d'écriture. Pourtant pas barde, tu as su transplanter les membres de l'audience avec ton histoire. Tu as donné du relief à tes mots. TU as donné le véritable sens à ces mots. Ce n'était pas des balivernes, et je m'en souvenais encore et encore...

En allant chez moi, j'allais me prendre un bain dans cette fameuse bassine, puis je me dirigeas en direction de mon lit, pour s'y écrouler tel une personne agée térassée par les rayons du soleil. Je fis raisonner tes paroles, encore et encore dans ma tête. Voilà ce que tu avais dis.


Raden - Je naquis dans ce grand désert. Là où le seul moyen de survie était la coopération et l'entraide. Là où les vagues et déferlantes du sable entravaient chacuns de nos mouvements. Les endroits pour s'y reposer étaient rare, et jeune, j'ai du déjà aider les mères de famille. Qu'importe leur condition physique. Qu'importe leur condition mental. Je devais toujours être prêt à leur donner la possibilité de faciliter leur travail, sous ce ciel épuré de tous nuages. Peut-être que par chez vous, la pluie est une chose courante, parfois déconvenant et désagréable, mais pour moi, ceci était une bénédiction. Je dirai même que les larmes de la Déesse lumineuse s'écoulèrent du ciel, prise de pitié pour nous.

Dans ma famille, nous étions cinq enfants, dont deux filles et trois garçons. Je fus d'ailleur le troisième à être né des entrailles de ma mère. J'avais une grande soeur et un grand soeur, puis une petite soeur et un petit frère. Les années passèrent et je passais de chouchoutté à un être devant presque ses responsabilités. Mon petit frère et ma petite soeur se devait d'être aussi sous ma protection, alors je les emmenais sous ma botte, en leur décriant qu'ils devaient bien me suivre. Je m'amusais à inventer des histoires pour eux, leur montrer le ciel épuré, surplombé par les petites lucioles accrochées à la voûte céleste. J'appréciais énormément ce paysage, je ne pouvais nullement le nier.

Cependant, il fallut que ma petite soeur se fasse mordre par un serpent, et là ce fut le début de la dégringolade. Quand je suis revenue avec l'enfant dans les bras, le campement fut paniqué, agité. Je ne voulais qu'aller chercher de l'eau à l'oasis le plus proche. Je me contentais de rester à côté, silencieux. Je me mordillais lentement l'index gauche en la regardant agoniser, impuissant. On n'avait plus de contrepoison actuellement. Cela allait mal, très mal... Et j'en portais toute la responsabilité. Je n'y pouvais rien, pourtant. J'étais au petit soin avec elle, en continuant à lui raconter des histoires, atténuant la douleur avec des herbes. Mais au final... On ne pourra pas nous aider.

Cependant, alors que j'allais encore une fois humidifier son front, j'entendis des bruits au loin. Me tournant en direction d'en dehors de la tente, je m'y précipitai pour pouvoir regarder dehors. Et je vis des Laguz... Une petite troupe de Laguz. Je penchais lentement la tête en les détaillant du regard. Oreilles pointues. C'est ce que mon père m'appris. Ce poison faisant cependant son effet encore et encore, rongeant peu à peu son être. J'en pouvais plus. Plus du tout. Alors je détalai rapidement de la tente pour aller les voir. Mon père exprima le plus grand des respects à l'individu devant lui. Un contrepoison. Donnez en lui. Hurlais-je de ma voix enfantine. Je le regardais dans les yeux... Ce qu'il fit en nous donnant ceci, à contre coeur. Nous nous inclinons vers eux, prenant le sachet pour me précipiter vers elle. Je m'asseyais en lui administrant ces plantes. Je ne pouvais croire avant de le voir.

Mais deux-trois jours après, nous nous retrouvons avec une soeur en bon état, et un peu plus de personnes nous accompagnant. En effet, les Laguz du désert nous rejoignit dans notre quête de vivre dans ces terres arides, s'y plaire et s'y complaire. Je grandis donc avec les deux races de ce monde, côte à côte. Vous savez... Ne penser uniquement à la survie d'uen colonie, ça peut rassembler des personnes. Je fus proche d'ailleurs d'une Laguz, qui voulait savoir ce qu'il y avait au-delà de cet océan de sable. Et... Elle a fini par me transmettre cet idée.

Explorer, savoir ce qu'il y avait au delà de l'horizon, et bien plus encore. Savoir ce que l'on ne pourrait savoir. Se contenter de ce que l'on a alors que l'on pouvait savoir plus... Ignominie. Alors dès que j'ai pu avoir uen certaine indépendance, je pris la dague que l'on m'a offert, puis ma besace. On a attendu d'être au niveau de la frontière entre le sable et la terre pour pouvoir se faire des adieux. Je ne saurai comment remercier ces êtres dès à présent. Ils m'ont enseigné tellement de choses. Je me mis donc à explorer ce continent depuis moins de trois saisons. Et vu votre tête bloqué à cette histoire... Dites moi.

Si les êtres conscient étaient des grains de sable, pourriez vous vous démarquer dans un océan de dune?

J'en frissonnais encore. Je savais que, dans mon lit, tu n'avais pas vraiment tout dit. Je sentais qu'il y avait plus, que tu te contentas juste de raconter l'histoire comme tu voulais. De totue façon, chaque Beorc peut conserver ses secrets, non?

En fermant les yeux, ta dernière phrase raisonna encore dans ma tête. C'était étrange come tournure de phrase, mais... Je pense que les grains sont bien trop nombreux pour pouvoir les différencier. Si tu veux explorer et découvrir, fais le... Mais fais attention à toi. Tout le monde n'a pas le même point que toi. Tu l'as vu à la tête des nombreux villageois d'ici. Ton message d'équité sera engloutit dans ton propre sable.....

Car ce sable ci est bien plus putride que le sable que tu tends.
   


   
Derrière le Masque

PSEUDO : Arkhadem, ou Zedakiel
   COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Deux zigotos se reconnaitront
   QUELQUE CHOSE À CORRIGER ? Hum... Je pense que la couleur du fond bride pas mal le choix des couleurs de la police. Après, ce n'est qu'un avis.
   EXPÉRIENCE DU ROLE-PLAY : Hum... 6-7 ans je pense
   TU AS DÉJÀ JOUÉ À FIRE EMBLEM ? SI OUI, LEQUEL/LESQUELS ? Hahaha... Non, jamais joué.
   
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Callie
CallieBeorc


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MessageSujet: Re: Raden - Donner une place à l'imagination est plausible [Fini]   Raden - Donner une place à l'imagination est plausible [Fini] I_icon_minitimeMar 7 Juil - 0:23

Bonjour et bienvenue sur Fire Emblem : Dawn of Destiny ! Smile

Commençons rapidement : J'aime beaucoup ta plume ! Elle est fluide, légère, c'est très agréable de te lire ! Puis tu adoptes un style que j'aime tout particulièrement, le "tu", et ça.. C'est génial. *-*

Anyway, quelques petits points m'ont chagrinée ! Déjà, tu fais quelques petites fautes par-ci par-là, mais je pense que c'est l'inattention. Pense à te relire, la prochaine fois ! :b

Autrement, dans la description physique notamment, tu fais de grandes confusions avec la concordance des temps ; on décrit avec l'imparfait, le passé simple sert à déterminer une action qui a eu lieu et qui est terminée, donc pour décrire, hum, pas trop. x) Tu fais aussi pas mal de fails avec le "Je"/"Tu", chose qui pourrait être évitée facilement en te relisant !

Sinon, j'ai beaucoup aimé ta façon de présenter ton histoire, avec un narrateur externe, tout ça, c'est plutôt original. Et puis, un perso qui ne veut pas la guerre... Ouais, c'est cool aussi ! \o/ Et puis tu as été plutôt clair et concis dans toutes les rubriques, donc même si c'est "court", on ne rate rien de l'essentiel. J'espère que tu seras pas trop dépaysé malgré tout !

Je te valide donc avec la note de 14,5/20 (+), ce qui te vaut un niveau 15 !

Bon jeu parmi nous! ♪
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