Nom : Amenion
Prénom : Luukha
Rang : Archer Élégant
Âge* : 20 ans
Sexe* : Masculin
Race* : Beorc
Peuple/Classe* : Archer
Pays d'origine* : Daein, Nevassa




Ce que je peux dire sur ma personnalité? Par où commencer? Je suis une personne très créative et j’adore tout ce qui est beau à mes yeux. J’emploi cette créativité dans mon style de combat mais également dans l’écriture, car j’adore écrire également. Aussi, je suis capable de m’amuser fortement lorsqu’il est temps. Je suis cependant très sérieux lorsque je suis en présence d’inconnu ou de personnes de rangs élevés.

J’adore repousser mes capacités et, selon moi, le simple fait de toucher une cible n’est pas excitant. Il me faut toujours élever la difficulté d’un cran. Cette obsession me porte souvent à être dure envers moi-même. Je ne suis jamais réellement satisfait de mes combats, même si j’en sors vainqueur.

Ensuite, je puis dire de moi que je suis très craintif face au Laguz. Sans vouloir tous les tuer jusqu’au dernier, je ne les porte pas dans mon cœur, tout comme mon oncle, qui est revenu de la guerre inapte. Cette crainte me pousse parfois à critiqué les gestes de notre dirigeante, Micaiah, mais comme je suis fidèle à mon peuple, je préfère la suivre que de me révolter.

De plus, j’aimerais souligner que je ne fais rien de gratuit. Si quelqu’un veut mon aide, il devra payer de quelque façon que ce soit, sinon, il n’est pas question que je me dérange pour lui.

Aussi, je déteste lorsqu’on me coupe la parole. Lorsqu’on me manque ainsi de respect, je me renfrogne et je quitte, tout simplement. La politesse est importante et je n’accepte guère que quelqu’un l’outre-passe.

Finalement, je fais attention à mon corps. Malgré que je me démène pour atteindre l’excellence dans mon style de combat, je déteste voir mes pieds entravés et les blessures sont pour moi très graves. Je suis aussi un peu claustrophobe, je déteste lorsque mes déplacements sont restreints par un espace diminué.




Tout d’abord, je mesure 1 mètre 80 et mon poids se situe dans les 130 livres. Mes cheveux sont bruns et, malgré qu’ils soient plutôt longs -ils arrivent à mon cou- ils sont assez raides et lisses. J’ai les yeux bruns et un nez droit. Ma bouche est petite et mes lèvres mince. Mes traits lisses et mon corps svelte me procure un certain air sérieux. Aussi, mon regard observateur peu également compromettre mon tempérament pourtant doux. Mes bras et mes jambes sont plutôt musclés et mes pectoraux sont en développement.

Pour ce qui est de ma tenue, je porte principalement du cuir et des tissus. En fait, je porte la plupart du temps un vêtement léger, en soie blanc brodé de fils d’or s’entrelaçant, qui recouvre le haut et le bas de mon corps. Je place mon plastron de cuir sur mon torse et le boutonne au niveau de mon cou. Ce plastron détient également deux épaulières en cuir blanc brodé de tissus vert. Je mets des gants en cuir gris qui recouvrent mes mains, des jointures à mes coudes, mes doigts sont donc bien libre pour me permettre de manier habillement mon arc.

De plus, mes jambes sont protégées par des jambières en cuir blanc, encore une fois brodé de tissu vert. Ces jambières ne sont pas totalement collées à mon corps, me permettant de bouger sans entrave. Ceci dit, on dirait une sorte de jupe descendant jusqu’à mes genoux, sur mes pantalon de soie. Mes bottes sont en cuir gris et me recouvre les jambes jusqu’aux genoux. Ce cuir souple n’entrave pas non plus mes mouvements et me permet de sentir toutes les sinuosités et les reliefs du terrain.

Par-dessus le tout, j’aime porter un morceau de tissus vert sur lequel des fils d’or brodées dessinent un phœnix. Je porte ce tissu sur mon épaule gauche et recouvre entièrement mon corps au niveau de ma taille. Une petite ceinture de tissus mauve la tient bien en place.

L’arc sur mon dos est fait de bois. Une bande de cuir y a été ajouté pour faciliter le contrôle de l’arme. Mon carquois est fait de cuir gris et de fer.

Je me tiens toujours bien droit et mes déplacements sont souvent rapides. Mes bras balancent, cependant, me donnant tout de même un petit air décontracté. Mes mouvements sont gracieux et doux. Je ne brusque jamais rien et on n’entend aucun bruit lorsque je dépose quelque chose sur une table ou une étagère.

Lorsque je suis en combat, mes mouvements sont aussi fluides, précis et rapides. L’agilité est primordiale et mes quelques mouvements de danse me permettent parfois d’esquiver des coups mortels.

MES PARENTS

Mon père s’appelait Fredrick. Il est né à Daein et vécu dans un monde autoritaire. Son père, lui-même sous-officier de l’armée d’Ashnard, ne lui avait pas facilité la vie et l’avait très tôt habitué aux coups. Ainsi, mon paternel m’éleva strictement, me battant quand il le jugeait nécessaire et ne me parlant jamais autrement. En fait, je ne me rappelle plus lui avoir entendu dire deux mots à table. Bon, j’étais jeune lorsqu’il est mort, mais même dans mes plus vieux souvenirs, mon père reste cet homme muet au visage balafré. Je me demande parfois ce qu’il pouvait bien penser lorsqu’il me regardait? Étais-je le fils qu’il désirait? Étais-je digne de lui? Je ne me plains pas de mon sort, mais je suis simplement curieux de savoir ce qu’il pensait réellement de moi. Fredrick est mort lorsque j’avais 6 ou 7 ans. Il participait alors à la grande guerre qui opposait l’armée de son père à celle de l’alliance Laguz-Beorc. À ce que j’ai cru entendre, ce serait une légende vivante, d’un nom qui m’échappe aujourd’hui, qui l’aurait tué. Si c’est vrai, mon père n’était alors qu’un imbécile, car, bien que très bon au maniement de l’épée, il n’avait aucune chance de battre une « légende au cheveu bleu », comme on dit.

D’autre part, ma mère, Isabelle, était également stricte. Issus elle aussi d’une famille de militaires et étant fille unique, elle apprit très tôt à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Ceci dit, ma mère avait un grand esprit créatif. Elle adorait le chant et la danse et c’est ainsi qu’elle se démarqua sur les champs de bataille. Elle hypnotisait ses ennemis de ses danses mystérieuses pour ensuite les tuer d’un coup de couteau en plein cœur. Je ne sais pas si cette histoire est véridique, mais j’aime imaginer ma mère, sa longue chevelure d’ébène au vent, assassiné sans pitié un homme après avoir joué de lui. Isabelle a mis un terme à sa courte carrière militaire après ma naissance. Je l’ai connu douce et attachante, quoique sérieuse. Je n’ai jamais compris pourquoi elle s’était mariée avec mon père. À l’époque, elle avait probablement tous les hommes à ses pieds. Était-ce pour la gloire et l’argent? Si c’était le cas, la déception avait certainement emplie son être lors du décès de son mari car personne ne se souviens de lui à présent.

MON ENFANCE

Je suis née à Nevassa et n’ai que très peu de souvenir de mon enfance. Les premières années de mon existence ne sont marquées par aucun évènement significatif. Je vivais avec ma mère et mon père. Je me souviens d’une soirée avec ma mère, j’avais peut-être 5 ou 6 ans tout au plus.


Mon père n’était pas présent car, si je me souviens bien, il y avait une réunion à la caserne militaire pour une stratégie quelconque. La soirée était déjà bien avancée et ma mère et moi avions terminé notre repas. Je me rappelle qu’Isabelle portait les cheveux très long, jusqu’à ses fesses. Sa silhouette était fine et ses formes belles. Ses yeux noirs en amandes lui donnaient un air innocent. À chaque instant, je la trouvais belle. Qu’elle cultive son jardin, qu’elle cuisine, qu’elle tisse, tous ses gestes étaient effectués avec grâce et franchise. Rien de superflu, rien de lâche. Toujours cette créativité qui transpirait en elle. Pourquoi s’était-elle donc mariée avec mon père? Je lui demanderai peut-être un jour, mais je doute qu’elle me révèle quoique ce soit. C’était son secret.

Dans mon souvenir, je suis au lit, une chandelle au chevet. Ma mère est assise à mes côté et me parle.

« -Tu vois Luukha, lorsque j’étais jeune, j’adorais chanter. Comme mes parents n’étaient pas très créatifs, je me suis mise à écrire des chansons. J’aimais et j’aime encore énormément les mots. Ils ont des pouvoirs exceptionnels.

-C’est vrai?

-Tout à fait! Une personne qui sait bien utiliser les mots peut très aisément contrôler le monde! Les mots font bien plus mal que les armes, mon petit, souviens-t’ en!

-Mais on ne peut pas tuer avec des mots, maman!

-Non, tu as raison, mais qui contrôle ce pays?

-Et bien, c'est Ashnard, maman!

-Oui... Ashnard est un très puissant roi. Mais crois-tu qu’il détiendrait ce statut s’il n’avait usée de son intelligence et des mots pour mettre tous ces guerriers sous son autorité?

-Tu a raison maman, Ashnard est très intelligent! »

Je voyais dans son regard une lueur qui m’était inconnu. Elle essayait de caché quelque chose, je le sentais, dans ce regard qu’elle voulait rassurant. Maintenant que j’y repense, c’était peut-être une sorte de désespoir vis-à-vis notre gouvernement. Une peur indescriptible qui m’échappait complètement à l’époque et qui, je le crois, m’échappe encore aujourd’hui.

« - Maman, récite-moi un poème que tu a écrit!

-Mmm… Attend que j’y pense… Ah! Voilà!

Dans ton souffle

Tu emportes

Et escorte

Dans le gouffre

Les rêves

Et les espoirs

Des êtres

Sans histoire »

Sa douce voix m’emportait ailleurs. J’étais soudain sous une lune pleine, près d’un lac argenté. La brise me berçait de sa chaleur nocturne. Je m’endormis profondément avec cette voix qui me faisait promettre de ne jamais perdre espoir et de garder mes rêves intact, pour avoir une chance d’entré dans l’histoire.

Ces paroles seront ancrées dans ma mémoire à jamais. J’y reviens à chaque fois que je touche ma cible avec une flèche. Il y dans ces paroles une sorte de mystère, un secret qui ne peut être révélé que d’une seule manière. Peut-être comprendrais-je un peu plus ces rimes lorsque j’aurai plus d’expérience.

MON ÉDUCATION

Après la mort de mon père, son frère me prit à sa charge. J’allai habiter chez lui pour le temps de mon entraînement et de mon instruction. Il m’enseigna différent style de combat et je me découvris une grande affinité pour le tir à l’arc. La flexibilité et la force que je devais utiliser pour manier cette arme m’impressionnèrent dès le tout début. Aujourd’hui encore, j’adore mettre au défi ma force et mon agilité en maniant un arc. Ainsi, mon oncle m’enseigna tout ce qu’il pouvait. Ce fut également lui qui introduisit la haine des Laguz dans mon esprit. Je ne me rappelle pas qu’il m’est dit quoi que ce soit de très méchant contre eux, mais je sentais qu’il ne les portait dans son cœur, et cette atmosphère m’a rendu craintif à leur égard.
Lorsque j’avais un peu de temps pour moi, j’allais voir ma mère. Elle vivait seule et s’était remise à danser pour lui permettre de gagner un peu d’argent. Son mari lui avait certes laissé de quoi vivre modestement, mais elle désirait profiter de sa liberté récente pour se remettre à sa passion de toujours. C’est aussi en la voyant danser que le mouvement est devenue pour moi une obsession. En fait, la danse ne me disait rien en tant que tel, mais les variations que le corps effectuait semblaient si souples et si flexibles qu’ils me rappelaient étrangement les mouvements de l’arc. Je sentais que la danse me permettrait de me rapprocher de mon arme, d’entré finalement symbiose avec elle.

Ainsi, vers l’âge de 13 ans, j’avais déjà acquis plusieurs connaissances en ce qui concernait le tir à l’arc et je débutais à insérer dans mes exercices des pas de danse. Je fléchissais mes jambes en bandant la corde, je sautais, la flèche dans la main et je tirais en effectuant une arabesque. Cela me prit bien du temps avant d’atteindre la cible que je m’étais fixé en effectuant ces mouvements mais j’aimais ce défi et, loin de me décourager, chaque échec me semblait excitant. Chaque tir manqués m’en apprenait plus sur mes capacités et j’essayais sans cesse de me surpassé afin que le prochain soit le bon.

LA TROISIÈME GUERRE

Cependant, une autre guerre m’empêcha de poursuivre mon entrainement auprès de mon oncle. En effet, la guerre opposant Begnion à Gallia impliqua également Daein. Mon oncle fut dans l’obligation de prendre part à cette guerre. Il semblait heureux car pour lui « les Laguz ne sont que des sous-hommes, des moins que rien ». Il aurait enfin la chance d’en exterminés quelques-uns.

Je retournai donc vivre chez ma mère, qui se fit un plaisir de m’accueillir. Elle m’avait manqué pendant toutes ces années et j’étais tout excité de lui montrer ce que j’avais appris lors de mon éducation. Elle semblait fière de moi, ma mère. Les quelques années que nous avons passées ensemble avant que j’entre dans la milice ont été extraordinaire. Elle m’a beaucoup appris sur la danse et elle m’aida dans mes routines.

AUJOURD'HUI

Mon oncle revenu chez lui inapte, mon instruction n’a pas vraiment eu de suite. Cependant, je n’ai cessé de m’exercer, encore et encore. Désormais, j’ai 20 ans et je fais partie de la garde de la cité. Comme celle-ci est construite en montagne, il nous est plus facile de la gardé contre les envahisseurs.

Par chance, rien de majeur ne s’est produit depuis la dernière guerre, tout est assez calme. Cette tranquillité ne me dérange pas vraiment, je profite de mes temps libre pour m’exercer. Je suis bien plus agile et plus précis qu’il y a 7 ans et je n’arrête guère de me créer de nouveaux défis.





Comment avez-vous connu le forum ? :
Mon ami Shandress m’en a parlé. Comme ça faisait un moment que nous n’avions pas RP ensemble, je me suis dit : pourquoi pas? Je ne suis pas un fin connaisseur en ce qui concerne FE, mais la lecture que j’ai fait de votre résumé et certaines explications que mon fournis ma chère amie m’ont beaucoup aidé et je crois être en mesure de progresser dans cette univers.

Expérience du Role-Play:
J’ai commencé le Role-Play à l’âge de 11 ou 12 ans. J’en ai maintenant 18 (bon 17, mais j’aurai 18 dans quelques jours). J’ai "role-player" énormément pendant les premières années mais maintenant, c’est plus calme. Avec les cours et les travaux, je n’ai plus vraiment le temps. Maintenant que j’ai un peu plus de temps à y consacré, je souhaite vraiment pouvoir m’amuser

Langue: 1.5/2.5

Donc toi tu as des pictoraux?

Voilà, j'avais envie de commencer la fiche par ça. Bienvenu sur Dawn of Destiny, où une bande de fous t'attendent dans les moindres recoins de Tellius pour partir à l'aventure en ta compagnie!

Tu fais quelques fautes d'accord, mais rien de grâve.

Style: 2/2.5

Malgré quelques répétitions, tu écris très bien. Il est très dur d'avoir un style à la première personne donnant un bon rendu. Et pourtant tu le fais. Je ne lis pas souvent des fiches de nouveaux qui me donnent envie, mais toi tu as réussi là où tant ont échoués.
Je dirais que tes quelques erreurs sont dû à de inattention, mais ton style est propre et agréable!

Caractère: 2.5/2.5

Peut-être un peu cours pour une description subjective. Mais on dirait que ton personnage ne s’embarrasse pas des détails alors qu'importe. On le visualise bien tout de même.

Physique: 2/2.5

Pas assez détaillé à mon goût, bien que tu injecte dans la description tout les prémisses d'une... Description. N'hésite pas à détailler sans hésiter, cela rend les choses plus vivantes. Même si on croirait que cet acte rend le RP plus lourd, il ne le rend que plus ancré dans un monde aussi riche et sombre qu'est celui de DoD.

Histoire: 6/8

Un peu cours, et la séparation par chapitre brise un peu le rythme. Sans doute nécessaire vis-à-vis des ellipses, on retrouve tout de même ce qu'il faut pour faire un bon BG. Notamment les références à l'histoire du jeu qui donne outre mesure une appréciation sans mesure de l'évolution de ton personnage. Reliant donc le caractère à l'histoire, ce qui est le bon point que je ne vois que trop rarement.

Originalité: 2/2

Trop peu de gens sont comme toi et ont des ressentiments envers les Laguzs alors que c'est une base presque fondamentale de l'histoire.

Note Finale: 16/20

Bienvenu sur DoD! Tu peux faire ta fiche technique et commencer le RP! Tu pourra de même faire une réévaluation dans un mois, j'ai hâte de voir ton évolution!