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 Zuruka

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AuteurMessage
Freya
FreyaLaguz


Messages : 2

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MessageSujet: Zuruka   Zuruka I_icon_minitimeSam 26 Oct - 17:00

Postez votre présentation dans la partie "Présentations en cours" !
   Les champs marqués d'un (*) doivent obligatoirement être rempli !
   Les informations à donner sont celles de votre personnage, pas les vôtres bien sûr.
   La validation se fera par un administrateur sous une semaine.


o Informations générales :

 Nom :
Prénom : Zuruka
 Surnom : L'Insolent
Rang : etit Le pmessage que vous souhaiteriez voir apparaître au dessus de votre avatar.
 Âge* : 20
Sexe* : Masculin
 Race* : Marqué.
Peuple/Classe* : Chevalier Wyvern
Pays d'origine* : Définissez le lieu de naissance de votre personnage.

o Description du Personnage :

Caractère* : Minimum de Lignes Obligatoires - 5
Un caractère se forge dans le feu des épreuves. Voilà ce que disait un adversaire lorsque je lui plantais ma lance dans son cœur. Cette phrase me hanta pendant plusieurs lunes. Puis une nuit alors que nul vent ne soufflait et que l'air était lourde et pesante, je compris. Je compris que je ne devais pas que obéir aux ordres. Bien sur la hierarchie est importante mais le caractère personnel l'est encore plus.
Certains me décrivent comme dingue, malade, fou furieux. Je suis simplement pas comme les moutons. Désormais j'obéis à une ligne de conduite particulièrement bien établis. J'ai mes opinions, j'ai mes envies. J'ai mes défauts et je les reconnais. Mais jamais ô grand jamais je ne redeviendrais le soldat de base. Le soldat qui meurt sans vraiment penser pourquoi il en est arrivé là. Je ne suis plus comme ça. Qu'ils meurent si ça leurs chante. Qu'ils perdent le peu de conscience qui reste à certains de mes collègues. Mais pas moi. Moi je veux vivre. Je veux pouvoir dire à mes descendants comment moi petit chevalier wyvern ait survécu à ces conflits. Comment j'ai installé ma famille. Comment je l'ai nourris. Je veux une fin heureuse et une mort paisible.
 Ca c'est ce que mon côté vieux garçon me dicte. Mon autre côté est beaucoup plus sombre et j'aime m'y laisser entrainer. Tuer à attiser en moi une chose que je ne saurais décrire,  mon caractère est en bimbé. A force de cotoyer la mort et de danser avec on finit par la connaître. Je suis ce qu'on appel un trompe-mort. Je vais là ou les combats sont les plus féroces et j'en ressort indemne. Comment ? Je n'ai pas de pouvoirs, je n'ai nul ange-gardien. J'ai juste un instinct de survie qui dépasse ceux de mes compagnons qui forment une chair à canon bien facilement sacrifiable.
Voilà pourquoi on me traite de fous. Parce que j'aime le danger, un jour j'aurais sans doute les retours de flammes. Mais pour l'instant tout va bien. Je survie même si chaque bataille épuise peut à peut mes compétences. Je fatigue comme chacun. Je n'aime pas les gens sans opinions. Je l'était et c'est terriblement flippant. Voilà comment des monstres arrivent au pouvoir. Je ne veux plus de guerre mais je veux en profiter. C'est un dilemme en moi. Mes deux côtés opposés s'affrontant en moi, pendant plusieurs heures et me laissant épuisé et trempé de sueur. Aujourd'hui je ne sais plus quoi faire. Alors j'obéis et je pense à l'instant. Je pense que ce monde va mal et que tout partira bientôt en bordel et je pense ou je serais à cet instant là et quel sera mon rôle.
Car mon rôle j'aimerais bien en avoir un, voici l'un de mes défauts. L'ambition. A force de tromper la mort surement du à de la chance je commence à penser que je dois être destiné à un poste meilleur. Lui qui n'aime pas les tyrans veut en être un me diriez vous ? Faux. Car je ne prétend pas être le meilleur, je veux un poste plus important. Rien de bien méchant, ça éviterait certains massacres. Mais le temps fera son œuvre et j'ai foi en ça, je n'ai pas de religion, mais je crois que un jour la promotion tombera et ce jour là je ferais ripaille à foison. En attendant je me forge, je transpire, je fais des cauchemars et j'attend. J'attend mon tour, tiraillé entre deux opinions en mon sein.

Physique* : Minimum de Lignes Obligatoires – 5
Maintenant que vous savez mes opinions et que vous en savez plus sur la bête que je représente. Faut maintenant me visualiser. Visualiser un homme, visualiser un soldat. Comme tous mes compagnons d'armes j'ai enduré aussi bien physiquement que mentalement les batailles et escarmouches. Alors il en résulte des marques, des traces qui jamais ne s'estomperont. Les premières balafres sont sur mon visage. Rassurez vous je ne suis pas que fait de cicatrices mais certaines sont imprégnés sur mon corps. Comme un chewing gum sur une chaussure.
  La première entaille est donc assez longue et fine. Elle a attirée de nombreuses femmes, tous plus curieuses les unes que les autres. Nombreuses sont les versions que j'ai donné quant à l'origine de cette blessure qui traverse ma joue droite. La plus courante et celle qui se rapproche le plus de la vérité est la suivante : Une bataille, une version de moi même jeune et peu assagis.  Je me suis précipité sur un soldat adverse en ordonnant à Akuruz de foncer sur lui, sans apercevoir qu'il préparait une riposte. Son  action lui permit de sauter sur une wyvern jeune et son poignard me valus donc celle ci. J'ai oublié la vérité dans le fracas des armes.
Puisque je parle de mon visage, il est important de souligner quelque points sur mon minois. Je n'ai pas le visage rond, il est plus affiné et donc plus ovale si je puis dire. Mes yeux sont comme disent mes détracteurs, perçants et froid. Il en est rien mes yeux sont rouge. Comme le sang des hommes. Rouge et c'est sûrement ceci melé à ma coiffure, enfin si j'ose l'appeler comme ça, blond et longue. En effet mes cheveux tombent sur mes épaules. Qui renforce ce côté je m'en foutisme qui me sied bien. Certains disent que l'apparence est primordiale. Moi je n'ai pas mon opinion dessus, je sais juste que dans les combats et sur ma magnifique monture je n'ai pas le temps de me coiffer. Encore moins de me lisser les cheveux. Alors oui il est vrai qu'au naturel on dirait tout le temps que je sort de mon lit. Mais l'habit ne fais pas le moine n'est ce pas ?
  Ma seconde cicatrice est sur mon torse. Là elle est plus profonde et plus large mais moins longue que la première. J'aurais pu y rester sur celle ci. Peu de temps après la première. Je tombe, du moins  c'est ce dont mon esprit se souvient. Je n'ai pas le temps de me relever que un Laguz me tombe dessus. Je le croyais mort, il ne l'est pas. Il me plante sa griffe sur mon torse, bien entendu malgré la douleur présente et le sang qui coule je le rejette. La bataille s'arrête la pour moi. Je tombe dans les pommes. J'avais quatorze ans selon les standards humains et ce fut ma première défaite et humiliation public. Tant que je suis sur mon corps. Je ne suis pas un tas de muscles. J'ai simplement pas l'air d'une brindille. Je suis musclé mais sans plus, ne passant pas mes journées à m’entraîner aux diverses sports. La guerre est le sport qui me convient le plus.
La dernière ne se voit pas quand je suis habillé, elle est sur ma jambe droite et c'est celle des trois dont l'origine est la plus comique enfin je pense. Une soirée qui se finit mal, la fille est bourrée et ne trouve rien de plus amusant que de me griffer la jambe. Bon ça passe, je le supporte . Mais quand cette harpie me lacère la jambe je saute hors du plumard et comme réponse lui colle un poing dans le visage. Notre relation s'arrêtera là.
 Maintenant je pousse le vice jusqu'à vous parler de mes habits. Je porte les jours de repos une toge qui laisse uniquement paraître ma poitrine droite. Et encore ce n'est qu'une partie infime. Pourquoi une toge ? Parce que les situations ou l'utiliser sont rares et que c'est un cadeau remarquablement bien fait alors, et comme les cadeaux sont rares, je la porte dès que je peux.
Au combat mon armure est simple. Uniquement pour me demarqué et très sobrement une griffure sur l'épaule gauche. Je la dois à ma monture. Enfin c'est plus qu'une monture, c'est ma compagne pour l'éternité, je l'espère, elle se nomme Akuruz et j'espère bien qu'elle me survivra.

Passé* : Minimum de Lignes Obligatoires - 10
Mon histoire ? Mon passé ? Il ne vaut pas la peine d'être entendu mais puisque vous insistez. Je ne suis ni Laguz, ni Beorc. Je suis un marqué. Je suis entre les deux principales formes de ce monde. Mais je ne suis pas le seul. J'assume entièrement cette différence. Mes parents se sont rencontrés dans un bar. Ma mère y était serveuse, mon père était en permission. Ca aurait put se finir le lendemain matin mais les deux jeunes gens voulaient contredire cette phrase. Le destin les aida à se rencontrer à nouveau. Pendant deux ans chaque semaine ils se voyaient une fois. Ils discutaient, parlaient de leurs vies, de leurs familles. Ils s'aimaient mais sans oser emboîter le pas sur quelque chose de plus concrétisé comme le mariage. Finalement ce fut quand mon père raccrocha sa carrière que ils se dirent oui. A l'endroit même ou leurs relation avait commencé. Ma mère était une formidable tigresse, à prendre au premier degré, mon père un humain fort et viril. Moi ? Moi je naîtrais quelques mois plus tard.  J'ose et j'aime à croire que je ne suis pas un accident. Mes parents ne m'ont jamais dit si c'était le cas. Ils emportèrent le secret dans la tombe. D'ailleurs ces deux amoureux moururent ensemble, le même jour à la même heure les mains dans les mains. Enfin c'est la version que mes proches m'ont transmis. Pendant ce temps je m’entraînais au maniement de la lance. Ma carrière était trouvé je voulais devenir soldat. Je voulais prouver qu'un 'paria' pouvait devenir quelqu'un de fort et d'influent. Je ne connaissais rien du monde et de ses contrées. Je connaissais rien de la politique j'était jeune. Et comme tous les jeunes marqués ma croissance était ralentit. Ce ne fut pas une malédiction. Je me voyais quand mes camarades rendraient leurs derniers souffle toujours bien en vie et profitant de ce bien que la nature m'avait laissé. J'était jeune et j'avais la vie devant moi. Mais quand l'annonce de la mort de mes parents me parvint je fut remplis non seulement d'une tristesse immense mais également d'une forte dépression. Pourquoi moi leurs fils vivrait je plus longtemps que mes géniteurs ? Je refusa d’aller les voir une dernière fois. Mais mes camarades d'apprentissage me forcèrent à allez à l'enterrement. Ce jour là point de crise de larmes. Point d'injures contre le monde. Une tenue froide et affolante pour les autres. Mes parents n'étaient plus mais moi si. Et contrairement à la première partie de mon existence je comptais profiter de la seconde. Physiquement je faisais quatorze ans. En réalité j'était bien plus mature. Si ma croissance ralentit pouvait m’octroyer des années en plus. A ce stade j'était bloqué dans un statut d'adolescent. Ni assez âgée pour la guerre ni trop jeune pour ne pas s’entraîner. Je passa donc les années suivantes à m’entraîner pendant mes compagnons d'hier partaient à la guerre en me narguant avec  gentillesse. Néanmoins la vie sans 'hommes' avait des avantages. Les femmes durent se focalisés sur moi et ce fut l'époque de mes premiers débats amoureux. Certaines me prenant pour leurs petit-frère  d'autres pour leurs enfant. Mais une bonne partie s'offraient à moi et me voyait en homme. Mon orgueil monta et séchant une journée d’entraînement je partit à cheval me balader dans les environs. Ce fut là une journée remplit de surprises et qui détermina le reste de ma carrière de soldat.
  En effet
 
Comment avez-vous connu le forum ? :
Une certaine fille se nommant April. Ouais je sais comme pseudo c'pourris mais je lui ai déjà dit

Expérience du Role-Play:
Deux ans je crois bien de Rp pur et dur.
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Zuruka

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