NOM : Bjornsson
PRÉNOM : Thorgrim
SURNOM : La Sentinelle de Criméa
ÂGE : 27 ans
SEXE : Masculin
RACE : Beorc (encore que...)
PEUPLE/CLASSE : Chevalier
PAYS D'ORIGINE : Criméa

PSYCHOLOGIE :
Thorgrim a toujours été fidèle à l'éducation donné par ses parents... En fait, cette éducation se résume en six commandements.
-Honore la demeure de ton voisin, mais n'approche pas de sa femme, à moins qu'elle ne t'y ait invité.
-Fais bonne chère quand tu le peux, mais ne néglige jamais ceux qui sont dans le besoin. Offre refuge et protection aux nécessiteux, sans te négliger toi-même.
-N'offre ta force qu'à ceux qui en sont dignes. Le lâche et le traître ne méritent que les coups que tu pourras leur donner. Ne plie le genou que si ça en vaut la peine.
-Ne fais aucune promesse que tu ne puisses tenir et ne renonce jamais à accomplir ce dont tu es capable. Renoncer fait de toi un lâche et un menteur.
-Ne courbe pas la tête devant tes envies. Ton instinct est à la fois ton meilleur ami et ton pire ennemi. Louées soient tes envies légitimes, mais tu dois en faire un bon usage.
-Respecte ceux qui sont plus expérimentés que toi, mais offre une correction en règle à ceux que l'orgueil aveugle. Ils ne méritent pas leur place.
La Sentinelle de Criméa a toujours appliqué ces commandements, et cel lui a souvent réussi. Dans les faits, que ce soit en public ou en privé, son franc-parlé est flagrant, et peut parfois faire froid dans le dos, quoi qu'on en dise. Notre ami est peut-être éduqué, mais il est tout sauf chevaleresque. Il ne se censure que s'il n'a pas d'autre choix, car même s'il est d'une bravoure exceptionnelle, il n'est pas encore prêt à mourir pour ses idéaux.
La vérité est que notre ami est l'incarnation du bon vivant. Il ne dira jamais non à un festin, qu'il y ait viande, alcool, ou peu importe, il en sera. Pour ce qui est des femmes, il apprécie leur compagnie, et ne dira jamais non à un peu de compagnie, mais il sait être sérieux quand le devoir l'appelle.
IL faut aussi savoir que notre ami respecte les Laguz, et parfois même plus que les Beorc. Il admire leur code moral, leur désamour de l'argent et l'absence d'utilité qu'ils lui trouvent. Au fil des années, il a commencé à penser comme eux, et n'offre ses mérites qu'à ceux qu'il considère comme méritants.
Quand il s'agit de se battre, il reprend son sérieux dès que son adversaire en vaut la peine. Cela le conduit souvent à sous-estimer son adversaire, mais ses facultés d'analyse lui permettent bien souvent de se rendre compte suffisamment tôt de son erreur pour contrer les premiers coups...

PHYSIQUE :

Thorgrim est un survivant. En témoignent les innombrables marques dont il est le porteur. Malgré qu'il affectionne l'armure lourde, il n'est pas rare qu'un coup l'ait blessé à travers l'acier trempé. Dès qu'il retire son armure, tout spectateur peut voir les innombrables cicatrices qui ornent son corps. Masi surtout, ils peuvent remarquer autre chose: son âge apparent.
Car Thorgrim n'a pas plus de trente ans. Seulement, les trop nombreuses batailles l'ont endurci bien plus que de raison...
A n'en pas douter, son regard était autrefois d'un bleu azur d'une grande pureté. Il se trouve qu'ajourd'hui, il a posé les yeux sur tellement d'acier que ses yeux en ont pris la couleur. Son regard, de doux et aimable, est devenu sec et perçant, pour ne pas dire tranchant. Son visage n'est pas couturé, mais il en émane une maturité extrême, qui lui donne l'allure d'un homme d'une quarataine d'années. Bien qu'il soit jeune, ses cheveux sont d'un blond très pâle, presque blanc.
Lorsqu'il porte l'armure, il devint l'incarnation du Juggernaut: innarêtable. Mais en vérité, même sans l'armure, c'est un homme au corps massif qu'un lancer de javelot ne suffirait peut-être pas à tuer, si vous voyez ce que je veux dire...
Mais nous y reviendrons... Toujours est-il que notre ami n'est peut-être pas une force de la nature, mais il a quelque chose dans le regard, qui semble puissant et ancien, et qui fait que ses adversaires qui le regardent droit dans les yeux ont très souvent la bonne idée de réfléchr à deux fois avant de s'en prendre à lui.
Il n'est pas très rapide, même sans armure, mais il compense par une force et une endurance physique tout simplement hors-normes!
D'où vient son surnom de Sentinelle, me demanderez-vous... Et bien c'est tout simple... Il s'agit tout simplement su fait que lorsuq'il a décrété qu'il en cèderait pas un pouce de terrain, vous pouvez toujours courir pour le faire bouger! Il s'accroche au sol aussi puissament qu'un chêne centenaire, littérallement. Jusqu'ici, ils sont bien nombreux, ceux qui ont réussi à le toucher et le blesser... Mais le déplacer une fois qu'il s'est fixé est une autre histoire...
Une performance d'autant plus impressionnante que sa taille est à l'image de ses performances: hors-normes. Notre ami est un colosse, haut de plus de deux mètres sans compter l'armure. Inutile de préciser que ladite armure a été fabriquée sur mesure.
Tout comme l'armure, il est difficile de rater le marteau qu'il tient toujours en main, de même que la hache à sa ceinture... Encore que la hache en question est très souvent cachée derrière le pavois titanesque fixé sur son bras droit...

BIOGRAPHIE :

Personne ne choisit sa vie, personne. Il n'y a pas de pour, pas de contre, seulement une seule et unique vérité: c'est notre vie qui fait de nous ce que nous sommes. Et ça, personne ne pourra jamais rien y changer. Mais il est une autre vérité, plus ancrée encore que la première: la guerre fait que les hommes se sentent supérieurs. Pas de pitié pour le faible, car seul le fort doit survivre et écraser le faible pour le placer à ses pieds, là où est sa véritable place... Les forts doivent vivre pour que les faibles puissent mourir...
Dans un pays presque dénué de criminalité, les bourreaux étaient une guilde qui subsistait de plus en plus difficilement. Criméa avait presque toujours été en paix ou presque, et les bourreaux n'avaient que bien peu de travail. Conrad Bjornsson était un bourreau émerite. On disait de lui, pour se moquer: ''Dis du mal de sa sœur, et ta décapitation se fera sans douleur''. De fait, c'était vrai. Conrad adorait sa sœur, et il ne supportait pas qu'on lui manque de respect. A vrai dire, peut-être l'amait-il un peu trop...
Car ce qui aurait du rester simple lien fraternel devint passion effrenée. Il s'aimèrent en secret, et leur liaison donna naissance à une fille, puis à un garçon. L'aînée grandit auprès de ses parents, mais le cadet devint un véritable sauvageon. Sauvage, au sens littéral du terme, il ne se lavait pas, ne mangeait que ce qu'il tuait lui-même, et ne commença à accepter l'éducation de ses parents qu'une fois maté, à savoir que son père l'eut saisi par la peau du coup et manqué de le noyer pour le faire taire.
Ensuite de quoi il s'assagit. Il devint un jeune homme athlétique. Pas des plus beaux, pourtant, mais il n'en avait cure. Ses muscles suffisaient, et il le montrait dès qu'il en avait l'occasion. La communauté qui avait accueilli ses parents en fit les frais plusieurs fois, notamment lorsqu'on retrouva le fils du chef du village étendu au sol au milieu de la grand-place, le nez en sang et six dents en moins.
La sanction fut sévère, et Thorgrim passa les trois années suivante enfermé. Il en sortir largement mûri, et était alors suffisamment âgé pour apprendre à se servr d'une arme. Mais il refusa de suivre l'enseignement du maître d'armes local, préférant celui de son père. En effet, lui seul savait commen l'entraîner. Un entraînement douloureux, qui lui rompit les os plusieurs fois, mais il n'en avait cure.
De fait, la plupart des cicatrices qu'il porte lui viennent en réalité de son père.
Car les règles étaient simples: son père esssayait de le tuer, ni plus ni moins, et lui ne devait que le mettre hors de combat...
Entre temps, il trouva épouse, en la personne de Elezia, une femme charmante...si elle n'avait pas été extrême dans tout ce qu'elle faisait... De toute manière, il n'était pas sûr de l'aimer vraiment tant la nuit de noces fut froide...
Ce sentiment se confirma quand un homme armé pénétra dans la chambre et empala le jeune marié sur e lit à l'aide d'un javelot. Mais contre tout attente, et malgré la pointe de fer qui lui déchirait les entrailles, Thorgrim vint à bout de cet adversaire, non sans avoir tué sa femme au passage.
Il passa les trois années suivantes à se remettre de cette blessure qui aurait dû être mortelle. Les bâtons de Soin d'Owen, un de ses amis, aidèrent beaucoup, il dut l'admettre...
Le temps passa. Thorgrim s'engagea dans l'armée de Criméa, et une ou deux escarmouches plus tard, il put commander sa propre escouade. Il considérait le métier de soldat bien plus honorable que celui de mercenaire.
C'est à cet époque qu'il fit la connaissance de Tyrion Largécu et de Bulvac Longpavois, deux frères qui se partageaient une grade de capitaine. Ensemble, lorsqu'ils posaient leurs boucliers au sol, ces légendes vivantes devenaient totalement inamovibles. On disait d'eux qu'étant donné que la totalité de leur capitainerie suivait le même entraînement, nulle charge n'avait jamais pu venir à bout d'eux...
Ils acceptèrent, après quelques négociations, de fournir à Thorgrim un entraînement équivalent. Il fut excellent élève, et devint expert dans la défense de couloirs étroits, par exemple. Il ne fit pas beaucoup parler de lui, mes les combats suivants lui valurent le respect de ses camarades.
Mais le combat suivant fut le dernier. La confrontation avec les troupes de Daein se soldèrent par un désastre, et son unité fut réduite à néant.
Ce fut donc seul qu'il continua, et il vécut jusqu'à la fin de la guerre, quoi qu'on en dise.
Une fois que le conflit fut terminé, ce fut un Thorgrim fatigué qui rentra chez lui. Son père était mort durant la guerre, et sa mère avait choisi de partir vivre ailleurs. De fait, leurs possessions lui revenaient, et il put s'installé confortablement. Mais très vite, le frisson de la guerre lui manqua, et ce fut en tant que sous-officier qu'il reprit les armes aux côtés de Criméa...

PSEUDO : Ben, vous l'avez, non?
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? DC de Stella
QUELQUE CHOSE À CORRIGER ? Nope!
EXPÉRIENCE DU ROLE-PLAY : Ca n'a pas changé!
TU AS DÉJÀ JOUÉ À FIRE EMBLEM ? SI OUI, LEQUEL/LESQUELS ? Ca non plus!