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 Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior

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Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior Empty
MessageSujet: Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior   Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior I_icon_minitimeDim 26 Sep - 7:50

Informations générales:

Nom: Garibaldi.
Prénom: Isaac.
Âge: 27 ans.
Race: Beorc.
Classe: Chevalier.
Pays d'origine: Criméa.


Description du Personnage:

Caractère:

Garibaldi est indéniablement humain. C'est un homme d'expérience. Le genre d'homme qui sait quand mentir. Le genre d'homme qui sait quand être honnête. Voir même le genre d'homme qui frappe quand il faut. Même si à son goût, il le faudrait sans doute plus souvent.
De part son éducation militaire, héritage familiale de profession, Graibaldi a connu une ascension fulgurante au sein de l'armée. Bien que malgré cela, il n'a jamais quitté sa ville natale. Actuellement Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior, il est un homme juste qui se bat pour défendre ses valeurs. Il n'en est pas pourtant un patriote. Maintes fois, il s'est dressé contre les hautes-sphères et en est, pour le malheur de ses supérieurs, ressortit grandit. A chaque fois.

Dans son travail, Garibaldi est autoritaire et impartial. La loi est son seul et unique supérieur tant que cette dernière suit la morale. Il inspire le respect autant à ses hommes qu'aux citoyens, inspirant les premiers et assurant la sécurité de ces derniers. Toutefois, il ne se refuse jamais à utiliser la force si cela est nécessaire. La diplomatie passe un temps, mais pas deux. Malgré cela, il n'est pas fou. Mais tacticien. Étant à la tête de centaines d'hommes, il sait aisément comment remporter une bataille en étant bien organisé. Le hasard ne rentre pas dans ses cordes et c'est cette qualité qui lui a permis de se faire un nom craint de toute personne potentiellement répréhensible par la loi.

Cependant, dans sa vie intime, Garibaldi agit avec bien moins de zèle. Il vit dans une petite propriété de la capitale avec sa femme et sa fille, qu'il aime profondément. Ce sont d'ailleurs les deux seules personnes qui motivent ses actes dans son dur labeur quotidien. Quand il est auprès d'elles, il est calme, attentionné et semble toujours heureux. Sa famille est ce à quoi il tient le plus, et ne supporte pas que l'on vienne l'importuner quand il est avec elle. Bien qu'au final, si il ne travail pas, sa famille ne sera plus en sécurité dans cette si grande ville.

Évidemment, le Commissaire-Divisionnaire est comme tout le monde. Il aime aller prendre un coup à la taverne avant de rentrer chez lui et apprécie le tabac jusqu'à la déraison. D'ailleurs, sa blague à tabac est la seule chose qui ne quitte jamais sa poche. Si ce n'est sa plaque d'officier.



Physique:

Garibaldi est un homme marqué par le temps malgré son jeune âge. Ses traits sont durs et son corps endurci par des années de travail acharné.
Mesurant presque deux mètres pour environ cent-vingt kilos, cet homme est clairement qualifié d'"imposant". Son corps semble être sculpté dans l'acier lui même. Chaque muscle de son corps est visible quand il est nu et est capable de bouger indépendamment des autres (ce qui peut être surprenant, je vous l'accorde).
Son visage se commence par une épaisse tignasse noir toujours en bataille, même après avoir passé des heures sous un casque. Ses yeux sont d'un bleu perçant et ont tendance à faire couler les larmes de ceux qui les fixent trop longtemps. Sa mâchoire carré supportant des lèvres de taille moyenne surplombés d'un nez totalement banal donne un aspect glacial au personnage. Il est vrai qu'il n'est pas exceptionnellement beau. Mais il se dégage de lui un charisme absurde. Un charisme dû au pouvoir de l'autorité.

Quand il est en fonction, le Commissaire-Divisionnaire se déplace toujours équipé de son armure. Cependant, cette dernière n'est pas à l'effigie des armures officielles de la garde de Mélior. La sienne est plus ancienne, un héritage de famille qui est transmis de père en fils depuis des générations. Il s'agit d'une énorme armure de plaques complètes d'une couleur rouge-sang. Elle recouvre entièrement son porteur et est munie d'articulations à tous les niveaux en nécessitant. La plupart des morceaux de métal ont été forgés dans du fer pur, pour la simple et bonne raison que selon plusieurs mythes les créatures légendaires les plus dangereuses seraient allergiques à ce type d'alliage. L'armure entière est parcourue de longs symboles cabalistiques provenant de l'ancienne langue qui (bien que Garibaldi ne les comprennent pas) représente un poème inhérent au peuple qui utilisait cette langue. L'objet est revêtu par en dessous d'une côte de maille tout à fait banale, mais qui évite tout de même aux flèches de trop la pénétrer.
L'armure ne possède aucune autre fantaisie particulière si ce n'est un casque de couleur équivalente et présentant les mêmes symboles. Ce dernier possède une visière amovible et est quasiment carré, possédant de petites ailes de dragon au niveau de chaque oreille.
Garibaldi prend plaisir à attacher à son armure une longue et soyeuse cape noir qui lui descend jusqu'aux pieds. Selon lui, elle contraste bien avec les cinq galons d'or sur son armure.

Mais l'habit de fonction ne fait pas tout. Vis-à-vis de son statut, le Commissaire-Divisionaire fait toujours en sorte d'être bien habillé. Il ne porte pas de vêtements excessivement chic, car son salaire ne le lui permet pas. Mais il se plait à aborder un pantalon noir de haute-couture, une chemise blanche de même provenance et une veste noir allant de paire avec le reste. Pour le reste, il n'y a que ses bottes. Voyageant dans les rues de Mélior depuis sa tendre enfance, il aime avoir une semelle fine. Ceci lui permet de reconnaître les rues de la capitale sans même avoir à regarder autour de lui. Ainsi, il conserve les mêmes chaussures noir depuis maintenant presque cinq ans. Après tout, la semelle tiendra encore bien un ou deux ans.



Histoire:

Il faisait un peu chaud, dans cette taverne, se disait Meleirn Zorich. L'attente devenait interminable. Il était vrai qu'il attendait dans cette taverne bondée depuis maintenant bientôt une heure. Dix-neuf heures était passé depuis peu, et son invité était en retard. De plus, le tenancier commençait à le regarder d'un air mauvais du au fait qu'il ne consommait pas. L'idée de rencontrer le Commissaire-Divisionnaire lui déplaisait un peu mais cela ferait une bonne première page. Il savait que l'homme en question était occupé, et qu'avec lui certains sujets étaient sensibles. Il allait falloir faire attention aux questions à poser. Un peu inquiet, Zorich passa en revu longuement le nombre de personnes en train de consommer dans la taverne. Une vingtaine de personnes. Rien ne paraissait trop dangereux mais il n'aimait pas ce genre d'endroit. C'était aussi convivial que potentiellement mortel, surtout si on tirait la mauvaise carte au mauvais jeu. Mais d'un coup, son malaise fut dissipé par l'entrée dans la grande pièce d'un homme habillé comme un citoyen lambda, bien que beaucoup plus grand et musclé. C'était la première fois qu'il le voyait sans armure et sans casque, chose assez perturbante puisse qu'au final il semblait toujours aussi effrayant. Le fait rassurant était le bruit ambiant, qui n'avait pas subi de crescendo depuis son arrivée. Zorich prit sa volonté à une main et leva celle qui lui restait pour faire signe au Commissaire-Divisionnaire:

"Hep, Monsieur le Commissaire! Hep!"

Le regard froid et ennuyé du dit Garibaldi se tourna machinalement vers le journaliste. Il soupira lentement à la vue du jeune gringalet prostré sur sa chaise. La paperasse installée devant Zorich indiquait clairement au Commissaire-Divisionnaire que l'individu était nerveux et avait réorganisé ses notes plusieurs fois avant le début de cet "interview". Les différentes feuilles était méticuleusement bien empilés les une sur les autres sans aucun débordement, chose pour laquelle il faut plusieurs essaient et du temps à perdre. Il vînt s'installer sur la chaise faisant face au reporter et ne daigna même pas la main. Il se contenta juste de s'incliner brièvement et d'ajouter:

"Pour vous ça sera Monsieur Garibaldi, vous n'êtes ni un de mes hommes, ni un de mes supérieurs."

Le journaliste sentit un frisson le parcourir tellement le ton de l'homme qui lui faisait face était glaciale. Il pris ses papiers et les ajusta encore une fois:

"Hum, oui... Je suis Meileirn Zorich, et je voudrais rédiger un papier sur vous.
-Vous m'avez déjà fait parvenir cela par lettre, et c'est pour cela que je suis venu.
-Euh... Oui, très bien Monsieur Garibaldi. Nous allons commencer alors?
-En effet, nous allons commencer par commander quelque chose. Patron, une bière!
-Tout de suite!
-Euh...
-Vous ne prendrez rien?
-Non merci... Enfin, pas pour le moment."

Zorich chercha dans son cerveau pendant quelques secondes sa première question. Il commençait déjà à perdre le fil alors que l'interview n'avait même pas débuté, ce qui était plutôt mauvais. Cependant, son esprit de journaliste reprit le dessus bien vite sans toutefois réussir à le faire se détendre:


"Vous êtes donc Monsieur Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior. Quel âge avec vous?
-Vingt-Sept ans.
-Très bien, et... Où êtes vous né?
-Ici, à Mélior.
-Des rumeurs disent que vous n'avez jamais quitté la ville, est-ce vrai?"

Il fallait poser les questions vites. Voilà quel était le secret de la profession. Si le questionné n'avait pas le temps de réfléchir il était plus enclin à dire la vérité. Si il prenait son temps pour répondre, c'était que la vérité qu'il allait prononcer pouvait être modifié. L'ennui pour Zorich, c'était les réponses rendus à la seconde prête par Garibaldi:

"C'est vrai.
-Vous avez pourtant fait la guerre, non?
-Effectivement, mais n'étant pas aussi gradé à l'époque, j'étais en charge de la protection de la ville.
-Ah... Euh... Parlez moi de vos parents?
-Mes "adorables" parents vivent aussi ici, à Mélior. Mon père est Maréchal dans l'armée et ma mère est une simple couturière. Ils ne se voient jamais depuis qu'ils se connaissent, mais cela ne m'empêche pas d'être là."

Au moins, il était bavard. Zorich reprenait confiance:

"Votre père est à l'origine de votre métier, non?
-Oui et non. Il m'a enseigné l'art du combat, de la stratégie et toute l'éducation militaire et sociale s'y accompagnant. Il était dur avec moi et ne me laissait pas deux chances. Ma mère elle était bien plus douce et remplissait le côté "amour" pour deux. Enfin, je dois avoir prit des deux côtés pour ces choses là. Évidemment, mon père voulait que je rentre dans l'armé. Mais souhaitant avoir une famille et voyant qu'il n'était jamais là, j'ai suivis mon propre chemin.
-Comment êtes vous entré dans la garde, alors?
-J'ai mené la vie d'un citoyen normal jusqu'à quinze ans si on met de côté mon entrainement. Mes prédisposition m'ont conduit dans la garde à cet âge ou j'ai commencé en tant que simple garde.
-Qu'est ce qui a fait que vous êtes monté en grade si vite? Vous êtes maintenant au plus haut poste de la fonction après seulement douze ans!
-Eh bien, j'ai fais comme tous les gens qui veulent mériter leur salaire sans remords. J'ai usé de volonté, de rigueur et de passion pour mon travail, merci, dit-il en récupérant la chope apporté par la tavernier, j'ai fais mon boulot. Voilà tout.
-Vous voulez dire que les autres gardes travaillaient mal?
-Non, même si à l'époque le commandement était tenu par un incapable. Mais il y a une différence entre ceux qui veulent de quoi se payer du pain et ceux qui sont prés à risquer leurs vies. Je fais partie de la deuxième catégorie. En outre je ne supporte pas les truands qui gagne dix fois mon salaire mensuel en un jour sans exercer un métier honnête.
-Ah..."

Le malaise était revenu. Ce gars était un dur, Zorich le savait. Le genre de type qui aurait tourné au grand brigantisme sans un cadre approprié. Le genre de banditisme qui ne supporte pas l'injustice:


"Euh... Et combien d'hommes dirigez vous?
-Environ cinq cents, répartis sur dix postes tout le long de la ville.
-Vous avez refusé les promotions qui vous étaient proposés, pourquoi?
-A ce stade, je peux devenir garde impériale. Il y a un meilleur salaire, mais toujours quelqu'un au dessus et moins de choses à faire. J'aime être occupé, et ne pas rester à rien foutre dans un palais géant. Quitte à trainer des savates, autant que ce soit dans la rue."

Zorich tremblotait un peu maintenant. Son interlocuteur semblait presque émèche maintenant. L'excitation était à son comble, le Commissaire-Divisionnaire ne tenait pas l'alcool! Il allait pouvoir savoir tout ce qu'il voulait:

"Et... En quoi consiste le poste de Commissaire-Divisionnaire?
-Ouais, je vois ce que vous voulez dire. Vous pensez que c'est un travail en or où se mêle action mettant en jeu le danger et la gloire..."

Bien que Garibaldi semblait plus détendu jusque là, son regard se fronça légèrement sous la question. Toute l'adrénaline de Zorich disparut d'un coup comme un sucre dans un café trop chaud:

"...Mais ce n'est qu'un job' d'administration. Je donne des ordres, j'assure la sécurité de la populace et j'arrête les hors-la-loi. Rien de plus.
-Mais... Certaines affaires que vous avez menés ont du forger votre réputation... Non? Vous ne seriez pas arrivé à ce poste sinon!
-Je suis là parce que j'ai bien travaillé. Je fais en sorte de mérité mon salaire, c'est la clé du succès.
-Mais il paraît que vous auriez désobéit à plusieurs ordres durant votre ascension dans la hiérarchie de la garde?
-C'est vrai. Mais seulement dans des cas d'expropriation ou de grandes injustices. J'aurais été viré sinon, mais on m'a toujours reconnu raison. C'est pour cela que je suis "haut placé" maintenant. Rien de plus.
-Ah..."

Zorich se disait qu'il allait devoir changer de sujet. Le Commissaire-Divisionnaire avait l'air d'être une mine d'or à première vue. On racontait des tas de choses sur lui, notamment ses actes héroïques dans les situations de crise:

"Mais... Il paraît que vous avez tendance à vous avancer seul lorsqu'il faut combattre un criminel dangereux. Vous n'exposez pas vos hommes?
-Disons qu'il faut parfois un certain cran pour affronter quelqu'un sans avoir l'envie de le tuer quand il le mérite. Dans ces situations, je préfère m'en référer à moi même par prudence. Rien de plus.
-Oh..."

Pour le journaliste, l'idée de la première page commençait à s'envoler peu à peu. Mais il savait ce que le peuple aimait: savoir ce que les haut gradés faisaient hors de leur travail:

"Et donc, Monsieur Garibaldi, vous êtes marié n'est ce pas?"

Là dessus, le visage du Commissaire-Divisionnaire se ferma. Zorich compris son erreur, mais il était trop tard:


"Oui. A une jeune demoiselle répondant au nom de Sarah Garibaldi, de fait."

La pente était savonneuse mais bien trop intéressante à explorer:

"Comment l'avez vous rencontré?
-Un truc tout bête, elle était la fille de l'ancien Commissaire-Divisionnaire. Je l'ai rencontré au bal des officiers quand je n'étais encore que Capitaine. Nous avons dansé ensemble et le tour était joué.
-Oh.
-J'ai eu avec eu avec elle une petite fille il y a maintenant cinq ans, elle s'appelle Sandrah. Et nous sommes heureux, si vous voulez le savoir..."

Zorich commençait à paniquer intérieurement. Il ne savait plus quoi dire et il n'avait quasiment rien. Mais le mélodrame crânien qui se jouait en lui fut interrompu par un garde venant chuchoter quelque chose d'inaudible pour lui au Commissaire-Divisionnaire:


"Ah, désolé monsieur Zorich, mais le devoir m'appelle. Au plaisir. Allons y, sergent Krein.
-Oui'mon'Commissaire!
-Attendez! J'ai euh... Encore une question vis-à-vis de... Ah, il est déjà partit."

Zorich avait été ennuyant. Un interrogatoire mal mené et sans intérêt. Même un plancton aurait réussi à avoir plus d'information sur Garibaldi, se disait se dernier alors qu'il marchait au côté du sergent. On était venu le chercher parce qu'un dénommé Shgran s'était manifesté sur le toit d'un des bâtiments, semblant faire des repérages pour son prochain crime. Ce Shgran était dangereux, Garibaldi le savait. Il aimait à massacrer préalablement ceux qu'il allait piller. Le crime ne subissait pas d'interview. Bien que peut-être cette fois si, vu que Zorich filait le duo d'une manière peu discrète. Le chef de la garde finit par arriver au pied du bâtiment en question, là où un des cinq capitaines l'attendait:

"Monsieur le Commissaire!"

Il se fendit d'un salut que lui rendit Garibaldi:


"Faites moi un rapport sur la situation.
-Shgran est bien là haut! Cinquante gardes sont en faction de sorte à établir un périmètre discret pour l'empêcher de fuir! Il observe depuis le toit et ne nous as pas vu!
-Très bien, je monte. Que personne ne me suive."

Garibaldi s'avança vers la porte du bâtiment d'un pas décidé. Un pas qui devenait de plus en plus lourd au fur et à mesure que son armure se matérialisait autour de lui dans de légers halos de lumière violette. Dans un coin, un Zorich ébahit prenait des notes. Il avait entendu parler de cette capacité du Commissaire-Divisionnaire à faire apparaître son armure et sa lance comme à les faire disparaître en un clin d'œil. Il paraissait même que cette capacité lui avait été conférée par un mage de la cour en remerciement pour un grand service. Il avait été bête de ne pas poser la question!


Le Commissaire-Divisionnaire poussa la porte qui menait au toit sans faire attention à sa discrétion. C'était la seule porte de sortie et de toute façon, son armure l'avait sans doute fait entendre à des kilomètres à la ronde:

"Shgran Rokto, vous êtes en état d'arrestation pour meurtres, viols, cambriolages, vols à l'étalage, actes de violences et voie de fait sur agents de la garde."

La voix de Garibaldi paraissait encore plus froide une fois filtrée entre les étroites parois de son casque. Il tenait fermement sa lance dans sa main droite tout en se dégageant du cadre de la porte. Le dit Shgran se tourna vers lui. Il ne semblait pas être surpris par l'apparition soudaine d'un agent des forces de l'ordre, ni que ce dernier soit dans une armure semblant impénétrable et même pas aux couleurs de la ville:

"Je ne veux pas être vindicatif, monsieur...?
-Garibaldi. Commissaire-Divisionnaire Garibaldi."

Évidemment, sur le bâtiment d'en face se trouvait maintenant Zorich. Tapis dans l'ombre avec ses notes, à l'affut de toute information à se mettre sous la dent. Garibaldi soupira:

"Oh, le chef en personne. Eh bien donc, vous vous doutez que je ne me rendrais pas sans combattre.
-Je m'en doutais bien. Procédons ainsi dans ce cas.
-Oui, je vois que vous vous étiez préparé."

Sans un mot de plus, Shgran sortit une dague de mauvaise facture de ses habits miteux. Cela aurait fait rire n'importe qui vu que son adversaire était en armure lourde. Mais pas le Commissaire-Divisionnaire Garibaldi. Il savait que chaque arme pouvait être mortelle, surtout manié par un tueur. Shgran était assez intelligent pour ne pas se jeter sur son adversaire. Il s'approcha de lui, et chercha la faille dans sa garde. Garibaldi resta en position stationnaire. Si il bougeait trop, l'individu pourrait s'enfuir. Et même avec le périmètre de sécurité, n'importe qui pourrait mourir.
Il ne fallut que quelques secondes. Shgran aperçu un trou dans la garde de Garibaldi: son côté gauche. Viser entre les plaques articulés était le meilleur moyen de blesser son ennemi. Il fit rapidement un pas de côté, et envoya sa dague vers le coude gauche de Garibaldi.
Cela aurait fonctionné si la faille n'avait pas été volontaire. Dès l'initiation du mouvement adverse, le Commissaire-Divisionnaire fit basculer sa lance sur le côté, attrapant le bas du manche en main gauche. D'un coup vif de coude, remuant à une vitesse phénoménale toute cette masse de métal, il broya littéralement le nez de sa victime qui elle n'en était encore qu'à un quart de son mouvement.

Shgran s'étala au sol dans une gerbe de sang. Il n'était pas mort, mais il n'allait pas se relever tout de suite. Par prudence, Garibaldi le tâta tout de même un long moment de sa lance pour savoir si il était réellement inconscient. Une fois les faits vérifiés, il fit basculer le corps de Shgran sur son épaule d'une main et entreprit d'aller le remettre à la justice compétente. Son rôle était terminé pour le moment.

Celui de Zorich aussi, qui conclut son article par une observation toute simple: Isaac Garibaldi était un menteur.
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Alan
AlanBeorc


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Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior 270290GaucheV228/60Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior 233711VideV2  (28/60)
Points d\'Expérience:
Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior 270290GaucheV24/100Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior 233711VideV2  (4/100)

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MessageSujet: Re: Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior   Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior I_icon_minitimeDim 26 Sep - 11:54

Orthographe 0/2.5

Oh la la la la la la la... tu aurais du faire ça en journée, quand t'étais en forme -_-

Citation :
De part son éducation militaire
nan, ça c'est la « part » de gâteau (hmmmmmmmmm.... gâteau *o*). Ici, il faut mettre « par »
Citation :
si il ne travail pas

le bon pâtron m'a assez fait chier avec ça pour que je me venge sur toi. « S'il » convient mieux que « si il » (en plus, c'est plus court Razz )

« travail », c'est pour désigner... le travail (c'est la santééééé.... ne rien faire c'est la conserverrrr. /sbaf). La, c'est le verbe de la phrase donc « travaille »

Citation :
Sa mâchoire carré
Accorde l'adjectif au sujet (« carrée »)

Citation :
des lèvres de taille moyenne surplombés
Même remarque... (« surplombées »)

Citation :
Il s'agit d'une énorme armure de plaques complètes d'une couleur rouge-sang
Alors moi, je pense plutôt qu'il faut mettre « complétée » car on parle de l'armure et non de plaque et, selon le COD : « c'est la couleur qui complète l'armure »

Citation :
les mêmes chaussures noir
T'aimes vraiment pas accorder les adjectifs au sujet, hein ? « noires »

Citation :
Dix-neuf heures était passé
accord, encore et toujours : « étaient passées »

Citation :
le regarder d'un air mauvais du au fait qu'il ne consommait pas
Ce « du » est un mot désignant la possession (« le chat du voisin »). Ici, il fallait mettre le « dû » qui désigne une cause (les dégâts dûs à la tempête)

Citation :
Le regard froid et ennuyé du dit Garibaldi
pour ce genre de chose, on fusionne les deux mots en un (« ledit », « dudit »). Eh, oui ça existe, ces mots. La preuve : open office les souligne pas Razz

Citation :
Les différentes feuilles était méticuleusement bien empilés
Ah, toi et l'accord... on dit « une feulle » donc il fallait rajouter un « e » à « empilés », ce qui donne donc « empilées »

Citation :
les une sur les autres
Il y a un « les » juste avant... eh oui, encore de l'accord (« unes »)

Citation :
il faut plusieurs essaient
Non... t'as pas osé faire une faute aussi... bête O_O... « éssais », nom de dieu ! « éssais » ! * secoue Isaac comme un prunier *

Citation :
et ne daigna même pas la main.
Manque pas un truc ?

Citation :
le ton de l'homme qui lui faisait face était glaciale
Soit tu oublie l'accord, soit tu te gourres... un dit « un ton » donc enlève moi ce « e » ><

Citation :
Il pris
Troisième personne du singulier : « il prit »

Citation :
Quel âge avec vous?
… sans commentaire...

Citation :
les réponses rendus
on dit « une réponse »... bon j'en ai marre de me répéter, cherche la réponse par toi même xD
Citation :
je dois avoir prit

Première personne du singulier = terminaison en « s »

Citation :
l'armé
oh lalalalalala... UNE arméE.

Citation :
j'ai suivis
ah, passé composé, pas de terminaison en « s » pour « suivis »...

Citation :
Mes prédisposition m'ont conduit
… (je précise que « conduit » trouve l'origine de sa faute à « prédisposition »)

Citation :
la chope apporté
… * pleure sur l'épaule d'Isaac *
Citation :
ceux qui sont prés à risquer leurs vies
… Tu veux ma mort, c'est ça ?

Citation :
les truands qui gagne
* fracasse son crâne contre le mur *

Citation :
Environ cinq cents
La, tu mets « cents », le centime, au pluriel. Le chiffre reste au singulier ><

Citation :
Son interlocuteur semblait presque émèche
quand il y a un sujet au verbe (et c'est le cas ici), on dit « émèché »

Citation :
c'est un travail en or où se mêle action mettant en jeu le danger et la gloire...
encore et toujours l'accord...

j'ai même pas le courage d'aller plus loin en fait, j'arrête la pour la correction orthographique, sinon je serais pas en état d'évaluer le reste...

Syntaxe 0/2.5

Mise en page : O.K.... ou presque :
Citation :
Eh bien, j'ai fais comme tous les gens qui veulent mériter leur salaire sans remords. J'ai usé de volonté, de rigueur et de passion pour mon travail, merci, dit-il en récupérant la chope apporté par la tavernier, j'ai fais mon boulot. Voilà tout.
La narration, on la met pas en couleur...

Mais hélas, comme tu l'as si bien dit sur la SB :
Citation :
[11:44:10] Allen: Qui dit 0 en ortho dit 0 en syntaxe
[11:44:16] Allen: Donc paf, 5 point dtc

Je te laisse chercher les erreurs de syntaxe, moi j'ai plus d'yeux après le massacre orthographique...

Caractère 2/2.5

Si tu veux mon avis, ça fait un peu « l'homme modèle »... bon d'un autre côté, ça reste banal mais sur un fofo, c'est ça qu'est original : enfin un type normal dans ce monde de cas spéciaux et dérangés xD

Physique 2/2.5

La encore, c'est pas l'originalité qui t'étouffe, mais le banal te rend original xD. Enfin, je te reproche encore une fois de faire un léger cliché de l'homme beau et musclé sans pour autant aller à le faire grosbill. (encore heureux xD)

Histoire 6/8

L'histoire est très bonne dans l'ensemble mais je vais être honnête : les points perdus viennent du combat à la fin :

- Tu y es allé un peu trop vite à mon goût : tu l'as limite OS
- Tu t'en sors sans une égratignure alors que morfler un brin aurait fait plus réaliste...

Hormis ça, tout baigne.

Originalité 2/2

Tiens, un haut gradé de l'armée. On avait déjà des soldats banals, mais pas de haut gradé, ça change ^^.

NOTE FINALE : 12/20

voilà, 12/20. T'as dit d'être souple, j'ai été souple. Maintenant, je vais reposer mes yeux endoloris...
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Isaac Garibaldi, Commissaire-Divisionnaire de la garde de Mélior

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