o Description du Personnage :

¤ Caractère

Il a perdu le gout de vivre, la seule chose qui lui permet de rester en vie est la haine. La haine envers les beorcs, des êtres matérialistes et barbares. Il vit au jour le jour, se souciant juste de sa faim. Il a envie de justice, d’un jugement. Un jugement envers les beorcs, tous les beorcs, enfants et adultes, hommes et femmes. Il veut se venger mais, il faut que cette vengeance ne soit pas trop rapide ! Lente et douloureuse comme l’a été sa vie.
Dans la vie courante il n’aime rien. Il voit la mocheté, le mal, l’ennuie, la tristesse partout. En contact de beorcs « innocents », Jack essaie de ne montrer aucun dégout, rester calme et le plus dure, contenir sa haine. Mais si par malheur, une seule personne de cette race lui adresse la parole alors qu’il ne lui a rien demandé, il serait très probable qu’il s’énerve et pas qu’un peu.
A par cela, il passe sa vie à errer. Où aller ? Que faire dans ce monde pourri jusqu’au cou ? Trouver un But ? Mais à quoi bon… Tous ses beorcs prétentieux, tous ses crimes…Ils doivent mourir. Tous. Il serait alors lui-même considérer comme criminelle, non il ne peut pas se considérer comme telle. Il rend juste la monnaie de ce qu’ils lui ont fait.
Peut-il trouver une personne de confiance ? Un laguz surement. Un beorc ? Certainement pas.

¤Physique

Sombre, noir et dépourvu de bonheur. Voici comment décrire Jack. Son physique reflète son caractère distant et méfiant mais, aussi agressif comme un corbeau peut l’être. Il a des cheveux noirs avec des reflets violets mi-long, une mèche de droite à gauche épouse son front et puis, derrière ses cheveux continue jusqu'à son cou. Il a un visage fin, anguleux et très prononcé. Il porte un bandeau qui cache son œil gauche du qu’elle découle des cicatrices, 3 précisément. Une qui se rend jusqu’à la lèvre et deux prêt de l’œil assez courte. Sur l’autre œil qui celui-ci n’est pas caché, on peut voir la couleur de sa pupille, rouge… un rouge sang remplit d’envies, des envies de vengeance, de désolation et de détermination. Il est aussi percé à plusieurs endroits sur le visage, trois sur l’arcane de l’oreille droite, un sur l’oreille gauche et pour finir deux au niveau de la bouche, juste en dessous.

Il est habillé avec une veste noire avec une bande blanche le long de chaque manche s’arrêtant à la ceinture, assez fine mais, juste assez épaisse pour le réchauffer. Puis avec sa veste il porte principalement un pantalon noir, long qui finit avec plein de plies au niveau de ses chaussures de marche grises.
En laguz, Raven est un corbeau. Un corbeau aux plumes noires. Il garde toujours ses pupilles rouges mais, contrairement aux autres laguzs Jack est plus petit que les autres lorsqu’il est transformé et il n’a jamais su pourquoi il était comme ça.

--¤ Passé ¤--

I Like the other Child.

-Faut pas qu’ils nous voient !

-Chut ! Chut ! Chuchotait Jack à ses amis laguz.

Ils voulaient rentrer dans la cuisine, ils avaient faim ! Lui et ses amis de l’orphelinat essayaient en vain d’ouvrir la porte avec une épingle, ils n’y arrivaient pas ! Chacun leurs tours, ils s’essayaient, réessayaient. Crac ! Cassée en deux, l’épingle avait été cassée en deux. Alors que Jack se soutenait de crier envers son camarade, le cri de rage de celui-ci fit venir la gardienne à toute vitesse. Elle était arrivée d’une telle vitesse et si discrètement que ça en devenait une source d’admiration, une si belle laguz chat blanc orné de poils dorés. Mais cette sensation d’admiration aller vite disparaître et s’apprêter à être changer pour un sentiment de colère, d’injustice. Oui, elle les avait punis.
Puni de dessert pour le diner, du flan au caramel lui passer sous le nez. Après avoir fini, il se coucha comme tous les autres jours. Puis, le lendemain il allait étudier encore, apprendre à haïr les beorcs…
Les années continuèrent ainsi longtemps, parfois avec des emmerdes et parfois sans. La vie dans l’orphelinat était calme, on leur apprenait parfois comment se défendre mais c’était rare qu’un laguz expérimenté se rendait à l’orphelinat. Lors de ses années, il se fit beaucoup d’amis et particulièrement avec un certain Erick, un loup aux yeux bleus et à la robe bleu marine. Ils ont fait tous deux de nombreuses conneries dans l’orphelinat et les liens se sont renforcés naturellement, le coup de l’épingle pour rentrer dans la cuisine c’était son idée, faire disparaitre toutes craies de chaque classes c’était son idée aussi.
Puis à l’âge de 17 ans, tous deux quittèrent l’Orphelinat. Ils avaient choisi leurs destins. Jack décida de s’entrainer à l’art du corps à corps et d’utiliser des armes beorcs même s’il avait appris à détester cette race, il savait que des armes contre eux avait été crée, chacune ayant un avantage contre une autre arme mai aussi un inconvénient. Erick avait choisi d’utiliser sa force de laguz au profit de la nation. Tout deux ne savaient pas qu’un jour ou l’autre ils allaient être réunis.

II Friend & War

Une guerre. Une guerre entre les beorcs et les Laguzs ça devait arriver. Il fallait qu’il défende sa patrie, les femmes, les enfants, ils ne doivent pas mourir. Non ! Pas de leurs mains en tout cas. Les laguzs étaient déjà prêt pour la guerre. Pratiquement tous les laguzs étaient de la région s’étaient rejoints afin d’aider leur peuple. Il devait lui aussi aider les gens qu’ils l’ont éduqué et nourri.
La guerre… qu’était-ce vraiment ? Il en savait que stricte rien, les seules choses qu’il savait à propos de ça, il les avait appris d’un manuel. Un manuel n’est rien par rapport à un vécu. Il suivait les autres laguzs qui partaient en guerre, et vit une robe qu’il avait déjà vue quelque part. Ce bleu, ce bleu marin. Erick ! Il avançait et poussait doucement les laguzs vers le coté afin de se rendre mais rien n’y faisait, il était beaucoup trop loin. Ils étaient arrivés au champ de bataille, Jack était placé assez loin pour ne pas être le premier blessé. Il se transforma alors en corbeau et regardait tout le monde, il ne voulait pas tuer, non ce n’était pas son genre. Il regardait. C’était même peut-être pire, regardait ses frères mourir, souffrir, agoniser sur le sol. Il attendait qu’un beorc arrive par le coté pour s’en occuper. La partie aérienne était remplie d’oiseaux qui fonçaient au combat, il n’y avait que Jack qui tournait en rond en vérifiant le champ de bataille.

NOOOOOOOOOOOOON ! Erick.

Il s’était pris une volée de flèches de plein fouet sur son visage. Jack fonçait vers lui, il planait diagonalement de toute vitesse vers lui, il fallait le soigner avant qu’il ne meurt ! S’il continuait avec cette vitesse il pouvait le sauver mais, une douleur. Une douleur atroce, insoutenable s’était logée dans son aile gauche, une flèche de balise l’avait transpercé. Il ne pouvait plus se contrôler, il n’avait pas l’entrainement nécessaire pour la guerre. Il tombait comme une merde dans le camp ennemi et s’écrasa comme telle. Lors de sa chute, son aspect de corbeau laissa sa place pour son aspect humain. Il avait encore les yeux à moitié ouverts avec difficultés, il essayait de se relever mais aucun de ses muscles ne voulaient répondre, Aucun. Si, il pouvait encore entendre mais, tous ce qu’il entendait ne présager rien de bons.

Beorcs : Qu’est-ce qu’on fait de lui ? On l’emmène dans l’avant-Poste et lui soutire des informations ? O….k All…..y

Il n’entendait plus, plus rien... Ses paupières étaient de plus en plus lourdes, il se sentait trainer. Le gravier lui frottait le dos, déchirait ses vêtements et… et…

Il entend, il peut bouger mais ça bloque… Il est enchainé. Il peut ouvrir les yeux, difficilement mais il y arrive. Des beorcs, autour de lui que des beorcs. Dans la merde. Il y était et il le su dès qu’il avait ouvert les yeux. Il allait pour les refermer, mais une douleur soudaine lui tiraillait le ventre. Le soldat lui avait donnait un coup de poing bien au milieu du ventre, Jack ouvrait sa bouche rien ne sortait seulement un cri étouffé. Il avait ouvert grand les yeux, choqué. Les soldats semblaient sourire, ils avaient dégotté un Laguz tout frais. La blessure sur son bras était entouré d’un bandage. On l’avait guéri mais qui ? Ces beorcs ? Non pas eux, ce n’était pas possible. Les beorcs cherchaient quelque chose de lui sinon ils ne l’auront pas laissé en vie.

Beorc : Que sais-tu de la stratégie des Laguzs ?

Le beorc qui avait parlé croyait vraiment qu’il allait répondre. Imbécile. Il regardait en face le soldat, le visage de marbre, déterminé à ne pas répondre, jamais. Et cela avait pour conséquence d’énerver le soldat, qui ne se laissa pas prier pour foutre un pain dans la tronche du laguz faisant osciller la chaise et cracher du sang. Jack se retenait de crier, il ne voulait pas donner leurs donner se plaisir. Et aller ! Un autre pain, le deuxième gratuit. Il cracha de plus belle du sang, des filaments de sang sortait de sa bouche et allaient se poser sur ses vêtements. De marbre, il restait aussi froid et silencieux qu’un morceau de marbre. Le beorc qui l’interrogeait se baissait afin de voir son visage et prît la parole.

Beorc : Tu es décidé à me répondre ?

Bien sur que non, imbécile. Il lui cracha à la gueule pour lui faire comprendre que sa réponse était négative. Plein sur son œil, il était sali par du sang de laguz. Il était énervé, oui énervé, c’était le mot exact. Le soldat furieux se relevait et avec sa manche balaya le sang de son œil. Il s’approchait beaucoup du laguz, il était à bout portant. Il sortait son couteau. Jack essayait de se sauver mais rien y faisait les chaines étaient bien trop serrées. Il pointait son couteau vers sa lèvre et l’approchait lentement mais surement jusqu’à arriver à toucher sa lèvre du haut. Puis d’une simple pression, la lèvre se perça et le couteau continuait son chemin pour arriver juste en dessous de son œil gauche. Et avec une pression plus forte, il enfonça le bout du couteau sous l’œil et il sortit l’œil grâce au couteau.
Déjà qu’il souffrait atrocement lors du trajet du couteau mais à la perte de son œil. La douleur était insupportable, insoutenable, ça brulait au contacte de l’air. Il criait. Un cri de souffrance intense et strident comme un exutoire à sa douleur mais ça ne marchait pas, il souffrait toujours autant. Il voyait moins bien, toute une partie était devenue sombre.

Le soldat écrasait l’œil tandis qu’une prêtre beorc interpellée par le cri de Jack s’était rendu dans la tente. Elle semblait ne pas pouvoir tenir à cet acte de barbarie et par principe ne devait pas laisser jack dans cet état. Jack n’entendait plus rien la douleur était telle forte qu’elle brouillait ses autres sens. Les soldats semblaient partir alors que la jeune femme se pressa de soigner le laguz mais c’était un soin très primitif, elle n’avait surement pas le droit de soigner ennemie. Elle n’utilisait aucun sort, elle avait juste empêché l’effusion de sang avec un bout de tissu sur l’œil séré par un tissu plus long et plus fin. Pour finir, elle le détacha … Une beorc, une ennemie le détachait. Libre. Finie la torture, il faut fuir. Il regarda une dernière fois la personne qui l’avait sauvé et se sauva. Il avait faim et devait se nourrir, il n’avait même plus assez de puissance pour se transformer. Il décida de se rendre de passer par les extrémités du champ de bataille le plus loin possible afin que personne ne le voit.

III Like A Raven.

Il devait fuir. Il faisait nuit. Les soldats allaient bientôt revenir et remarquer l’absence du laguz. Il avait faim, il souffrait. Les plaies autour de l’œil saignées encore. La plupart des soldats dormaient et d’autres gardaient le territoire. Il y avait une forêt tout près. Il s’y enfonça sans se faire remarquer. Il devait se rendre de l’autre coté, à l’opposé, là où se trouve sa patrie. Plus il avançait plus l’odeur de cadavre se faisait sentir. Plus il avançait plus son corps se fatiguait, plus la faim augmentait, plus ses yeux se refermaient lourdement. Là-bas un cadavre, seul, personne autour. Une flèche l’avait transpercé. Il avait faim, son ventre grondait. Il devait manger et la seule chose qu’il vit et qui était « comestible » était un cadavre. Il s’approcha de lui, lui arracha la tête pour le « déshumaniser » et pouvoir le manger comme un simple bout de viande cru. Il s’attaquait aux muscles, il arrachait la peau du cadavre avec ses dents. Il était barbouillé de sang. Il mangea tout les muscles du cadavre encore chaud. Il n’y avait plus rien de comestible. Il laissait derrière lui un corps ouvert, qui n’allait pas tarder à pourrir mais, le plus important c’est qu’il avait récupéré. Il pouvait se retransformer, il le sentait même si les forces qu’ils avaient gagnés étaient moindre il avait surement assez de force pour se rendre de l’autre coté. Il marchait et d’un coup, il sauta et se transforma dans un nuage noir, fin et particulièrement court. Il volait, il sentait le vent lui fouettait doucement le visage. LA-BAS ! Des laguzs ! Enfin ! Mais qu’elle est cette sensation ? Cette sensation de lourdeur, de fatigue ? Il avait déjà utilisé toutes ses réserves. Allez encore un peu et il était arrivé… ALLEZ ! Il se retransforma sous sa forme humaine pendant qu’il était en l’air, il avait pris la précaution de se rapprocher du sol car il avait eu le pressentiment qu’il ne pourrait pas continuer. Il s’écrasa une fois de plus au sol en compagnie de ses frères.

Dans un lit avec une couette et un oreiller ! Il touchait son visage et remarqua qu’il avait un bandeau, le malheureux tissu qu’il lui servait de pansement était parti, volatilisé. Il se leva et remarqua que du pain et des garnitures étaient placés sur une table, son ventre gargouillait à la vue de cette nourriture. Il se rua dessus et avala en moins d’une minute tous ce qu’il y avait à manger. Il sortit de la pièce, l’Orphelinat. Il avait été accueilli là où il a passé son enfance. Il prit alors un bout de papier et un crayon. Il écrivait un message de remerciement en y faisant comprendre qu’il ne voulait pas revenir sur ses pas et s’excusait de son attitude. Il sortit rapidement de l’établissement et là. Le doute. Qu’est-ce qu’il allait faire maintenant du haut de ses 20 ans ? Se venger ? Non, c’est con de faire ça. Il n’y aurait aucun bénéfice. Continuer la Guerre ? A quoi bon, il ne servirait à rien avec ce qu’il a. S’entrainer, s’instruire ? C’est les seules choses qu’il pouvait encore faire. Chaque jour, il s’entrainait, mangeait, s’entrainait et ainsi de suite. Il apprit à utiliser un arc, une épée les autres armes beorcs le dépassaient. La guerre était finie maintenant. 7 ans. Ca fait sept ans qu’il s’entrainait sans but particulier. Il avait atteint une dextérité et une endurance incroyable. Et maintenant qu’allait t-il faire ? La guerre était finie, il pouvait errer tel un corbeau. Trouver un sens à sa vie, un but. Il devait se forger des armes rien qu’a lui. Il n’y avait pas de forgeron à Kilvas du moins pas de sa connaissance. Il avait économisé depuis sept ans, accumulant les petits travaux . Il y avait un forgeron pas très loin, pas très réputé mais d’après ce qu’il en avait entendu, il faisait du bon boulot. Il se rendit à l’endroit qu’on lui avait indiqué. De la fumée, une petite maison. Surement ici. Il rentra et salua en un mouvement de tête le beorc. Il avait l’air inoffensif, il était peut-être même au courant de la guerre vu le coin isolé.

-Prenez, c’est tous ce que j’ai. Je veux un arc et une épée. Est-il possible que vous utilisez du métal noir pour les armes ? Ah, et pouvez vous juste gravez Raven sur les deux armes.

Il voulait à tout pris graver Raven sur son arme. Afin de se rappeler de la souffrance que les beorcs lui ont fait et de cette période de guerre où il avait été obligé de mangé un cadavre. Le forgeron acquiesça tout était possible, Jack était soulagé. Il revint une semaine plus tard, elles étaient faites. Le métal noir brillait, il était élégant et obscure. Lorsqu’on courbait se métal on pouvait voir distinctement les lettres RAVEN gravées. Il étai enfin prêt à faire face à la vie, à son nouveau départ. Il sortit de la forge et avançait, sans but précis suivant le chemin déjà foulé.

♦ Langue 1/2.5

Se relire, c'est bien. Corriger avec word, c'est bien. Mais des fois, tu mets des mots qui n'ont rien à foutre là.
Essaye d'utiliser le même temps dans ton texte, car de l'imparfait suivit de présent dans la même phrase, ça rend quasiment illisible. Revoit ta concordance des temps.

Après un mais, pas la peine de mettre une virgule.

C'est un peu mieux qu'avant, mais entraine toi sérieusement avec les temps et la composition des mots dans la phrase. Tu maîtrise mal le langage soutenu, alors ne l'utilise pas.

♦ Style 1.5/2.5

Le style... Que dire, tu utilise toujours cette mocheté de mélange narratif/familier qui rend ton texte immonde par endroit. Je note que dans la description physique tu as réussi à faire un ensemble qui au niveau du style est régulier, plaisant à lire et intéressant. Suit cette voie ci, elle te va beaucoup mieux.

♦ Caractère 1.5/2.5

On voit bien ce que le personnage ressent, mais puisse que ce n'est pas indiqué directement qu'il voue sa vie à la haine des beorcs, je trouve ça vraiment dommage que cela se limite à une description de ce qu'il pense d'eux.

♦ Physique 2.5/2.5

Impeccable, magique, génial. On comprend parfaitement le physique du personnage, c'est bien écrit. Je te félicite sur ce point.

♦ Passé 6/8

Dieu quelle progression! L'histoire est vraiment intéressante pour ce que tu as pu faire avant. On voit bien l'évolution du personnage, pourquoi il en est arrivé là. Le premier chapitre et le second pêchent un peu sur le manque de description cependant, je les est trouvé un peu trop court. Mais le rythme augmentant plus on avance dans l'histoire, cela donne un effet de style bien réussi.

♦ Originalité 2/2

Un corbeau? On en as tellement peu. J'aime bien l'idée de se battre avec les armes des beorcs pour les utiliser contre eux. Ça donne un côté guerrier à un personnage que l'on penserait utiliser sa force de laguz.

=> Note Finale: 15/20

Yosh, à toi de jouer pour creuser ce personnage et lui donner encore plus de personnalité que ce que tu lui a donné maintenant! Aux vues de son BG, tu montres bien qu'il y a une évolution, alors à toi de nous la montrer!