❝ Invité ❞
| Sujet: Saria, la fille de poison [NC-16] Mar 30 Nov - 22:28 | |
| o Informations générales :
Nom : Raylegh Prénom : Saria Surnom : dans le milieu de l'assassinat on la nomme la fille de poison Âge : 19 ans Sexe : féminin Race* : beorc Peuple/Classe* : Danseuse Pays d'origine : Begnion
o Description du Personnage :
Caractère :
"Tu sais... je n'ai jamais rompue avec personne et personne n'a jamais rompu avec moi..." "Je suis le premier avec qui tu as une telle relation?" "Non, les trois autres sont morts..." "Les trois au..."
Il n'avait même pas prononcé ces mots que déjà elle l'embrassait comme pour lui intimer de se taire, il pu sentire son souffle chaud et chaleureux. Elle se redressa ensuite en lui souriant.
"Les trois autres sont mort, j'ai décidé de les tuer. En général quand je trouve un homme ou une femme qui me plais vraiment, je lui jure d'être à ses côtés jusqu'à sa mort puis, quand j'en ai marre... je le tue. Je ne tue pas par plaisir, au contraire. Mais voies tu... quand on me trahis et bien... Je déteste ça! ceux qui me font ça, j'ai envie de les faires souffrir, je les fait souffrir. Je leur offre une petite mort une dernière fois puis ensuite, je leur offre la mort, la vraie. Avant ça isl découvrent des plaisirs particulièrement exotiques. Puis tu sais, tuer ne me dérange pas, torturer non plus au contraire. Je trouve ça particulièrement excitant quand un homme hurle de plaisir et de souffrance en même temps... Oh si tu savais comme je prend mon pied dans ce genre de moment chéri, rien ne me fais plus plaisir que les cris de l'être aimé... J'aime quand je suis toute mouillée de son sang..."
Elle se pencha sur lui et lui mordilla l'oreille avant de serrer les dents bien plus fort, lui arrachant un cri de couleur puis lui susuraura à l'oreille d'une voix enfiévrée.
"Oui, je suis une garce, une garce avide d'argent, de sexe, de drogue, d'alcool et de mort, c'est comme ça que je vis et c'est comme ça que j'aime vivre. La vie me semblerait tellement plus ennuyeuse sans ça, comme si juste des doigts pouvaient entièrement combler de plaisir, comme si l'ivresse ne faisait pas tourner la tête, comme si la drogue ne détruisait pas mon corps, comme si l'argent n'ouvrait pas toutes les portes, comme si la mort n'était pas la chose la plus excitante au monde quand tu la mêle au sexe. Vas-y, débat toi, tente de résister même si tu ne peux rien faire, résiste le plus longtemps à la douleur, tes cris ne seront que tellement plus enivrants. Après tout tu ne peux pas dire que j'ai été mauvaise avec toi tout ce temps, je n'ai touchée à aucun homme... bon pour ce qui est des filles c'est différent mais... pas un seul homme à part toi... Si tu savais comme j'aurais aimée qu'on couche avec ta sœur, elle est tellement douée... Mais tu es comme les autres, tu clame haut et fort que tu n'as aucun tabous mais... avec ta sœur jamais! Tu sais, c'est ça qui m'a déçue... A une époque moi et ma jumelle on a pris un pied formidable... Mais ça! Ca! Ca! Ca ça m'énerve! Ce mensonge! Je déteste que tu me mente! Je t'ai déjà mentie? Jamais! Alors pourquoi tu m'as dit que tu n'avais aucun tabous! Mais rassure toi, je ne pourrais me passer de toi une dernière fois, tu est devenu ma drogue et je vais me sevrer jusqu'à ce que tu meurs..."
Physique :
"...Mais rassures toi, je ne pourrais me passer de toi une dernière fois, tu est devenu ma drogue et je vais me sevrer jusqu'à ce que tu meurs..."
Elle oscilla au dessus de l'homme dans des mouvement serpentiques et hypnotiques, son corps fin et dansant s'agitant au dessus de l'homme qui ne pouvait bouger. Puis elle entama un lent va et viens sur la verge de son jouet. On aurait dis qu'elle dansait tandis que son corps nu était entré dans une transe et qu'elle lâchait des gémissement étouffés de plaisir. Bien qu'il ne puisse bouger, l'homme qui avait été réduit au statut de jouet pouvait admirer une dernière fois son corps magnifique. Il pouvait voir les tatouages qui apparaissaient et disparaissaient en fonction de sa position, de son exposition à la lumière sur son corps d'apparence si frêle et au teint de pêche. Il pouvait sentir la douceur de ses cuisses glissant sur les siennes. Ses sein plus qu'aguicheurs le dominaient, il pouvait apercevoir leur extrémité dressé tandis qu'elle glissait une main sur le torse de l'homme immobilisé. Il sentait encore son parfum capiteux, chargé d'effluves suaves, presque aphrodisiaques. Un sourire se dessina sur son visage si fin lorsqu'elle se rendit compte qu'il la fixait. Elle se pencha sur lui, son regard mauve luisant d'excitation et d'ivresse... une excitation malsaine, l'excitation d'une sadique à moitié folle. Ses longs cheveux violets qu'il trouvait si assortis à ses yeux lui semblaient à présent trop bien assortit au reste. Il sentait le corps trembler d'excitation plus que jamais et tandis qu'elle lui mordillait la lèvre avec douceur pour ensuite le faire assez violemment pour lui arracher un morceau, elle fouillait sous un oreiller et en sortit un stylet en argent. Le regard de la jeune fille s'enflamma tandis qu'il sentait ses mouvement devenir de plus en plus violents. Puis elle planta la fine lame dans son torse, lui arrachant un cri de douleur. Avec une dextérité hallucinante elle commença à faire glisser le stylet, tranchant la chair et entaillant les nerfs, lui arrachant des hurlements de douleurs. Au bout de quelques minutes elle s'arrêta, pleine de sang. Ironiquement, elle avait si bien travaillée qu'il était encore vivant et parfaitement conscient. Elle se figea l'espace de quelques instants, son regard alors vide puis se redressa toujours d'une ondulation gracieuse, le mépris pointant dans son regard à présent. Elle lui accorda un soupir dédaigneux puis mis ensuite une chemise de nuit des plus osées, d'un blanc immaculé qui immédiatement fut souillé par le sang.
"Je crois que ta sœur va adorer ce que je t'ai fait... Et... Mort aux traitres"
o Histoire o
-Désolé Taria… Enfin désolé… Merci plutôt…
Un sourire avide se dessina sur le visage de la jeune fille d’à peine quatorze ans…
La famille Raylegh… Une famille de tueurs professionnels, toujours agissant dans l’ombre d’une manière ou d‘une autre, explorant le monde occulte, le monde de la guerre. Des assassins certes, mais tous d’une manière ou d’une autre, une dague entre les côtes n’est qu’une des multiples manières de tuer. Cette famille prend ses racines dans le pays de Begnion, un pays de foi. Noble famille certes mais petite noblesse. Cette famille a toujours été liée au Black Fang, le dirigeant de la famille possédant toujours une place importante au sein de cet organisme. Mais depuis quelques années les Rayleghs commencèrent à obtenir de plus en plus d’influence, jusqu’à ce que le Black Fang vole en éclat. A ce moment la, cette famille si impliquée dans l’organisation décida de reconstruire ce qui avait été brisé, débutant une purge pour le renouveau. Nous ne suivons pas le parcours de celle qui pris alors la tête du Black Fang mais nous suivrons sa fille, intrigante de talent aux règles morales très abstraites. Tout commença il y a à présent dix-neuf ans, deux petite jumelles naquirent au sein de celle connu sous le nom de Lilith dans l’organisation. Ces deux jumelles étaient prévues à un sombre destin, elle étaient destiné à vivre entre l’ombre et la lumière, leur statut de noble leur offrant des privilèges qui rapidement se transformeraient en devoir pour le Fang. Car les deux jeunes filles étaient liées à l’organisation qui avait pour vocation d’éliminer tout noble nuisible. Elle furent éduquées dans l’art de la mort, tuer devenant une seconde nature pour elles. Homme ou femme elles apprirent à les manipuler. Leur art était la mort, leur méthode de travail la manipulation. Rapidement les deux jeunes filles reçurent outre cette éducation de meurtre, une éducation de noble. Elle apprirent l’art, la musique, la danse. Une des deux sœurs, Taria se révéla d’un talent surprenant pour la musique tandis que sa jumelle Saria, fit preuve d’un art de la danse auquel aucun homme n’était capable de résister. Les deux jumelles, se ressemblaient physiquement à tel point que lorsque les deux dormaient il était impossible de les différencier. Cependant si leurs corps étaient similaires, il n’en était pas de même pour leur esprit. Taria était une jeune fille timide, mal à l’aise avec le beau monde, qui n’aimait pas tuer, incapable de faire le moindre écart. Saria elle était tout le contraire, elle n’hésitait pas à essayer tout ce qu’elle pouvait, elle était joueuse et habile en société tout comme elle ne faisait preuve d’aucun scrupule, d’aucune pitié. Si Saria se baignait dans ce bain de stupre et de luxure et servait à merveille les intérêts du Black Fang, Taria elle avait de plus en plus de mal à supporter un monde aussi violent, souillé, même si toutes ses actions étaient au nom de la justice. De jours en jours elle devenait de plus en plus menaçante, plus dangereuse. En effet plus le temps passait plus la jeune musicienne menaçait de trahir stupidement l’organisation. Il fallait en finir, et ce fut Saria qui dû s’en occuper. Pour Saria tuer et torturer sa jumelle fut dur… pendant quelques secondes. Elle découvrit un plaisir incompréhensible ensuite, celui de la volupté mêlé à la mort. Plus encore, cette fois là, elle eu l’impression de se violer elle-même. Elle venait d’avoir quatorzes ans
Suite à cela, elle s’enfonça de plus en plus dans le vice, devenant avide d’alcool, de drogue, d’argent de sexe et de sang. Elle prenait plaisir à tuer bien que veillant toujours à ne jamais tuer de personne qu’elle ne devait pas. Elle devenait redoutable d’efficacité, son talent pour séduire et danser étant son arme le plus redoutable. Nombre d’homme mais aussi nombre de femmes tombèrent sous les coups de la jeune fille car, comme elle l’avait découvert, une fois à moitié dénudé, tout le monde se retrouvait particulièrement faible, vulnérable. De plus son souffle avait la particularité que quand elle le désirait elle pouvait provoquer une paralysie plus ou moins puissante en fonction de la longueur d’un baisé, c’était une capacité qu’elle appris à maîtriser aisément, qu’elle chercha à développer. La jeune femme se glissait tel un serpent, insaisissable, ondulent entre ses proie et les frappant toujours mortellement. Jamais elle ne fut soupçonnée, jamais personne ne soupçonna qu’une si frêle jeune fille puisse être aussi mortelle. Dans certains cas elle bénéficia même d’une protection rapproché de la part des autorité (incompétentes) qui pensaient qu’elle aussi aurait pu être prise pour cible. Saria eu trois idylles, dont une avec un femme, toutes se terminèrent de la même manière, dans un bain violence, de sang et de dépravation. La dernière personne qu’elle élimina était l’homme qu’elle venait d’épouser, elle avait alors dix-neuf ans. Nul ne cru qu’elle puisse être responsable de la boucherie qui fut découverte si ce n’est la sœur de l’homme, témoin et complice du meurtre. Alors sa mère vint la voir quelques jours plus tad. Elle félicita sa fille pour ses prouesses et sa fidélité à l’organisation malgré ses déviances. Selon sa mère il était temps qu’elle ai une place plus importante dans le Black Fang. Il lui fut indiqué quelques jours plus tard qu’à présent elle était une des quatres élites de l’organisation. Dans ce monde de débauche et de mort, ce monde dans lequel elle se plaisait tant, elle avait gardé un jouet, la petite sœur de son ancien mari, une petite créature tellement délicieuse…
Comment avezvous connu le forum? Mon frère à réussi à me faire aller dessus.
Expérience du roleplay: il y a trois ans j'ai été sur un forum vampire/lycans
Dernière édition par Saria le Lun 6 Déc - 23:16, édité 1 fois |
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❝ Alan ❞
Messages : 1309 Age : 33 Localisation : En quête de mon passé Autre Indication : Amnésique Groupe : Peuple des saumons sauvages des torrents Criméens
Feuille de personnage Niveau: (28/60) Points d\'Expérience: (4/100)
| Sujet: Re: Saria, la fille de poison [NC-16] Mer 1 Déc - 18:11 | |
| ♦ Langue 1.5/2.5
Ya pas mal de fautes dans les descriptions et quasi aucune dans le passé.
il pu sentire « il put sentir »
voies tu « vois-tu »
es faires souffrir « les faire souffrir »
isl découvrent « ils découvrent »
lui susuraura « lui susurra »
des mouvement des mouvements
Il y a également eu des oublis de « s » dans les verbe à la deuxième personne du singulier
Bref, j'ai juste donné des exemples, le reste est du même goût.
♦ Style 2/2.5
j'ai envie de les faires souffrir, je les fait souffrir
Je leur offre une petite mort une dernière fois puis ensuite, je leur offre la mort, la vraie
T'es bien la soeur de Kratos : on retrouve des répétitions chez les deux cas ^^
Pour le reste... t'as pas mis les narrations du passé en italique et sinon tout baigne.
♦ Caractère 2.5/2.5
Félicitations, je te décernes le prix du personnage le plus... j'arrive pas trouvé les mots mais le pire que j'ai jamais vu en tout cas... après Kratos.
♦ Physique 2.5/2.5
… t'as réussi à réveiller mon côté pervers tiens, je voyais parfaitement bien la scène xD ^^'
♦ Passé 7/8
Eh bien on tient notre quatrième Fang à ce que je vois. Et ça colle parfaitement bien à ce que j'en sais (je sens la conversation téléphonique avec ton frangin pour avoir tous les détails, tiens. Bref, c'est complet et sans anicroche, mais c'est pas parfait non plus, on a plus la sensation d'un « rapport sur le sujet » qu'une biographie vivante où on a l'impression d'être le personnage, c'est dommage.
♦ Originalité 1/2
Bon, t'es pas la première nympho * regarde Naeliel * ni la première meurtrière mais tu combines très bien les deux genres ^^.
NOTE FINALE : 16.5 => 17/20
Bon, le blabla habituel : bienvenue sur le forum, fais ta fiche technique et tu pourras rp, tu peux faire une rééval dans un mois, etc. ^^
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